Quiproquo

présence de la Jolie Dame. On peux observer ici que le caractère têtu et égoïste des troispersonnages renforce le comique de situation du au quiproquo entrainant les personnages à se disputer. En effet, le spectateur n’ayant aucune information au début de la pièce découvre que lespersonnages sont persuadés que la Jolie Dame en question est leur fiancée, d’où le quiproquo présent. C’est donc le caractère des personnages que le comique est facilement compréhensible dans cette pièce. Deplus le choix des noms

répétition et les effets de langage. Il en existe plusieurs : le comique de situation, de caractère, de mœurs et de geste. Ils ont chacun une signification différente mais importante pour une scène comique. Le comique de situation est fait de quiproquo, de malentendu entre deux ou plusieurs personnages. Le comique de caractère est dû à la personnalité, les manières, les défauts, les qualités d’un personnage. Le comique de mœurs est d’insister sur les tendances de l’époque. Le comique de geste

Rageneau (ami de Cyrano) et met en scène Cyrano et Roxane qui doit lui avouer quelque chose. En quoi cette scène est décisive pour la suite et en quoi cela mêle pathétique et comique. I) L’intimité des deux personnages II) Avue de Roxane (quiproquo) III) Déception de Cyrano DEVELOPEMMENT : Certes ce sont deux amis qui ce parlent en se rappelant du passé. Tout d’abord pour apporter une belle atmosphère en parlant de leurs souvenirs, la nostalgie règne. Roxane utilise le champ lexical de

argumentatif (quiproquo et incompréhension entre Hector et Hélène) mais c'est aussi une double énonciation 1ère partie : « choisis » est répétée → la répétition montre en anaphore le quiproquo en effet le choix n'est pas présent helene voit l'avenir et rien ne peut être modifier De plus helene assume cette notion de fatalité (elle seule voit l'avenir et accepte la fatalite) → Elle assume le fait d’être utiliser par les dieux / opposition a Hector → donne naissance au quiproquo sur le choix

Molière, à lire et à relire. Il faut cependant se montrer attentif car on se perd facilement dans les fourberies et les noms des personnages, un livre très agréable cependant !" "Ce livre m'a beaucoup plu, grâce au langage du temps de Molière. Les quiproquos et intrigues sont nombreux..." "Dans la bibliographie de Molière, les fourberies de Scapin est une oeuvre à part. Directement inspirée de la commedia dell'arte, elle symbolise le retour à un rire franc et jovial. Peuplée par une galerie de personnages

de son compatriote et ne veut plus s’en séparer. Elle met en place un stratagème pour éviter qu’il parte de son nouveau poste et est même prête à le suivre si toute fois il était venu à ce qu’il parte. 11- La pièce se termine à ce qu’un quiproquo entre les personnages vient tout bouleverser : -« Dorante, avoue tout à Silvia bien qu’il sache qu’il ne peut l’épouser ; il ne peut cependant se défendre de l’aimer. Mario, sur demande de Silvia pour le tester encore, lui défend

scène, Edmond Rostand s'est inspiré de la scène du balcon de Shakespeare, dans laquelle figurent Roméo et Juliette. En effet, dans cette scène, Christian et Cyrano se trouvent en dessous du balcon de Roxane. Cette scène est particulière car un quiproquo a lieu : Christian aime Roxane mais celle ci le rejette à cause de son ignorance. Cyrano l'aime lui aussi mais n'ose pas le lui déclarer, car il se trouve trop laid. Sous le balcon de Roxane, durant la nuit il est invisible et peut enfin laisser

plupart du temps à donner un aspect ridicule et divertissant à la scène, et amène ainsi le lecteur au rire.Dans l’acte III, scène V, on assiste à un quiproquo, puisque Thomas Diafoirus, le jeune médecin, pense faire une déclaration à Béline, la belle-mère, alors qu’il s’adresse en fait à Angélique. Molière joue ainsi dans son œuvre sur de nombreux quiproquos qui rendent les scènes comiques et qui ici permet de renforcer le caractère stupide de Thomas Diafoirus, et ainsi provoquer des réactions des spectateurs

1) Pièce 1 : L’avare, Molière. Dans cette pièce, nous retrouvons le comique de mots avec les hyperboles « un guet-apens », « un assassinat », le comique de situation par le quiproquo entre Harpagon et Valère. Harpagon accuse Valère d’avoir volé sa cassette de louis d’or et celui-ci avoue tout en croyant qu’il l’accuse d’aimer sa fille, et le comique de caractère avec l’avarice d’Harpagon, qui tient plus à son argent qu’à sa propre fille. Nous avons une caricature très poussée de l’avare car Harpagon

sa deuxième réplique. 3) anachronismes Anouilh une fois de plus pervertit le langage de la tragédie par l'emploie de nombreux anachronisme "carte postale" "rouge à lèvre" "café" 4) quiproquo Il s'agit en réalité d'un dialogue de sourd, construit autour du quiproquo du rendez vous d'Antigone. Cette discussion avec la Nourrice renforce un peu plus la solitude d'Antigone car sa nourrice ne comprend pas du tout la situation qu'elle va devoir affronter Antigone apparait seule