Quiproquo

Clitandre et le dit à Dandin sans savoir que c'est l’époux d'Angelique : LUBIN.- On le veut tromper tout doucement. Vous entendez bien ? (en parlant de Dandin) GEORGE DANDIN.- Le mieux du monde. On fera remarquer que cette scène réside sur un long quiproquo. Sonorité : Une music « les mots bleu » de Christophe chanté par Clitandre introduit l'acte I/ pour la transition et le passage à l'acte II chanson chinoise « sucrée » chanté par Claudine. Le décor : des sapins en carton pâte font les angles

élève Agnès loin de la société pour la faire ignorante et l’épouser par la suite. Il se rend compte qu’il est amoureux d’elle, en voyant Horace (l’amant) se rapprocher de celle-ci. Son 2ème nom est Monsieur de la Souche. Durant toute la pièce, un quiproquo se développe entre lui et Horace. Il incarne le personnage du cocu. -Horace : Il est l’amant d’Agnès et fils de l’ami d’Arnolphe, Oronte. Il se trompe sur la véritable identité d’Arnolphe. Il va donc se confier tout au long de la pièce à celui

vigoureuse défense des intérêts des auteurs dramatiques, ils lui doivent quelques-unes des plus belles heures de gloire de leur histoire. Jamais le succès du Barbier de Séville et du Mariage de Figaro ne s'est démenti. Des dialogues étincelants, des quiproquos réjouissants, des morceaux de bravoure, des rôles en or, toutes ces qualités valent à Beaumarchais une bonne place dans le palmarès des auteurs joués, malgré le nombre réduit des pièces au répertoire. Le succès de la reprise en série de la trilogie

que de divertir. Lors de la deuxième séance, nous pourrons continuer à compléter notre tableau et relever les quiproquos et les comiques de répétition qui crées le comique de situation de l’acte. L’effet comique est produit par la situation des personnages dans l’histoire qui est racontée. Il fait nuit et le lecteur/spectateur est omniscient. C’est ce qui crée la plupart des quiproquos. Dans la scène II les personnages ne savent pas à qui ils s’adressent : « Vous avez pris l’une pour l’autre ».

qu’il a un cancer, nous, soignants connaissons cette emprunte apprise (laissée dans le cerveau) mais pour le patient, son emprunte est différente ainsi nous essayons de la modeler pour qu’elles deviennent la même que la nôtre ainsi il n’y a plus de quiproquo. La maladie est quelque chose de vécu, elle est incarnée par le patient à sa façon car elle est unique en soi. Ex : SIDA est une maladie passé par plusieurs emprunte : * Au départ, la maladie n’était pas connue et était stigmatisé * Puis

travestissement des jeunes gens et décident de laisser ses chances au « jeu de l'amour et du hasard ».Acte II Dès la fin du premier acte et au cours de l'acte II, les rencontres entre maîtres et valets déguisés sont autant de surprises de l'amour et de quiproquos. En effet, Silvia et Dorante s'étonnent d'être sensibles aux charmes d'une personne d'un rang social inférieur. Lisette et Arlequin, de leur côté, s'émerveillent et profitent de leur pouvoir de séduction sur celui ou celle qu'ils prennent pour un

Sylvain. Mais Strobile le suis encore et récupère la marmite. Euclion est anéantit. Sur le chemin, il rencontre Lyconide qu'il questionne. Lyconide, persuadé qu'Euclion a découvert sa liaison avec sa fille, se confie et avoue tout. On assiste à un quiproquo, Lyconide parle de Phaedra et Euclion pense qu'il parle de l'or. Finalement, Strobile explique tout à Lyconide et ce dernier décide de rendre l'or à Euclion. L’Avare. Cette pièce s’appelle ainsi car l’intrigue est liée de près à Harpagon, un

burlesques) ou sur les particularités de la langue (jeux de mots, confrontation de registre, quiproquos, répétitions …), avec des tonalités particulières comme l’humour. 1. Il existe six grands procédés caractérisant le comique. 2. Le comique de geste : bousculade, claques, chute… 3. Le comique de mots : injures, jeux de mots, jeux sur les sonorités… 4. Le comique de situations : quiproquos, étourderies… 5. Le comique de répétition : de mots, de gestes mécaniques… 6. Le

nobles finiront ensemble, et les « petites gens » de leur côté – Marivaux retourne, dans cette comédie au dialogue étincelant, l’ordre établi, trouble les préjugés et inverse les rapports maîtres-valets. Cette situation engendre complications et quiproquos, et ce sont finalement les femmes, avec les serviteurs, qui se sortent le mieux de cette situation. Ainsi, Lisette est la première à comprendre ce qui se passe, puis elle l’avoue tardivement à Arlequin. Bien après, Silvia se rend à son tour compte

comique de mots est tout se qui touche au domaine du language (répétition,jeux de mot,recours au jargon );le comique de gestes c'est certains gestes qui vont faire rire le pubic (giffle,bagarre,coup);le comique de situation c'est tout ce qui est quiproquo malentendu rencontre fortuite ;le comique de caractere est baser comme son nom l'indique sur le caractère du pesonnages.Dans la piece de Molière comme Le Malade imaginaire il y a le personnage d'Argan qui illustre parfaitement le comique de caractére