Texte De Arendt

moderne de ce terme (c’est-­‐à-­‐dire une société non pas « holiste » mais « individualiste ») ? Non seulement les intérêts et les passions individuels dans le monde moderne conduisent les individus à s’entrechoquer, comme l’a bien établi Kant dans son texte fameux sur « l’insociable sociabilité des hommes » (Idée d’une histoire universelle d’un point de vue cosmopolitique, (1784), 4e proposition), mais encore les classes sociales ont des intérêts diamétralement opposées si l’on en croit Marx. D’autre

il suffit que l'explication rende compte, par la compréhension précise du texte, du problème dont il est question. Introduction. L'essentiel d'une introduction doit contenir: a)Le thème du texte= la question de fond dont traite le texte qui peut être formulée sous la forme d'un sujet de dissertation. b)La thèse du texte qui pourra être débattue, approfondie. c)La problématique pour expliquer de façon ordonnée le texte et traiter le problème qu'il pose. Exemple. (Thème) Que vaut-il mieux

leur devoir, Platon nhsite pas inventer toutes sortes de fables. Certaines de ces fables sont extrmement proches des dogmes de la religion chrtienne, si bien que lon peut voir en Platon un fondateur du christianisme au mme titre que Jsus. Hannah Arendt remarque par exemple que Platon est celui qui a invent lenfer comme instrument politique lenfer a t invent par Platon comme une menace dans lau-del, au terme dun jugement dernier, pour pousser les hommes tre justes ici-bas. Cest le sens du mythe

un dieu et ne possédant pas la sagesse il serait anéanti. La technique a donc besoin de la nature pour s’exprimer mais ce lien comme on l’a vu est fragile, c’est un danger à la réalisation de ce qui est techniquement possible. C’est ce qu’exprime Arendt dans Condition de l’homme moderne. Ainsi, La technique permet de déclencher artificiellement les phénomènes naturels mais le risque est que la limite entre le naturel et l’artificiel disparaissent, l’artifice devenant le prolongement de la nature

esclaves, c’est un préjugé des historiens modernes. Les Anciens faisaient le raisonnement inverse : ils jugeaient qu’il fallait avoir des esclaves à cause de la nature servile de toutes les occupations qui pourvoyaient aux besoins de la vie. » (Hannah Arendt, Condition de l’homme moderne, Agora-Plon). Dès le Haut Moyen-Age : nobles ne travaillent pas sous l’Ancien Régime. Transition : Il faudra attendre la Renaissance, voire les Lumières pour que se produise un changement radical de perspective : le

désirs (aux niveaux élémentaires de la faim, de la soif, de la sexualité…) dont la satisfaction n’est toujours que temporaire : la faim, par exemple, renaît chaque jour en un cycle immuable, quelque bon repas que nous ayons goûté. «La vie, écrit Hannah Arendt, est un processus qui partout épuise la durabilité, qui l’use, la fait disparaître, jusqu’à ce que la matière morte, résultante de petits cycles vitaux individuels, retourne à l’immense cycle universel de la nature, dans lequel il n’y a ni commencement

cré. Sens : au lieu d’être conçu comme extérieur à nos engagements se confond désormais avec nos propres activités. Sartre : liberté = source des valeurs qu’elle construit face aux autres. Derrida (philosophie contemporain ) = le sens se dit dans un texte qui se répond sans fin. Depuis platon = champ théorique s’élabore en dépréciant l’écrit au profit de l’oral. Ex : valeur fondamenale de la métaphysique occidentale = objet destitué de ses prétentions fondatrices.Apparaît comme un pivot ds discours

généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II, 21 Ce texte de Hobbes nous permet donc de préciser notre concept intuitif de liberté, en distinguant la liberté de la puissance. Être libre ne consiste pas exactement à pouvoir faire tout ce qu’on veut, mais plutôt à ne pas être empêché de faire ce qu’on peut

généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II, 21 Ce texte de Hobbes nous permet donc de préciser notre concept intuitif de liberté, en distinguant la liberté de la puissance. Être libre ne consiste pas exactement à pouvoir faire tout 2 ce qu’on veut, mais plutôt à ne pas être empêché de faire ce qu’on

: “Entre les bourreaux inhumains et les victimes déshumanisées, la littérature peut-elle reconstruire une humanité ?” L’Homme étant belliqueux par nature, la guerre et les combats ont toujours fait partie de l’Histoire. En effet, le premier grand texte de la littérature européenne, L’Iliade de Homère, est ainsi le récit de la guerre opposant les Grecs et les Troyens. Néanmoins, la guerre connaît une nouvelle et tout autre dimension lors de l’apparition de guerres mondiales en 1914-1918 et 1939-1945