Les Sources Du Pouvoir Selon Crozier

fordisme. La standardisation des résultats prône la définition de standards, déterminés en fonction des caractéristiques et du volume de production attendue des opérateurs. La mesure des résultats réels est comparée aux standards et les écarts doivent pouvoir être expliqués. La standardisation des qualifications part du postulat que les opérateurs sont, de par leur formation, qualifiés pour coordonner et accomplir leurs tâches efficacement.La standardisation des normes se base sur des règles, des normes

conditions au travail, com interne et externe (Mayo, Gregor) 1960 et 1970 : Importance de l’environnement et contexte=> E/se comme système ouvert et agent rationnel. 1970 : TO et rationalité limitée (Simon, Crozier) A. Courant rationaliste :Hypothèses : · Le travailleur a des motivations rationalistes  : il veut max le rapport rétribution (rev) contribution (travail)

synonyme du non-aboutissement d’une négociation autour d’une de ces valeurs. L’approche systémique et communicationnelle permet d’arriver au même conclusion que l’analyse du pouvoir sans avoir à utiliser les concepts clés de cette dernière : « zone d’incertitude », « maîtrise de ces zones » et de « lutte pour le pouvoir ». III. Démonstration L’ouvrage est organisé en quatre chapitres. Dans le premier chapitre, l’auteur essaie d’exposer les bases théorique de sa démarche mais de manière

des stations : l’éclairage de la sociologie des organisations : ……………………………………………………..……….P21 a) Une problématique à différents niveaux ………………………………………………...….p21 b) Le lien complexe entre mutualisation et relations de pouvoir ………………….….p26 c) Dynamique partenariale et communication : la relation à l’environnement…p28 d) Organisation et culture : une cohérence à redéfinir……………………………..………P30 B. La nécessaire structuration d’un réseau : enjeux

Ouvriers de production et ouvriers d’entretien : conflit larvé ………...6 3. Ouvriers d’entretien et chefs d’atelier : conflit ouvert ………………..7 VI- Tableau des enjeux et de ressources de jeux pouvoir des acteurs ..8 VII- Le sociogramme des relations affectifs …………………… ………9 VIII- Analyses des jeux de pouvoir des acteurs .......................................10 IX- Les stratégies des acteurs ……………………………………….. ..11 1. Stratégie des

individus de référence (les "significant others"). A) La théorie de l’équité d’Adams Dès le début des années 1960, J.S. Adams (1963, p.422-436; 1965, p.267-299) développe la théorie de l’équité, qui a connu depuis de nombreux prolongements. Selon Adams, tout individu au travail observe son environnement afin d’évaluer si le traitement qui lui est réservé est équitable ou non. L’individu effectue le rapport entre les avantages qu’il retire de son emploi (Ap ou avantages personnels) et les contributions

• Structure informelle : Relations nées de la pratique entre les unités qui composent la structure. La structure informelle vient se superposer à la structure formelle. • Théorie de la contingence : Théorie de Paul Lawrence et Jay Lorsch selon laquelle la structure d’une entreprise es déterminée par un ensemble de variables contingentes : taille, âge, technologie, stratégie et environnement. • Structure aplatie : structure où le nombre de niveaux hiérarchiques est faible. •

CONTEMPORAINES DES ORGANISATIONS ............................................................................ 18 1 LES INTERACTIONS STRUCTURE-ENVIRONNEMENTS/L’APPROCHE CONTINGENTE ................................. 18 2 APPROCHE STRATEGIQUE DE MICHEL CROZIER .......................................................................................... 21 3 APPROCHE SYSTEMIQUE ................................................................................................................................

ces réflexions théoriques. Que ce soit dans « le combat » des idées ou dans la volonté de faire évoluer et de compléter des schémas de pensée, ces différents champs théoriques se sont mutuellement influencés. Notre « prisme de lecture » se déclinera selon la logique suivante : Les approches mécanistes et psychosociologiques Les approches cognitives Les approches par Approche théorique des organisations Les approches économiques Les approches sociologiques les contingences Les approches

de métiers  Convictions que L supplémentaire ne rapporte rien Déjà à l’époque il y avait la crainte de chômage « ça ne sert à rien de travailler + si c’est pour que l’entreprise licencie et qu’il y ait du chômage » a l’époque travail à la pièce selon eux si ils produisent plus le cout des produits baisse et leur rémunération par produit aussi De +, le travail supplémentaire n’était pas rémunéré. « Travailler + pr gagner + devrait s’appliquer », les ouvriers n’y croient pas car dès qu’il y un effort