Les Sources Du Pouvoir Selon Crozier

essayé de doper la productivité. Ils ont donc établi la division du travail. Platon s’est exprimé sur l’organisation idéale de la cité de son point de vue de philosophe, ce qui a donné naissance aux deux dialogues : La République & Des Lois. Selon Platon, tout le monde ne naît pas avec les mêmes aptitudes, si quelqu’un a une famille à nourrir il peut diviser sa journée de travail en 4 : ¼ cultiver du blé, ¼ bâtir une maison, ¼ habillement, ¼ cordonnier. Finalement, l’Homme doit se spécialiser

la productivité des organisations. Les attitudes des employés au travail telles que la satisfaction ou l'engagement, maintenues à des niveaux élevés à travers le temps, augmentent les performances individuelles et collectives. a)Définitions * Selon G. Allport(1935) – l’attitude est une prédisposition à répondre envers un objet social. L'idée essentielle d'Allport, est que l'attitude est ce qui est supposé être derrière le comportement. Sous cet axe, l'attitude serait une cause du comportement

tous les contacts ne sont pas des interactions, des activités sociales Ex : je bouscule qqn dans le métro : contact mais pas interaction b) la définition du fait social selon Durkheim (1858-1917) Selon lui, les faits sociaux = « manière d’agir, de penser et de sentir extérieurs à l’individu et qui sont doués d’un pouvoir de coercition en vertu duquel il s’impose à lui » Les faits sociaux sont marqués par 3 critères : •La régularité : l’apparition d’un fait social n’est pas lié au hasard

le commerce serait apparu 200 ans plus tard (fondant le sens de la valeur-échange). Plusieurs sens en management et en gestion: valeur ajoutée, valeur client, valeur actionnaire. Les ambiguïtés du mot valeur sont très fortes (Bourguignon, 2005) selon que l’on se réfère à la valeur de l’actionnaire (Ittner et Larcker, 1999) ou à la valeur pour les autres parties prenantes (salariés, client, fournisseurs, etc.). la valeur actionnariale Dans cette configuration, la valeur créée est le différentiel

race et de postériorité de race sur d'autre race est obsolète. En même temps en France, E. Durkheim découvre le fait social. Les faits sociaux consistent en des manières d'agir de penser et de sentir extérieur à l'individu et qui sont doués d'un pouvoir de coercition (c'est l'action de contraindre) en vertus duquel il s'impose à lui. Il intègre dans le fait social une dimension culturelle et pense que cet aspect social est déterminant dans le comportement. L'anomie → c'est un état d'une société

Atteindre le but de l’organisation implique l’existence d’une structure organisationnelle – coopération entre individus (pas naturelle) – coordination entre postes de travail • Cette nécessité « d’organiser » implique l’établissement de – Règles – Pouvoir et autorité Nathalie Le Roux (cours M1 TO) 1.2.Qu’est ce que la Théorie des Organisations ? • Un corpus théorique pluridisciplinaire: – PSYCHOLOGIE : comportement des individus en organisation et effets de l ’organisation sur l ’individu (stress

sous-estimé, mais qui revêt pourtant une importance essentielle : sa dimension relationnelle et sociologique. Après avoir posé le cadre d'analyse de la recherche dans une approche interprétative, nous étudierons l'enjeu majeur de la coopération comme source d'efficacité organisationnelle avant de nous pencher plus précisément sur la dualité conceptuelle de la coopération et enfin envisager un bilan actuel des relations de coopération entre contrôleurs de gestion et responsables opérationnels (Partie

l’application des principes généraux d’administration. Enfin, WEBER met en évidence le concept de légitimité rationnelle légale pour expliquer l’obéissance des individus à leur hiérarchie au sein des organisations. Section 1 – La vision de l’organisation selon l’Ecole classique I – Une vision stratégique axée sur la maximisation du profit Dans l’Ecole classique, la stratégie repose sur le postulat. Le postulat est synonyme d’évidence. Le postulat repose sur l’analyse microéconomique. Les postulats sont

collectivité (direction): Caractérisée par l’apparition de nombreuses fonctions spécialisées. Cette phase se termine par une crise d’autonomie lorsque la direction ne veut pas déléguer son pouvoir de décision et de contrôle ; Ø la phase de délégation (décentralisation): Caractérisée par une délégation du pouvoir de décision. Cette phase s’achève par une crise de contrôle lorsque la décentralisation des décisions rend les fonctions trop autonomes ; la phase de formalisation (coordination): Caractérisée

l’entreprise, L.G.F, . • Crozier M., Friedberg E.(1977) – L’acteur et le système, Seuil. • D’Iribarne Ph.(1989), – La logique de l’honneur, Seuil. • Friedberg E.(1993) – Le pouvoir et la règle, Seuil. • Le Joly K., Moingeon B. (2001), Gouvernement d’entreprise : débats théoriques et pratiques, Ellipses. • Paugam S. (2000), Le salarié de la précarité, PUF. • Plihon D. (2003), Le nouveau Capitalisme, La Découverte, coll Repères. • Ramanantsoa B., Reitter R.(1990), Pouvoir et politique. Au-delà