Les Paroles Rapportées

M. et légitime l'intérêt que lui porte DG. Sytème d'opposition quelques femmes # une forte jeune femme d'arrêta Les effets de discours présentés → paroles toutes transposées et leurs transpositions /DG Discours indirect / Discours narrativisé Verbe de parole = très conventionnels → répondre – demander les paroles de M. sont transposées → résumées et simplifiées + commentaires → proposition opposée: jugement de DG. → Double intérêt de cette transposition ne rompt

apparue ; et je l'ai d'abord reconnue » révèle de la magie, mais comme si le cerf était de la famille. 2. Des paroles favorables Les paroles de la Lionne sont rapportées de façon à ce qu'elles soient favorables au sort du cerf tout d'abord il récite les soit-disantes paroles de La Lionne avec le pronom « tu », il s'assimile à un « ami » (v.44) de la famille. En récitant ses paroles, le Cerf insinue qu'il a eu un contact avec le Ciel ce qu'il le rends quand même assez puissant. III.Une satire

l'exception de quelques figures dont les aventures occupent deux ou trois contes, le discours attributif ne peut permettre d'attribuer un trait caractéristique comme le fait le roman (par exemple la timidité, ou l'autorité) aux paroles d'un personnage. Le volume de paroles attribué à chaque personnage est en effet trop réduit pour permettre une récurrence qui serait caractérisante. Les dialogues à brèves répliques font souvent disparaître le discours attributif, ce qui permet de garder à l'échange

l’âne est évoquée de manière elliptique au v.62 ‘‘on le lui fit bien voir’’. B. Importance de la parole rapportée On peut noter l’importance du discours direct qui rend la fable vivante : pour le Lion (v.15 à 33), pour le Renard (v.49 à 54). De plus les animaux parlent sur un ton différent qui révèle leur rang social et leur caractère. LaFontaine varie la manière de rapporter les paroles. Il utilise le discours indirect pour le Loup (v.57-58) et du discours indirect libre (l.60-61), on ne

chez l’évêque. On pourrait s’attendre à ce que l’évêque accuse le bagnard mais il ment à plusieurs reprises évitant à Jean Valjean une nouvelle condamnation. Cette page de roman qui est la dernière d’un chapitre est écrite avec une abondance de paroles rapportées au discours direct, ce qui se rapproche d’une scène de théâtre. La valeur dramatique et spectaculaire du passage Cette scène de roman utilise des effets dramatiques. C’est une apparition spectaculaire : la scène commence par une porte qui

raison du plus fort est toujours la meilleur » puis La Fontaine enchaîne directement sur l’imparfait au vers 3 avec « un Agneau se désaltérait », « cherchait aventure » vers 5, « ces lieux attirait »vers 6 etc . Ensuite il y a l’apparition de paroles rapportées au discours direct par exemple au vers 6 où le Loup pause une question à l’Agneau « Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage? ». Cette fables est aussi poétique,le fabuliste utilise l’hétérométrie qui va dynamisé ses propos entre autre

«  si  bon modèle » (ironie de l’adverbe d’intensité « si bon » ... Lescaut comédien accompli : écriture didascalique (« en se tournant vers moi ») -Le vieux G...M : appelé ironiquement « vieil amant ». Paroles rapportées au discours direct « en me disant que ... ». Paroles et actions condescendantes, attitude paternaliste du vieux G...M (« deux ou trois petits coups sur la joue ». -Satire sociale de l’hypocrisie (verbe paraître), discours hypocrite du personnage qui met en garde alors

qu’il n’est pas destiné à être lu. Sa finalité est un spectacle et non un texte. C’est pourquoi, lorsqu’on lit ou étudie un texte de théâtre, il faut sans cesse penser au spectacle qui doit en être l’aboutissement. I. Le théâtre : leçon a) Les paroles au théâtre Les personnages communiquent grâce à des répliques qui forment un dialogue. Elles permettent la progression de l’action et illustrent les oppositions entre les personnages : “BERENGER. - Nous avons fêté l’anniversaire d’Auguste, notre

laissent pas enfermer dans une intrigue ou dans des types de personnages. Les « modernes » ont donc semé le germe d'une véritable transformation. Progressivement, « le centre de gravité » (p.92) du roman évolue, son intérêt tend à se situer ailleurs : la parole, véhicule commun de ces mouvements « honteux et prudents » (p.101), va supplanter les actes, qui ne sont qu'apparence, inaptes par leur nature grossière à manifester ces drames minuscules. Le roman doit dorénavant être capable intégrer le lecteur

retraite, l'agression par un ami, le mariage avec la petite femme et enfin la mort de la petite femme ; ensuite nous trouvons l'alternance des temps traditionnels du récit, imparfait et passé simple, ainsi que l'alternance entre le récit et les paroles rapportées des personnages qui sont à coup sûr «l'Homme à la cervelle d'or », « la Petite femme », « ses Parents », son « ami » . Un récit prend donc bien naissance sous nos yeux. D'autre part ce récit est plaisant et touchant, tout y est mis en œuvre