Phénoménologie de la religion

En quoi les expérimentations et innovations pédagogiques ont permis de faire évoluer l’EP ? 1936-1960 : Innovations incrémentales Contexte social Textes officiels Finalités de l’école Pédagogie EPS Innovations Entre deux guerres : l’heure est à la reconstruction 1939-1945 : Deuxième guerre mondiale Gouvernement de Vichy Après 1945 : Un nouveau contexte d’après- guerre : les français sont en mauvaise santé, et la France est détruite. Nous avons besoin d’une main d’œuvre

de coexistence. Fin du chapitre. CHAPITRE 3 L'APPORT DE LA PHÉNOMÉNOLOGIE Nous la traitons à part, car elle tient à la fois de Descartes et de Leibniz. 3.1 RAPPELS CONCERNANT LA PHÉNOMÉNOLOGIE A) GÉNÉRALITÉS 1) Apparition du terme Chez Johann Heinrich LAMBERT, en 1764. 2) Étymologie C'est un discours sur les phénomènes, c'est-à-dire les apparences. Mais les phénomènes ne constituent, pour la phénoménologie, qu'un point de départ, pour aller aux essences, d'où la définition

publiquement. La monarchie et la noblesse n'étaient plus qu'une façade sans crédibilité. Le règne de la bourgeoisie financière, commerçante et manufacturière commença. Le capitalisme fit son apparition. Les Lumières refusent la prétention de la religion à tout expliquer, à fournir les raisons ultimes; elles veulent distinguer entre les différentes sphères de la réalité: le naturel, le politique, le domestique, le religieux, chacun ayant son domaine de pertinence et ses lois, chacun exigeant des

Ainsi l'on recherche la cause d'un Créateur premier, d'un architecte omnipotent, responsable de tous les êtres sur Terre, mais aussi des essences qui les composent. Cependant certains philosophes nient l'existence de ce dieu, non dans le sens d'une religion mais dans le sens d'une origine d'où découlent la pluralité des êtres, et les causes qui ont suscité leur existence. D'autres, affirment l'existence de Dieu, comme Descartes, qui, dans Les Méditations Métaphysiques, après avoir confirmé son existence

qui trompe.) « Les Dieux se réjouissent du malheur des hommes » Exemple : Ulysse. Descartes évoque un Dieu sadique, vicieux, trompeur. Grande rupture, car le Dieu que Descartes décrit est le Dieu qui a fait l'homme à son image. Contexte : 17° Religion commence à perdre son pouvoir, et la pensée philosophique, artistique etc … autonomie vis à vis du religieux. Sécularisation = Autonomie d'un domaine vis à vis d'un domaine religieux. → Admettre cela revient à emmètre l'hypothèse que Dieu n'existe

leur plus grande crédibilité(4) et fiabilité(5). En effet La philosophie étant vue comme la plus prestigieuse des disciplines(6) et que toutes les autres disciplines proviennent d'elle. Vue comme tel, elle est donc à l'origine de toutes sciences, religions ou des concepts de beauté, d'art, de numérologie(7), de sculpture, de médecine ou d'organisation sociale. Ils seraient donc plus en accord avec la raison que le mythe. Or, cela nous emmène justement à la question soulevée par notre sujet, quelle

romantisme, le symbolisme, le surréalisme… Par ailleurs, depuis le xxe siècle, la psychanalyse freudienne, la psychosociologie religieuse (Mircea Eliade), la psychologie (école jungienne), le néokantisme (Ernst Cassirer, Martin Heidegger), la phénoménologie (Edmund Husserl), l’herméneutique, ou encore certains récents travaux de philosophie et de sciences cognitives revalorisent les représentations visuelles, les pratiques imaginatives, la métaphore. Mais notre civilisation, déplore G. Durand, reste

demandant quels sont les sens (au pluriel) et la portée des concepts de chaque époque : chaque époque a une religion, une science et des arts bien déterminés.« comment l’Esprit parvient-il à se donner un tel contenu ? Quelle est l’origine de celui-ci » Nous dit Hegel au début de ce même paragraphe 7 : il faut, autrement dit, nous demander non pas ce qui fait la spécificité de telle religion (quelles sont ses pratiques, ses lois ? etc. ) mais en quoi l’Esprit a eu besoin, à un moment donné, de passer

caractéristiques de cette existence. De la sorte, la compréhension de l’être n’est pas un fait purement théorique car pour Heidegger, l’être-là est un évènement fondamental où la destinée de l’homme devient architectonique, comme l’a pensé la phénoménologie Husserlienne par ce retour « aux choses même », l’homme pris comme être singulier de l’humanité. Heidegger se bat contre la séparation entre existence et connaissance, ce qui renvoie à l’idée de l’intentionnalité développée par Husserl. Husserl

rapport a ce sujet. L'auteur compare toujours deux idées en même temps pour pouvoir laisser le lecteur réfléchir, mais il finit toujours par démontrer qu'on ne peut pas vivre heureux dans la solitude. Il parle des religions qui on aussi un rapport avec la solitude, car certaine religion telle que le bouddhisme essaie d'atteindre le bonheur seul, sans l'aide de personne et de progresser dans son cheminement seul. À la fin de la dissertation, il finit par dire strictement que nous ne pouvons pas