Quiproquo

puis analyserons d’autre part les relations qu’entretiennent les personnages entre eux et leurs caractères. I Une scène d’aveu A_ Un quiproquo envers le confident d’Hippolyte (Théramène) Hippolyte se confie à Théramène son ami depuis l’enfance v66-67 ; il avoue ses sentiments amoureux envers Aricie et souhaite la fuir. Il y a une mise en place d’un quiproquo ; Théramène croit que l’hostilité de Phèdre fait fuir Hippolyte (V 37à 47) il ne comprend pas la raison pour laquelle Hippolyte veut fuir

rire de la duplicité du personnage. b. Les quiproquo, ressort comique du théâtre. Stratagèmes donnent lieu à des quiproquos -> figure de Marton comme objet du stratagème organisé par M. Rémy (I,4). Ce même quiproquo s’amplifie scène 3 de l’acte II -> Rémy et Marton pensent que Dorante a refusé les avances d’une riche inconnue par amour pour Marton. · provoque le rire du spectateur car amplifie la confusion et renverse le stratagème. · Les quiproquos, ressorts comiques du théâtre, amusent le

2 ; III, 2 ; IV,3 et 5 (extraits) Les procédés pour faire rire : Actes I, 3 et 4 ; II, 1 et 5 ; III, 1et 5 (extraits) Le monologue d'Harpagon : Acte IV, scène 7. Le monologue d'Euclion, Acte IV, scène 9; La Marmite, Plaute (étude comparative) Le quiproquo et le dénouement : Acte V, scènes 5 et 6. Etude de l’image : L'Avare, d'après l'oeuvre de Molière, film de Louis de Funès et Jean Girault (extraits) Comédiens et farceurs italiens, Vério (étude de l'image) Objectifs de lecture : Les sources d'inspiration

rôle de maîtres et montre qu’ils ont du mal à soutenir ces rôles sans se trahir. Nous pouvons nous demander en quoi cette situation de quiproquo a pris une tournure comique, burlesque ? Dans un premier temps, nous nous pencherons sur la manière dont les aveux ont été confessé et dans un second temps, le burlesque qui en a découlé. Le quiproquo est très présent au début de l’extrait. Les aveux vont se faire en trois étapes. Tout d’abord Arlequin se sent piégé, il ne sait comment

l'acte II du vers 737 au 759. Orgon ne veut plus marier Valère et Mariane, sa fille. Orgon veut que sa fille se marie à Tartuffe. Cette nouvelle cause génère un quiproquo et une dispute entre les deux amants. Mais Dorine, la suivante de Mariane, interviendra. Dans un premier temps, nous verrons comment le comique s'installe dans ce quiproquo. Puis les origines de celui ci, comment l'incommunicabilité et les obstacles poussent Valère et Mariane à mentir dans cette scène . La scène 4 de l'acte II

comte ... Beaumarchais établit une relation d'égalité entre le valet et le maître par la symétrie des répliques, par le déguisement du compte accoutré en valet et par la supériorité spirituelle de Figaro. L'auteur a écrit une pièce pleine de quiproquos : déguisements, jeux de cache-cache , stratagèmes divers et variés … On pourrait dire aussi que cette scène d'expo annonce déjà la tonalité de l'oeuvre; c'est une comédie, le ton sera donc comique. On voit déjà le lien de cette comédie avec

par l'émotion et par la lecture II Portrait de Julien par Mme de Rênal Quiproquo sur la nature de Julien, il est pris pour une filles et plus jeune Quiproquo sur l'image du précepteur Elle superpose le modèle rêvé à la réalité Champ lexical féminité Mme de Rênal remarque d'abord la pâleur et la tristesse et conduit à la jeune fille déguisée Cette rencontre entre Julien et Mme de Rênal était basé sur un quiproquo et les portraits croisés sous le signe de l'éblouissement, présage d'une relation

porter autant d’attention à la façon dont il s’habille. Il qualifie cela de vengeance. Cléante avoue son amour pour le jeu et donne raison à son père. Allusion à des gestes p. 54-55. Élise et Cléante veulent lui parler de mariage. Page 58, quiproquo entre Cléante et Harpagon. Cléante vante Marianne et Harpagon est résolu de l’épouser, à la grande surprise de Cléante. Didascalies page 60-61. Harpagon donnera sa fille Élise au seigneur Anselme, mais elle refuse de se marier. Page 61-63, comique

espacerestreint (souvent, la campagne). Le narrateur qui est un troubadour (ou trouvère) intervient dans le récit, dans les formules d’introduction et de conclusion. Le fabliau sert à la fois à faire rire le lecteur (il repose sur une ruse, un quiproquo), et à faire une critique de la société. Il comporte d’ailleurs une morale. III) Les étapes du récit - La situation initiale est celle du début de l’histoire. C’est une sorte d’introduction qui présente le héros, les personnages du récit, le lieu

pas qu'Arnolphe est en verité M. de la Source, le futur époux d'Agnès, son rival. A priori, la situation comique serait un quiproquo. Pour finir, Arnolphe se livre à un monologue. Nous parlerons d'abord de la situation comique, puis d'Horace, un jeune premier et enfin du trouble d'Arnolphe. Dans ce passage, on repère une situation comique, notamment un quiproquo. Il débute lorsque Horace nomme Agnès comme étant son amante "C'est Agnès que l'on l'apelle" au vers 327. A partir de cette