Reussite Scolaire Capital économique

mobilité est influencée par la réussite scolaire et l’origine sociale. On a constaté une démocratisation à l’accès aux diplômes sur les 3 dernières générations. En 1993, seul 20% des personnes âgées entre 50 et 59 ans contre 34% pour ceux âgées entre 25 et 39 ans possédaient un diplôme supérieur ou égal au baccalauréat. Même si il y a eu une massification scolaire et l’on tend à penser que nous sommes en présence d’un système méritocratique, c'est-à-dire que la réussite sociale et basé sur le mérite

caracteristique permettant de distinguer 1 individu d'1 autre ineg: difference d'acces a des ressources rares ou socialement prisees. 1 difference devient 1 ineg qd elle amene a acceder a une position plus ou moins valorisee par la societe. b) Ineg economiques qu'est-ce qu'1 decile? lorsqu'1 population est caracterisee par une variable quantitative, les deciles sont les valeurs de cette variable qui partagent la pop en 10 parties de meme effectif. D1: premier decile, tq 1/10 des salaries gagnent moins

3 I) L'école reproduit et légitime les inégalités sociales de départ 4 A) CONSTAT : Une mobilité intergénérationnelle réduite 4 B) Des inégalités dès le plus jeune âge en fonction de l’origine sociale 6 C) Les inégalités de réussite scolaire sont le résultat de stratégies familiales différentes 6 II) L’école, un agent réducteur des inégalités sociales. 8 A) CONSTAT : Une démocratisation qualitative et quantitative des études 8 1) Au niveau quantitatif 8 2) Au

dotée de 4 formes de capitaux: économique, culturel, social, symbolique. Il montre que l’école n’assure pas l’égalité des chances mais se contente de reporter les I sociales. Cet échec est conditionné socialement. Capital économique: (revenu + patrimoine) joue un rôle important dans le système éducatif surtout dans les pays anglo-saxon (les études sont payantes), mais aussi en France (permet les cours particulier, le séjour linguistique, les écoles privées. Capital culturel: ensemble des

FICHE DE LECTURE : L’inflation scolaire, les désillusions de la méritocratie (Seuil, 2006) Présentation et résumé de l’ouvrage Marie Duru-Bellat est une sociologue française spécialiste des questions d’éducation, professeure à l’IEP de Paris et chercheur à l'Observatoire Sociologique du Changement. Elle a également enseigné à l'université de Bourgogne (IREDU). Ses principaux ouvrages ont porté sur les inégalités sociales et les inégalités de sexe au sein de l'éducation et de la socialisation. Elle

siècle dernier a- La démocratisation de l'école En cent ans, l’école a connu une véritable révolution, le nombre de ses élèves passant de 4,6 millions en 1910 à 15 millions aujourd’hui. Répondant à une très forte demande des Français, l’institution scolaire a donc réussi à intégrer 10 millions d’élèves supplémentaires répartis sur tous les niveaux d’enseignement. La généralisation des écoles maternelles a permis la scolarisation de tous les enfants de 3 ans alors qu’au début des années 1960, seul un

(ascendante) • Mobilité de proximité • Mobilité à la fois structurelle et nette DOC 2 • Causes de l’échec scolaire • Position sociale liée au niveau de diplôme • Rôle du capital culturel (surtout celui de la mère) – rôle du capital économique (pour des cours supplémentaires) – volonté des parents de voir leurs enfants réussir leur scolarité. DOC 3 • Constat des inégalités dans la réussite scolaire • Il vaut mieux avoir les deux parents cadres que les deux parents ouvriers pour espérer obtenir au

classe moyenne qui stagne et qui « s’éclate » - essoufflement numérique et tendance à la polarisation (société en sablier) - Des différences de situations (économiques et sociales) très marquées au sein même de ce groupe qui remet en cause la logique de classe sociale : situation face à l’emploi, face à la réussite scolaire... B) Des inégalités persistantes en dépit de l’uniformisation des c° - 84% des cadres et prof° libérales de plus de 15 ans ont déclaré avoir lu un livre

Exemple de ces règles universelles c’est la règle d’exogamie, c’est l’obligation de former alliance avec une autre famille, d’où le tabou de l’inceste (relations sexuelles avec des membres d’une même famille). Il y a trois raisons à cette règle : économiques : l’alliance permet l’échange entre les familles politiques : facteur de paix (voir les alliances entre familles royales) sociales : la société est ainsi plus solidaire. Diversité en matière de filiation ensuite ; On constate que d’une société

évaluation nommée « Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves »(PISA). Cet étude est une enquête menée tous les trois ans auprès de jeunes de 15 ans dans les 30 pays membres de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economique) et dans de nombreux pays partenaires. Les tests portent sur la lecture, la culture mathématique et la culture scientifique. En France les conclusions de ce rapport sont passées sous silence, dans les autres pays elles suscitent un débat national