Merleau Ponty

Dissertation de philosophie Sujet : Faut-il croire encore au progrès ? L'histoire est elle un témoin du progrès de l'humanité? Àce problème, Merleau Ponty, auteur existentialiste du XXè siècle, répond que le progrès n'est que probable, voir même que tout est possible à la liberté humaine. Pour répondre à la question faut-il croire encore au progrès, nous allons tout d'abord étudier la critique de l'idée de progrès, puis nous allons voir que le progrès vient aussi de la Raison de l'homme

l’individuel, l’intime. C. Le domaine de la morale semble aussi exclu du domaine de la science : seul face à ses choix, il n’y a pas de science du bien et du mal. Les sciences concernent les faits non les valeurs. D. La question du sens. Merleau-Ponty : « la science rend le monde disponible, l’art le rend habitable. » II. Mais la science, le savoir ne se réduisent pas au domaine scientifique. A. Les sciences humaines, la philosophie, la psychanalyse répondent aux questions que ne couvrent

avoir un fils pour en faire un polytechnicien. D'ailleurs, il répètera à Simone : « Tu as un cerveau d'homme ». Son père lui a transmis le goût du théâtre ainsi que son amour de la littérature. Avec Sartre, Raymond Aron, Michel Leiris, Maurice Merleau-Ponty, Boris Vian et quelques intellectuels de gauche, elle fonde une revue : "Les temps modernes"qui a pour but de faire connaître l'existentialisme à travers la littérature contemporaine. Après plusieurs romans et essais où elle parle de son engagement

pouvoir penser les relations entre le corps et l’esprit. La perception, malgré ce que nous dit Descartes dans les Méditations Métaphysiques pourrait être un moyen de connaissance de notre corps et de notre esprit. Cette idée est présente chez Merleau Ponty dans l’essai Sens et non sens. Dans cet essai, celui-ci rejette la psychologie traditionnelle qui voudrait que nous intellectualisions nos perceptions : «  la psychologie classique fait donc de la perception un véritable déchiffrage par l’intelligence

L’artiste ne quitte pas les apparences, il veut leur rendre leur densité… Si pour le savant le monde doit être disponible, grâce à l’artiste il devient habitable. »                                                                                      Merleau-Ponty   Un scientifique a une vision quantitative des choses, alors qu’un artiste a une approche qualitative. Du coup, l’un nous permet de prévoir, d’agir du le monde, et l’autre de lui donner du sens, d’y trouver notre place. Donc l’art et la science

plus, la recherche axée sur la théorie de la pulsion de Freud, nous a permis de nous intéresser à d'autres auteurs, tout aussi importants, tel que Merleau-Ponty. Nous avons donc par la suite tapé dans la barre 4/15 de recherche les mots « Merleau-Ponty langage corporel », Cela nous a mené à un document écrit par Philippe Touchet nommé « Merleau-Ponty, le langage et la parole ». Toute comme le Mémoire de Delphine Vinchon, cela nous a aidé à compléter nos informations concernant la partie corporel

conscience de soi - homme = "roseau pensant" - homo sapiens sapiens = celui qui sait et qu'il sait ce qu'il sait - conscience reflexive = conscience de la place qu'on a dans la société b) Le passage d'une conscience objective à subjective - merleau-pontyy = processus de cognitivité (perception, identification, interprétation) c) Le libre arbitre - volonté propre me caractérise - liberté de jugement est subjective II - La conscience de soi mène à être étranger à soi a) La contingence

de pensée claire, donc de vraie pensée, sans les mots (donc sans la langue). Hegel pense que la pensée et les mots sont indissociables. Chacun pense dans sa langue donc la pensée est différente : « C'est dans les mots que nous pensons. » Pour Merleau-Ponty, « la pensée n'est rien d'intérieur, elle n'existe pas hors du monde et des mots. » Saussure trouve que « prise en elle-même la pensée est comme une nébuleuse où rien n'est nécessairement délimité. Il n'y a pas d'idées préétablies et rien n'est

connaître que la feuille qui me fait face. | | |Autrui n'est jamais un objet comme un autre. Et c'est bien ce que l'on peut voir | | |avec  Merleau-Ponty dans la Phénoménologie de la perception dans laquelle il nous dit : « Je | | |perçois autrui comme comportement […] Mais enfin le comportement d'autrui et même les paroles |

Morte le 14 avril 1986 à Paris 1929 - Agrégation de philosophie (2ème derrière J-P. Sartre)1936 – premier poste à Paris Fonde la revue Les Temps Modernes avec Sartre, Raymond Aaron, Michel Leiris, Maurice Merleau-Ponty, Boris Vian… pour faire connaître l'existentialisme à travers la littérature contemporaine. Nombreux voayages 1949 – Le Deuxième Sexe  (essai philosophique) : consécration 1954