Les Sources Du Pouvoir Selon Crozier

PARTIES PRENANTES, CONTRE-POUVOIRS ET GOUVERNANCE DE L’ENTREPRISE Le fonctionnement de toute entreprise est l’objet de conflits de pouvoir car il repose, en interne, sur des individus et des groupes qui ont des objectifs propres et rarement tout à fait concordants et, en externe, sur les agents économiques de son environnement qui agissent en fonction de leurs propres objectifs. La nature des relations qui se nouent entre les acteurs au sein de l’entreprise et avec les partenaires extérieurs

équilibre entre la nécessaire stabilité de sa structure, gage d’efficacité organisationnelle, et une indispensable flexibilité, condition de son adaptation rapide à un environnement changeant. C. Le cycle de vie de l’entreprise selon L. Greiner Le cycle de vie de l’entreprise selon Larry Greiner comporte cinq phases composées chacune d’une période de croissance qui s’achève par une crise : – la phase entrepreneuriale est caractérisée par une période de créativité durant laquelle l’activité de l’entreprise

exode rural (paysans) et migratoire. Contraintes : Besoin de donner rapidement aux paysans une qualification qui exige de la discipline…., on doit éduquer cette mian d’œuvre. Il faut aussi la fidéliser car il ya une rareté de la main d’œuvre (selon Rostow : phase de démarrage de la croissance) Tout est à reconstruire y compris la gestion de la main d’œuvre car aucune législation du travail n’est institutionnalisée. Rapport Villermé (docteur 1838) « conditions de vie des ouvriers » : c’est

(1996, Éditions du seuil). Introduction Les 4 auteurs qui ont co-écrits cet ouvrage appartiennent à ce qu'on pourrait appeler « le courant français » de sociologie des organisations. Prenant appui sur la théorie de l'acteur stratégique de Michel Crozier et Erhard Friedberg, sur les travaux de Renaud Sainsaulieu et de Jean Daniel Reynaud, ce courant s'est développé dans des directions assez variées depuis le milieu des années 80. Dans cet ouvrage, les auteurs tentent d'en faire le point, en rappelant

contribution/rétribution s'établit et l'individu agit selon son intérêt. Les acteurs interagissent les uns sur les autres. Les normes de groupes sont plus ou moins souples et sont ajustées par les individus à leur tempérament, leurs besoins, désirs... Il faut donc étudier les comportements en double relation avec les individus et les normes du groupe. Cette stratégie correspond à une logique d'acteurs, qui se traduit par des relations quotidiennes de pouvoir, d'origine organisationnelle ou culturelle.

| |3. Stratégie et saisie des opportunités | |4. Pouvoir et gestion des zones d’incertitude | |5. Le système d’action réel (SAR)

Introduction La sociologie des organisations a connu un développement tardif en France contrairement aux Etats-Unis. Son essor est lié à Michel CROZIER qui fonde au début des années 60, le Centre de Sociologie des Organisations (CSO) et forme, pendant une trentaine d'années, de nombreux chercheurs et des futurs consultants et professionnels des ressources humaines. CROZIER a importé en France les travaux américains de sociologie des organisations. Le but de la sociologie est de mieux comprendre la structure

montrer qu’il existait un temps minimal dans lequel un ouvrier de premier ordre peut exécuter une tâche donnée : c’est ce qu’il appelle le «temps normal», pour le travail considéré. La théorie des organisations a retenu du taylorisme la conception selon laquelle la direction d’une organisation ne relève ni du génie individuel ni d’aptitudes personnelles, mais d’une technique qui s’apprend. Elle ne lui est pas seulement redevable de cette idée. En assignant à un spécialiste, l’ingénieur des temps

à long terme. 6 – Likert : a isolé 4 styles de direction (autoritaire, paternaliste, consultatif, participatif) & conclut que le style participatif est le plus efficace car il est source de satisfaction & de motivation, des hommes au travail. Il favorise des prises de décision pertinentes mais peut être source de conflits et limiter la cohérence des décisions. 7 – Simon : Le processus de décision ou « modèle IMC » se décompose en : Intelligence : c’est l’étude de l’environnement de

L’entreprise doit pouvoir prévoir l’impact futur des facteurs externes (ou de l’environnement global=contexte). Il est primordial pour les entreprises d’anticiper les évolutions de l’environnement. B-L’environnement spécifique L’environnement de l’entreprise concerne la situation de son secteur d’activité (ex : le btp, automobile…) Ce secteur spécifique se décompose en plusieurs éléments. Ces éléments ont été présentés par Mickael Porter qui a distingué 5 facteurs : -le pouvoir de négociation