Phénoménologie de la religion

dans le repos, ne pourrait évoluer. Rien ne distinguerait les bergers des animaux. L’homme resterait toujours dans l’état naturel, ne progresserait pas. N’est-ce pas alors par le travail que l’homme peut réaliser son humanité ? (Hegel, Phénoménologie de l’esprit, la dialectique du maître et de l’esclave). En effet, le travail n’est-il pas une activité de transformation de ce qui est donné/naturel ? N’est-ce pas dès lors ce par quoi on parvient à dépasser la nature et donc à se faire homme

le théâtre romain) le masque de scène • Puis le terme est passé au rôle = au personnage • Et enfin à l’acteur = la personne L’acteur portant le masque = le personnage, le rôle L’acteur ayant soulevé le masque = luimême, la personne Phénoménologie de la personne (P. Ricoeur) • Le langage courant attribue le nom de personne à tout être humain qui : parle, raconte sa vie, agit, et s’acquitte de ses responsabilités • Il y a donc 4 phénomènes (expériences) qui composent la personne : – Le

disparaît devant la présence de la chose (l'arrivée du van) qui empêche la pensée : c'est la conscience de soi troublée par l'irruption du monde, la tour d'ivoire ébranlée par le réel, le pour-soi troublé par l'en-soi pour parler le langage de la phénoménologie sartrienne, sauf que Roquentin n'est pas perturbé par un cheval, mais un âne mort déguisé en siège d'autobus. Parallèlement, l'étiquette "méthode expérimentale" appliquée par Cidrolin au contact avec le réel choque et intrigue le passant

désignant au moins jusqu’au dix-septième siècle, et même encore beaucoup plus tard, toute forme de connaissance prétendant à la rigueur rationnelle ou à la systématicité (Hegel, Husserl parlent encore de science à propos de la philosophie ou de la phénoménologie)... Alors que par connaissance scientifique, on entend aujourd’hui à la fois certes un discours rationnel s’opposant étymomogiquement au mythos (le mythe) ou à la simple opinion (doxa /épistémé), mais plus précisément un discours reconnu 1

monde en 1919, les relations que l’homme noue avec le monde (aspiration à une élévation spirituelle, attitude pragmatique,…). Développe la notion des situations limites dans lesquelles l’homme s’épanouit pleinement. Edmund Husserl a développé la phénoménologie, mathématicien d’origine et appartenant au groupe de Vienne. Il s’interroge au départ sur les phénomènes mentaux étranges que sont les idées mathématiques : que sont-elles, à quoi renvoient-elles ? Peut-on renvoyer à une naissance ultime des choses 

de tout processus reproductif naturel (« vie artificielle » ou cellule artificielle). Sommaire [masquer] 1 Description 2 Sens de la vie 2.1 Physique 2.2 Philosophie 2.2.1 Idéalisme et matérialisme 2.2.2 Définition phénoménologique 2.3 Religion 3 Science 3.1 Définitions 3.1.1 Autres définitions 3.2 Propriétés 3.2.1 Activités caractéristiques 3.2.2 Structures et chimie caractéristique 3.2.3 Formes frontières 3.2.3.1 Réplicateurs biologiques non viraux 3.2.3.2 Virus 3.3 Localisation

1789, les inégalités paraissaient légitimes ; l’esclavage en témoigne. L’émancipation de 1789 a comme idée directrice la notion de liberté. La démocratie est libérale à cette époque. La liberté correspond également au détachement de l’Etat de la religion. C’est en 1905 la laïcité et la perte de l’influence de l’Eglise. Les droits sont à présent des droits naturels et non plus des droits divins. Cette nature a produit un homme bon d’après Rousseau. 3. Naissance de l’Etat. A la fin du 18° siècle

sa marque personnelle comme en témoigne Simone de Beauvoir. L’originalité de Sartre, c’est que, prêtant à la conscience une glorieuse indépendance il accordait tout son poids à la réalité. Pour faciliter le retour au concret, Sartre adopte la phénoménologie de Husserl, qui veut… dépasser l’opposition de l’idéalisme et du réalisme, affirmer à la fois la souveraineté de la conscience et la présence du monde, tel qu’il se donne à nous3. L’essentialisme est un constat selon lequel, dès sa naissance

utilisée par Sartre, et Heidegger pour bien souligner que le monde en général est avant tout une structure de sens visée par l'Homme comme horizon de son action et de ses projets avant d'être un objet de connaissance. C'est pourquoi pour la phénoménologie, l'Homme n'est pas face au monde, mais dans le monde. Et on comprend dès lors que l'Homme s'approprie le monde en quelque sorte et le définit comme tel dans l'optique de ses projets. Sans l’homme, le monde n’aurait ni existence, ni sens. Il

que les seconds appellent « principes ». Par la suite, la philosophie médiévale qui été très liée à l'Église, et les réflexions philosophiques ont souvent un fonds religieux et théologique plus ou moins prégnant. Le christianisme est sans doute la religion qui a le plus revendiqué le concept de théologie. Certains de ses courants ont ainsi développé un ensemble de dogmes et de doctrines, qui ont donné lieu à de longues controverses. Cette tentative «d'améliorer» la philosophie antique apparaît clairement