Les Sources Du Pouvoir Selon Crozier

Division Verticale du travail : séparation entre ceux qui conçoivent le travail et ceux qui l’exécutent (intellectuels et manuels d’un côté et de l’autre) = séparation entre cols blancs (conception) et cols bleus (exécution) qu’on oublie → leur pouvoir / savoir est donné au bureau des méthodes. Salaire différentiel et salaire proportionnel Remarque : l’OST n’est pas le travail à la chaîne, c’est Ford qui a proposé ce système ! L’Ecole des Relations Humaines Contre Taylor. Vision beaucoup moins mécanique

certain pouvoir pour exercer sa mission ». Les parties d’une structure selon H. Mintzberg : 8 Typologie des structures ? 9 Influence de la stratégie sur la structure 10 Évolution de la typologie de la structure 11 Structure hiérarchique : Elle repose sur : L’unité de commandement ; La délégation de l’autorité ; Le principe de la responsabilité. 12 Structure fonctionnelle : Elle repose sur : L’absence de l’unité de commandement ; La délégation du pouvoir et de

 ». Selon lui, c’est l’organisation informelle qui précède l’organisation formelle et cela pour deux raisons : * L’organisation formelle n’est ni plus ni moins une organisation informelle qui se structure * Toute organisation nécessite des contacts informels préliminaires Il définit l’organisation informelle comme « l’ensemble des contacts et des interactions entre personnes et entre groupes ». Friedberg s’intéresse aussi à ces concepts dans son ouvrage paru en 1993, « Le pouvoir et la

pérennité de l’emploi et des conditions de travail et de rémunération satisfaisante. L’entreprise est alors lieu de confrontation et une bonne gouvernance devra permettre d’équilibrer les attentes de différents acteurs en précisant la répartition des pouvoirs et les procédures de contrôle à mettre en place. III. Les composantes de la gouvernance Les structures de surveillances ; il s’agit de personnes dont le rôle est de contrôler le fonctionnement de l’entreprise et la prise de décision. Ces structures

Chapitre 6 Parties prenantes, contre-pouvoirs et gouvernance de l’entreprise 1. L’identification et l’influence des parties prenantes 1.1. Quelles sont les parties prenantes et leurs attentes ? Une partie prenante (stakeholder en anglais) est un individu ou un groupe d’individus en relation avec l’entreprise, qui peut affecter ses décisions ou être affecté par elles. A. Les parties prenantes internes Il existe deux grandes catégories de parties prenantes situées à l’intérieur de l’entreprise

de la révolution américaine. Il voit l’Amérique comme un modèle aux sociétés démocratiques, libres. La société apparait alors comme un immense mouvement. Il faut donc partir des individus pour comprendre et envisager la société. L’individualisme, selon Tocqueville résulte de la complexité de la société, caractéristique des sociétés modernes. Ces sociétés donnent un rôle autonome aux individus. Les problématiques de base de la modernité * Modernité / Société d’ordres ; sociétés chaudes /

doivent chercher des ajustements entre les logiques conflictuelles ( exemple : actionnaires et salariés) et les compromis (exemple : manager et actionnaires) - Les décisions prises sont le résultat des négociations entre les différents acteurs. M. Crozier - L’organisation ne peut fonctionner que s’il existe une coopération minimale entre ses différentes parties prenantes. - L’entreprise est un ensemble d’acteurs internes et externes aux intérêts divergents qui vont tenter d’influencer sa gestion

Spécialité SES MAX WEBER I. Processus rationalisation des activités A. L'analyse de l'activité sociale selon Weber 1. Une socio compréhensive • Socio cherche à comprendre interaction entre individu à travers le sens que les autres donnent à leurs actions • Jamais individu seul, tjrs avec les autres • Motivation collectives, valeurs • Travail interprétation. Démarche compréhensive, se met à la place de. • Interaction qui fabrique la société, relation entre hommes qui

------------------------------------------------- DM MANAGEMENT Pierrot Gourmandise Analyse du contexte : 1) Afin d’analyser l’environnement de PIERROT GOURMANDISE, il convient de s’appuyer sur les forces du jeu concurrentiel développées par l’entreprise selon les théories élaborées par PORTER qui reposent sur quatre grands critères : Tout d’abord, au niveau de la menace de produits de substitution : elle est réelle car une directive européenne autorise les producteurs à fabriquer des chocolats « sans

que seul le modèle mathématique peut servir à comprendre l’organisation. Mais ce système est crée par les acteurs eux-mêmes : les acteurs régulent leurs relations, fixent des règles pour faire fonctionner l'organisation. Cette régulaton se fait selon les propres logiques des acteurs, avec les conflits dans lesquels ils rentrent et les incohérences qu'ils engendrent.
Ce concept met en lumière trois notions importantes : l’idée de stabilité des jeux , de coordination plus ou moins facile des actions