Les Paroles Rapportées

sont des textes qui appartiennent au discours narratif. Les actions accomplies par les personnages sont généralement rapportées par un narrateur. C'est le cas dans cette fable: «Le chêne un jour dit au roseau » vers1, « le vent se lève sur ces mots, l'orage gronde » vers 17, «Et,avant de mourir regardant le roseau, lui dit » vers 32 -33. Les fabulistes donnent généralement la paroles à leurs personnages à l'aide du disours direct. Jean Anouilh utilise cet outil par exemple du vers 2 à 7 : « N'êtes-vous

deux mois avant la mort d’Angèle -> scène de chronique d’une mort avancée • Montmartre -> mont des martyres • Elle est réifiée (comme un objet) • Il est amoureux de Paris, et non pas de sa femme • Ses paroles ne sont presque jamais rapportées directement -> on a simplement un résumé de ses paroles • Angèle a peur de Saccard -> elle est effacée • Il apparaît est brutal, violent -> image négative de Saccard par Zola. Il critique ce monde de la spéculation. d. Saccard : un spéculateur • Zola n’a

sexes). Mais aussi par la transformation morale et psycologique de Des Grieux qui passe de la timidité à l'audace (mais cette audace est inscrite dans sa passion, c'est plus fort que lui). Le contraste timidité/audace est confirmé par la prise de parole et son éloquence (trouve les mots sans les chercher) ligne 32. Implictement, nous comprenons à la ligne 32, que Des Grieux va tout tenter pour que Manon n'aille pas au couvent. 3) De l'effet au franchissement : la force d'une passion. Si l'on

polonais, il a subi les persécutions nazies et, en 1944, fut envoyé à Auschwitz. => Ce sont ses paroles qui sont retranscrites dans les récitatifs, sorte de voix-off qui se superpose aux vignettes illustrant ce qu’il a vécu et contribuant ainsi à l’authenticité du témoignage. Dans ces planches, on perçoit la brutalité des nazis envers les personnages: => par le choix du graphisme des bulles et des paroles rapportées => police choisie est en gras et en lettres plus grandes pour bien rendre compte des ordres

Statut du narrateur Un narrateur personnage et/ou un narrateur témoin : * Elle a vécu aussi derrière cette porte, mais ce n’est le but de son récit ; * Elle rapporte des bribes d’histoires (// pièces rapportées) concernant les personnages dont on n’a que les prénoms. Sorte de porte-parole de tous ces portraits. 3) Rôle de la littérature ? C’est un récit qui a l’air vrai, de la même veine que les récits réalistes du XIXème : nouvelles de Maupassant, romans de Victor Hugo, d’Emile Zola

Fontaine utilise-t-il pour faire la satire de la cour ? Plan du commentaire I/ Un récit vivant. 1) Une structure narrative animée. Une anecdote (mort de la lionne) / un rebondissement (cerf rigole) / un revirement (stratégie). 2) Paroles rapportées. 3) Pittoresque de certains tableaux (visuels, auditifs). 4) Variété des mètres/vers + enjambements. II/ La portée satirique de la fable. 1) Personnification Animaux  distance  plus de liberté, de critique // Humains  identification

fait une satire des prêcheurs de la chasteté qui ne sont pas chastes et par là, de l’Eglise laxiste. Tandis que la batelière est valorisée en tant qu’intelligence pondérée, toutes ces paroles sont pondérées et donnée dans un discours directs (l7 ; 21 ; 26 ; 30 ; 36) tandis que celles des cordeliers sont rapportées. Cette nouvelle risquait de choquer à l’époque car Marguerite de Navarre ose aborder des sujets tabous, d’ailleurs le texte manque de pudeur. Le récit est un véritable empreint de

entre le personnage et la personne. De son côté, emporté par cette même volonté de faciliter de compréhension, Voltaire décrit ses personnages, à travers des paroles ou des pensées rapportées, c’est-à-dire en maniant le discours indirect, indirect libre, et le discours direct : « L'Ingénu, qui ne savait pas le latin, se fit expliquer ces paroles, qui signifient : nous abandonnons nos douces campagnes, nous fuyons notre patrie ». Ce procédé permet d’animer la psychologie du personnages, pour mieux servir

antipathiques, ce qui nous prévient de l’antipathie qu’on aura ensuite pour Mr de Varnetot, qui a abandonné Rose, sa maîtresse après qu’elle soit tombée enceinte. Pour finir, Maupassant utilise principalement du discours direct dans son récit. Les paroles sont rapportées directement, pour montrer leur manière de parler. Mr Séjour, un des chasseurs, à un accent particulier : « Crébleu, maît’ Blondel, vous avez là une bobonne qui n’est pas piquée des vers » (ligne 23), sa manière de parler ne le qualifie pas

mais heureusement, il y un garage tout près d'ici (sous-entendu : il est ouvert et je vais pouvoir faire le plein). A ne pas confondre avec présupposé. Style direct n. m. Il s'agit d'un type de discours rapporté dans lequel les paroles ou les pensées sont rapportées directement, entre guillemets (c'est ce qui le distingue du style indirect et du style indirect libre).  Des tirets indiquent le changement de personnage. Les pronoms, adverbes, et temps grammaticaux sont ceux du discours. Les parties