Quiproquo

derrière le comique de cette scène dénonce l’avarice du personnage d’Harpagon. La scène commence et tout de suite on remarque la présence d’un comique de situation. Dans cet extrait les personnages sont placés dans une position ridicule. Il y a un quiproquo entre Harpagon et Valère que l’on peut relever tout au long du texte grâce aux expressions suivantes : « l’amour de mes louis d’or » (l.7), « Appelez-vous cela un vol ? » (l.13), « Il parle d’elle comme un amant à une maîtresse » (l.56). On remarque

ait tout l’amour et toute la tendresse. ALCMÈNE Amphitryon, en vérité, Vous vous moquez de tenir ce langage, Et j’aurais peur qu’on ne vous crût pas sage, Si de quelqu’un vous étiez écouté. Sur quel quiproquo repose cette scène ? Et analyser le fonctionnement de ce quiproquo.

* dialectiques : opposer des points de vue federateurs. * Reunir les interlocuteurs autour d’un projet commun * Persuasive poussé a la décision a l’action. * Un cas particulier : le quiproquo * Comique ou tragique Erreur sur l’identité d’une personne ou sur la nature le quiproquo établie un connivence avec le lecteur. Le dialogue a ici une fonction essentiellement informative : Neron livre un secret a Burrhus : l’assassinat prémédité de Britanicus et ses mobiles Mais il s’engage

qui ont jalonné (eu lieu) tout au long de la négociation. 2/ Traiter les objections Objection de Madame Linard Objection réelle Objection quiproquo Objection prétexte Les informations que je traite ne concernent que nos clients Les différentes objections Qualification Traitement Les infos que je traite ne concernent que nos clients Quiproquo ou prétexte Le compte tenu de la procédure de fusion, les clients de SSL vont devenir les clients de Mondial Protection Je n’ai pas le temps

ami. Au v.349 Horace se pose des questions sur le comportement d’Arnolphe, et l’interprète comme de la lassitude. L’extrait est fondé sur un quiproquo qui apparaît lorsqu’Horace révèle le nom de celle qu’il aime, Agnès, à Arnolphe. En effet Horace ignore que se dernier est aussi le M. de la souche qui séquestre Agnès. Les v.328 et 331 appuient le quiproquo. Arnolphe bien décidé à tout découvrir réplique avec un comique de langage v.333. Il est surpris par ce qu’il vient d’apprendre sur lui et reste

vulnérable, fragile et comment il fait de l’homme de rencontre une créature inquiétante Axe 1 : Description de Lucien -de sombres pensées -la symbolique du bouquet de fleurs Axe 2: Description de l’inconnu -la description de l'inconnu -le quiproquo -son équipage Illusions perdues de Balzac est un roman de 1843.Dans un premier temps nous allons analyser le jeune Lucien et dans un second temps l’inconnu. Dans un premier temps nous allons étudier le désespoir. en effet Lucien a un souvenir

(du temps où elle ne pensait pas encore aux hommes, était innocente). 2)Un dialogue de sourdes. a)Une fausse piste: le « quiproquo »autour du rendez-vous (« quiproquo » qui finit à la page 20). La nourrice croit qu'Antigone avait un rendez-vous amoureux la nuit. Or, Antigone est allée recouvrir le corps mort de son frère Polynice contre le décret de Créon. Le quiproquo est le propre de la comédie ➜ introduction du registre comique dans la pièce. b) Des personnages en décalage. Une différence

les deux veulent épouser la même jeune fille. Au cours de la pièce une jeune fille naïve découvre l’amour et apprend à ruser pour finir par épouser celui qu’elle veut. L’intrigue est pleine de rebondissements. Le principal ressort comique est le quiproquo à propos de l’identité d’Arnolphe : tout au long de la pièce Horace se confie à Arnolphe sans savoir que c’est lui le tuteur d’Agnès. C’est le cas dans le passage que nous allons étudier : acte 4, scène 6. Il s’agit d’un récit fait par Horace à Arnolphe

puis au Théâtre des Variétés de 1991 à 1993.  L'histoire est celle d'une petite troupe de comédiens qui répète puis interprète une petite pièce sans prétention mais qui sera prétexte à toutes les catastrophes et à tous les rebondissements. Gags et quiproquos, effets sonores, accessoires truqués, portes qui claquent, mise en scène originale, bonne humeur des comédiens dont l'un a même été pris d'un fou-rire non prévu sur scène hier soir, tout contribue à faire de ce vaudeville une mécanique à la Feydeau

Paul François Guidini 5 ème I Estula est un fabliau comique du Moyen âge écrit par un anonyme Cette histoire est un vaste quiproquo qui raconte que deux jeunes garçons, tiraillés par la faim, décident un soir d’aller chez l’homme riche, voler des choux et une brebis, surpris par le fils du maître de maison , qui pensant qu’il s’agit du chien « estula » l’appelle et c’est l’un des voleurs qui répond, alors il croit à la manifestation d’un démon. Pris de panique, appelle son père et lui raconte