Phénoménologie de la religion

sont étrangers, comme le cannibalisme, les mutilations sexuelles, ou les rites d'initiation. Montaigne, dans le chapitre de ses Essais intitulé Les cannibales, fait observer que le plus sauvage n'est peut-être pas celui qu'on pense : les guerres de religion ne sont pas plus civilisées que les rituels d'anthropophagie. On retrouve cette même ambiguïté à propos de la Déclaration universelle des droits de l'homme qui, comme son nom l'indique, s'est proposé de donner une idée universelle de l'humain. Or

tout et par lui le tout et vers lui le tout; et si le tout ne contient pas le tout, le tout n’est rien." (Ἓν τὸ πᾶν καὶ δι' αὐτοῦ τὸ πᾶν καὶ εἰς αὐτὸ τὸ πᾶν καὶ εἰ μὴ ἒχοι τὸ πᾶν οὐδέν ἐστιν τὸ πᾶν) – Zosime de Panopolis "It must be admitted that religion, in Homer, is not very religious. The gods are completely human, differing from men only in being immortal and possessed of superhuman powers. Morally, there is nothing to be said for them, and it is difficult to see how they can have inspired much

Stroming: | Bijzonderheden | Pièces | Moyen-âge (500-1500) | * Dieu au centre de l’univers * Littérature est liée à la religion * Théâtre scènes de la bible, vie des saints (pour gens qui ne savent pas lire) | | XIIe siècle | * Théâtre va vers le parvis * Sujets comiques pour s’amuser | Le jeu d’adam, Mystère | XIIIe siècle | * Mélange des éléments comiques et tragiques, profanes et l’amour | Le miracle de Théophile (but moralisateur) | XVe siècle | * La farce * L’humour

n’appartient à l’évidence ni à la famille, ni à la société, ni à l’État dont je suis membre, ni sans doute au genre humain. Existe-t-il, malgré tout, un lien entre les hommes susceptible de se manifester malgré les différences de culture, de langage ou de religion ? L’histoire nous donne parfois l’occasion d’en douter. Dans la question posée, le verbe pouvoir renvoie à une capacité concrète, quasi matérielle : le sens premier de la question est de savoir si mon comportement peut manifester une étrangeté radicale

toutes les causes possibles en essayant d’y mettre de l’ordre : Dieu, la nature et la société. - cause transcendante : le travail serait une malédiction, un châtiment en réponse à une faute originelle. C’est le discours de la mythologie et de la religion. [Référence : Ancien testament]- cause immanente : cette contrainte serait inscrite dans la nature de l’homme ou dans la nature elle-même. Par exemple, celui-ci serait condamné à tout tirer de lui-même. [Référence : Kant].- cause latérale : la société

philosophique de la lucidité dans les termes d'une distinction de différents états de conscience est proposée vers la fin de la thèse, où l'intention philosophique de l'ensemble est mieux affirmée. Les outils philosophiques évoqués appartiennent à la phénoménologie (la tradition indienne est aussi mentionnée), mais ne sont pas réellement mis en oeuvre d'une manière systématique. L'auteur s'est attaché essentiellement, et volontairement, à une étude descriptive qui lui a permis d'écarter certaines interprétations

Aujourd’hui, l’éventail des disciplines permettant d’éclaircir cette relation s’est largement ouvert, allant de la psychologie psychanalytique aux neurosciences. Mots clés : personnalité, intelligence émotionnelle, inconscience, psychanalyse, phénoménologie, construits personnels The emotional dimension of the personality of the consumer: Theoretical reflection on the concept of emotional intelligence as an explanatory factor of personality Abstract: Since antiquity, the relationship between consumer

Sacer est dérivé du verbe latin sancire : délimiter, circonscrire. Toutefois, comme le remarque l'anthropologue Edward Evans-Pritchard, le sacré ne saurait être défini par sa stricte opposition à ce qui n'est pas lui, c'est-à-dire au profane (La religion des primitifs, 1965, pp. 78-792). En fait, sacré et profane s'entremêlent à un même niveau d'expérience. Chez nombre de sociétés traditionnelles, dans le cas par exemple d'une maladie que l'on croit être le châtiment d'une faute ou plus exactement

qu’ils sont «fâchés» avec eux-mêmes. Ils culpabilisent d’être seuls, ils pensent que personne ne les aime parce qu’ils ne sont pas aimables. Ils sont insupportables à eux-mêmes et se croient insupportables aux autres. Certains pensent que c’est la religion judéo-chrétienne qui dévalue la solitude. Mais il faut aussi évoquer Voltaire qui faisait de Rousseau un «méchant» parce que ce dernier aimait vivre en ermite. La solitude pour les chrétiens est mauvaise car elle renvoie à celle de Caïn lequel

qu’il se passe autour de nous. Bergson : la csc s’intensifie dans les moments difficiles ou il faut faire des choix : elle est bcp plus dvpé chez H cat proportionnelle à la quantité de décision qu’on doit prendre (donc au libre arbitre) Husserl : phénoménologie : toute csc est csc de qqch, la conscience est une visée et non une réalité autonome, elle n’existe pas indépendamment des objets. Hume : le « Moi » n’est pas un fait de l’expérience, il y a juste en moi des perceptions multiples et changeantes