Les Sources Du Pouvoir Selon Crozier

l’entrepreneur et son innovation au cœur du développement économique : ce dernier prend des risques pour innover et donc créer de nouvelles opportunités sur le marché et se rémunère par le profit.- la « destruction créatrice » : les innovations sont sources de croissance et de crise car quand une innovation s’épuise, une autre prend le relai.- « grappe technologique » : une innovation majeure est toujours suivie d’autres innovations. | Henri Fayolingénieur français | Début 20ème | La logique managériale

1 Pouvoir et légitimité Initier de nouvelles pratiques, provoquer le changement dans une structure, à fortiori dans un parti, c’est se poser la question des pouvoirs et de l’organisation de ceux-ci. C’est se questionner inévitablement sur la démocratie et la légitimité des pouvoirs. Au risque d’agacer1, je crois qu’il est essentiel, avant même de formuler des réponses, de préciser, les significations de certains termes afin d’interroger nos représentations. Il se trouve que j’ai récemment eu

(rationnelle) de son point de vue, en fonction de ses enjeux : ce qu’il pense pouvoir gagner ou perdre du fait du changement, donc du Projet. L’enjeu est la conséquence d’une action ou d’un événement qui a du sens pour un acteur. Les enjeux sont souvent contradictoires pour un même acteur : Un acteur A, en même temps, a à gagner et à perdre avec un Projet. Les différentes composantes du changement vont être des sources d ‘enjeux possibles pour les acteurs. Les enjeux sont basés sur

Chapitre 2 : L’exercice du pouvoir Il s’agit de l’étude de rapports de force qui existent dans l’entreprise. C’est aussi celle de la gestion des différents niveaux hiérarchiques (davantage un travail en terme de management  les entreprises qui vont décentraliser) Actuellement, il y a beaucoup d’études basées sur le travail du dirigeant, notamment sur son style de direction, il y a des profils différents de patrons, ceux-ci évoluent plutôt vers des styles de direction qui donnent une grande

comme aux Etats-Unis, fortement impulsé une politique de relations humaines dès la fin des années 1950 et début des années 1960. De même, cette période des années 30 correspond au développement du mouvement syndical et de délégation du travail. Selon J.W.Gellerman [2]. C’set donc dans ce contexte de à l’égard des conditions de travail que se sont construit un terrain d’un revirement humaniste inauguré par l’école des relations humaines. Section 2 : Le contexte culturel : Le contexte culturel

mise en œuvre des moyens correspondants. Elle doit être ne cohérence avec la vocation de l’E et les missions telles que les conçoit son équipe dirigeante. Elle se décline sous forme d’objectifs généraux,commerciaux… L’E est vouée à faire des choix selon les objectifs qu’elle s’est fixée. La stratégie d’E suppose une analyse préalable de la situation de l’E et de son environnement. Les managers sont des décideurs confrontés à une masse d’information parfois contradictoires. Ils préfèrent faire

n n n 1. La direction : pouvoir, autorité et influence 2. Tâches, rôles et missions de la direction 3. Du dirigeant aux styles de direction 4. Le dirigeant : entre autonomie et contraintes 5 1. Les fondements de la direction : pouvoir et autorité n Approche micro-économique traditionnelle, l'organisation de l'entreprise se confond avec la fonction de production. (« boîte noire »). Entreprises è maximiser le profit. 6 n 1. Les fondements de la direction : pouvoir et autorité Allocation des

se fait donc grâce à des tableaux de bord et la synergie et les services * Les fonctions juridiques et financières demeurent centralisées | NORTON ET KAPLAN | Finaliser, mobiliser et évaluer | * Ils consignent les décisions dans une matrice selon 4 critères : * Les clients et leur demande * Les actionnaires et leurs choix strat * L’apprentissage organisationnel : la capacité à s’adapter * Processus interne : ce sont les procédures mises en place pour satisfaire le client. | LICKERT

remise en question des travaux de Taylor. Les aspects psychologiques sont traités trop sommairement par le taylorisme, le seul facteur de motivation retenu étant la rémunération. La formulation des procédés opératoires est fondée sur l’idée simpliste selon laquelle il existerait une seule meilleure façon d’exécuter un travail le « one best way ». La division fonctionnelle du travail vide celui-ci de sa substance et de son intérêt. Le Taylorisme à la française par Henry Fayol Pour sa part, Henri Fayol

L’organisation est donc à comprendre comme une association d’individus construite pour structurer les coopérations et induisant par là-même une répartition des rôles de chacun des acteurs, un système de communication et une hiérarchie qui pose les rapports de pouvoir. L’analyse des systèmes organisationnels incite à prendre en compte les systèmes humains qui, avec les structures formelles, constituent une des dimensions essentielles de l’organisation. Elle permet donc d'analyser des situations ou d'établir des