Quiproquo

la tragédie, souvent des bourgeois qui ont un métier. L'époque est contemporaine à celle de l'auteur. Le lieu est un intérieur bourgeois. Le comique provoque le rire en donnant au spectateur une supériorité sur un personnage comique de situation (quiproquo) de gestes (jeux de scène) de paroles (répétitions) de caractères (l'excès moral). L'intrigue soulève des problèmes sociaux ou culturels et le dénouement est satirique. Souvent, il ya a une intervention en "in extremis" d'un deus ex machina. Ex:

vocabulaire fin et soutenu est mêlé au vocabulaire courant et actuel. Cette scène reprend le thème de la séduction d' Alcmène, épouse d'Amphitryon, par Jupiter, qui a pris les traits de son mari dans un but bien précis, cet extrait étant fondé sur un quiproquo. Le commentaire s’attachera à exprimer les trois «lieux communs» comiques et mythologiques exploités par Giraudoux. [En premier lieu, il s'agira de montrer comment l'auteur exploite une scène typique de deux amants: celle du dialogue suivant

Commentaire: Plan: 1) Il s’agira d’abord de voir comment Giraudoux exploite une scène typique de la vie quotidienne de deux amants. 2) Ensuite, on verra que Giraudoux exploite le thème comique du quiproquo. 3) Enfin, Giraudoux reprend à son compte le thème propre à la comédie du « trompeur trompé ». Introduction: Dans cet extrait, Giraudoux joue avec un certain nombre de « lieux communs » de la comédie et de la mythologie, qui pervertit cependant à des fins comiques. Le commentaire

présents dans cette scène d’exposition, le comique de situation, de mœurs et de mot. Ils servent à faire rire mais c’est aussi une manière de critiquer et de se moquer. Molière emploie le comique de situation, plus précisément le quiproquo dans L’École des femmes, le quiproquo est lorsque Horace, tombe amoureux d’Agnès et en parle à Arnolphe, sans savoir qu’Arnolphe compte se marier avec Agnès.Ce qui le rend drôle aussi, est le fait que le public sache que Horace fait une erreur en tout dévoilant à Arnolphe

permet-elle de tourner en ridicule le maître imbu (plein) de sa puissance ?Pour cela, nous étudierons cet extrait selon deux mouvements :1. Le Comte séducteur et ridicule au cœur d’un quiproquo (l1 12)2. Justification de l’infidélité (l13 fin)1e mvt : Le Comte séducteur et ridicule au cœur d’un quiproquo LE TROMPEUR EST TROMPÉ !!· Cet extrait présente une tentative de séduction :· Au niveau des gestes : il lui prend la main et la caresse, cela le montre les didascalies « prend

intense qu'au théâtre. On distingue aussi une autre forme théâtrale qui permet l'affrontement : le quiproquo. C'est un malentendu autour duquel toute la pièce de théâtre tounrne généralement, comme dans L'Avare de Molière, ou Harpagon accuse Valère, qui, sous pression, avoue son amour pour Elise alors qu'il était accusé d'avoir volé la cassette de l'Avare. Lorsque le malentendu s'éclaircit, le quiproquo éclate et laisse place à un affrontement souvent terrible; ici, Harpagon menace de faire pendre Valère

l’observation des efforts extrêmes que le juge fait pour détourner le soupçon de lui-même. Selon la citation, un thème important dans La Cruche Cassée est la surdité des personnages. Cela veut dire qu’il y a beaucoup de questions, de répétitions et de quiproquos. Par conséquent, les situations comiques se produisent mais il y a d’autres effets d’avoir des éléments de surdité. Il convient donc d’examiner dans quelle mesure Kleist utilise cette technique et l’effet qu’elle a sur sa lecture de La Cruche Cassée voire

3)Dans ce passage, on repère une situation comique, notamment un quiproquo. Il débute lorsque Horace nomme Agnès comme étant son amante "C'est Agnès que l'on l'apelle" au vers 327.A partir de cette réplique, Arnolphe est troublé. Horace ne sait pas que "l'homme" qui cache Agnès, et en faite Arnolphe, sous son nouveau nom. On repère au vers 335 Horace qui dit "C'est un fou n'est-ce pas ?"Ceci ne laisse plus aucun doute sur le quiproquo, Horace ne sait pas qu'Arnolphe est l'homme en question, il se moque

scène comiqueAprès la tension dramatique de la scène 7 (dialogue troublant entre Silvia et Dorante en domestiques), l’arrivée d’Arlequin donne de la légèreté au dialogue. 1. Comique de situation- Le quiproquo : l’ensemble de la pièce repose sur des quiproquos au sens propre (prendre qqn pour qqn d’autre). Ici, l’inversion des rôles entre Dorante et Arlequin assure cette 1ère forme de comique. Il est en effet amusant de voir comment un valet déguisé en maître se permet de parler

situation = un comique lié au quiproquo A/ Une situation structurée autour de la lettre Ttes les étapes de la scène st liées à la lettre: 1ère étape (l.41-67) = Rosine refuse que B. lise la lettre 2ème étape (l.68-89) = Elle échange les lettres 3ème étape (l.90-130) = Rosine force Bartholo à lire la lettre qu'elle a substituée mais il l'a déja lu et Rosine le sait ! Lettre --> rythme étapes de la sc. Ttes les scènes de quiproquo tournent autour de la lettre. Quiproquo = prendre un cas pour un