Les Paroles Rapportées

physiquement l.60 « un grand coup de botte (…) fesses » : violence, humiliation « stimuler » : litote L’humour attenu l.53 « ma petite mignonne » : gradation des surnoms Invention des mots Narrateur : à la fois complice et critique. Q1 : parole rapportées (discours direct) Q2 : « langue parlée » « Langue parlée » démontrent l’originalité et la modernisation de Celine. De plus elle permet d’atténuer la cruauté. Problématique : Comment l’usage de cette langue parlée et de ce dialogue familier

apologues : fable, conte philosophique- poésie | | Quels sont les moyens d’expression de l’argumentation ? | - un personnage de : roman, théâtre, fable, conte, conte philosophique- la morale - le dialogue polyphonique ou le monologue intérieur- les paroles rapportées- l’exemple- les registres- les marques de présence de narrateur | | Quels sont les registres utilisés pour argumenter ? | - tragique: dénoncer la mort injuste- pathétique : dénoncer les souffrances injustes- comique : suscite le rire- ironique :

“déjà”, qui ouvrent sur deux vers, puis quatre, et de “et”, comme si Phèdre allait jusqu'au bout de son souffle, illustré par les reprises sonores, le [ R ] combiné d'abord au [ p ], puis au sifflement du [ s ]. La fonction expiatoire des ultimes paroles de Phèdre se trouve enfin confirmée par le champ lexical du regard dans les derniers vers. Le regard avait, en effet, induit la faute : Phèdre rappelle cette impureté avec les verbes “outrage” ou “souillaient”. Après avoir atteint le “cœur”, le “venin”

passé (analepse) Comprendre sa personnalité Elevé en milieu féminin loin de la cour, éduquée par sa mère Ignorance affaires galantes, ne peut y succomber Présence importante de la mère Education Personnage original, diff des autres mères Paroles rapportées = hommes séducteurs et femmes se laissant abuser Inculcation vertu + bienfaits de cette conduite, méfiance séducteurs, passion Personnage remarquable – marque de jugement – lexique valorisant (famille + Mlle de Chartres) Beauté + qualités

meilleur ; Pangloss cherche dans tout événement le résultat d'une cause qu'il s'efforce de trouver ; le matelot, corrompu, profite de la situation. Ainsi, au désordre extérieur correspond un désordre moral, aggravé par l'inefficacité totale de la parole. Le conte permet en effet de présenter les personnages dans une situation qui rappelle la comédie, mais le dialogue se révèle stérile, inadapté, et ridicule. Commentaire: I. Le thème du désordre La notion de désordre apparaît dans le texte

ponctuation dominante dans les premières répliques ? Pourquoi cette ponctuation est-elle si présente ? 3) « Ne m'interromps pas » : à quel mode est conjugué ce verbe ? Qui prononce ces paroles ? Quel état d'esprit traduisent-elles chez celui qui les prononce ? 4) Observez la manière dont les personnages s'adressent la parole. Quelle personne utilise chacun pour s'adresser à l'autre (deuxième personne du singulier Pureté avant la rencontre avec Esmeralda ou du pluriel) ? Qu'est-ce que cela montre sur

d’intimité dans la nature 3 En fin de strophe, cette question posée dans une parole rapportée directement crée une attente chez le lecteur : la réponse de la femme. 4 Le narrateur a l’initiative du contact verbal, la femme est destinataire. .... . « Lui » qui représente la femme est complément du verbe dire dans « je lui dis ». et la destinataire de la proposition avec l’emploi de « tu » dans la parole rapportée directement. .... . L’emploi du verbe croire, « je crus » .... . L’emploi

les perçoit le personnage permet d’évoquer à la fois le décor et la vision que le personnage a de ce décor. la parole le dialogue marque le plus souvent un tournant de l’action ou engendre une transformation du personnage (confrontations, déclarations, révélations…) le langage du personnage le révèle : psychologie, milieu social… la parole des personnages peuvent être rapportées de manière différente : discours direct, indirect ou indirect libre, monologue intérieur 4 – L’évolution du personnage

bruit, lapant avec délicatesse" (l.46-47) ou encore quand ils se sont lassés de ce jeu là ils ont inventés le jeu des claques : "Ce fut alors un jeu nouveau, le jeu des claques." (l.59-60) . Encore un détail qui accroît le réalisme sont les paroles rapportées comme à la ligne 75-76 le langage typique normand :"Bast ! Faut pas s'e occuper quelqu'un l'aura emmené parce qu'il avait froid. Pardié ! i n'est pas perdu. I reviendra ben d'main manger la soupe!" Tout ces détails nous montrent que Guy de

danger et il s'agit d'en convaincre le peuple. C'est donc la question de l'efficacité de la parole et du propos qui se trouve ainsi soulevée. - Un certains nombre d'éléments ancrent ce récit dans ce contexte antique : république au V 4/ mention de Cérès au v 16/ les Grecs v 26 plus allusion à Philippe de Macédoine, ennemi d'Athènes au v 27. B - une situation de parole : Dans cette anecdote ainsi rapportée il s'agit pour un « orateur », désigné ensuite par le terme péjoratif de « harangueur » de