Les Obligations Réciproques Du Seigneur Et De Son Vassal

d’Etat) sur une relation d’homme à homme (relation très simple) c’est à dire que de ces deux hommes, le plus faible avait une obligation d’obéissance et une obligation de service. L’autre partie (le seigneur) avait une obligation de protection : protéger le plus faible. Sans Etat il y a une relation entre le roi et les plus grands mais tous les grands du royaume auront leurs vassaux (imitation du procédé) et peu à peu ce système vassalique se diffuse à tous les échelons de la société. C’est ainsi que

limites de la ville ; son frère se moque de lui, ce qui l’entraîne à l’assassiner déversant dans les sillons qu’il avait creusé son sang. Dans ce meurtre on retrouve tous les symboles des civilisations indo-européennes et plus particulièrement cette obligation de faire couler du sang sur le sol afin de le rendre fertile à la construction d’une cité. La ville créée devient la terre d’accueil de tous les exilés et réprouvés comme l’était Enée, ce qui en fait à ses débuts une ville de brigands. Malheureusement

dit la vérité dans le duel). Il existe aussi une procédure pénale où l'on fait des recherches pour trouver la vérité (justice plus rationnel). Le but d'Hammourabi est la régression progressive des principes archaïques. Théorie du droit des obligations parallèlement (tarification des salaires et des prix) : système sociale très important puisqu'une valeur marchande est attribuée à l'esclave. III.LE DROIT HEBRAIQUE Le peuple des hébreux est situé entre l'Égypte et la Mésopotamie. Ils n'ont

ses successeurs vont avoir recours à des agents ecclésiastiques. Il a recours au Haut-Clergé, non pas aux curés, mais aux évêques, non pas aux moines mais aux abbés. C’est une période où l’Eglise est beaucoup mieux acceptée par les fidèles que les seigneurs, car les modalités de délégation sont des modalités démocratiques. En effet, pour devenir prête ou abbé, on est élu. L’évêque dans sa province est élu par les curés et les fidèles. Pour les abbés, il y a deux sortes de clergé, le séculier (celui

L’absence de pouvoir central Société pyramidale : du seigneur local aux grands princes, chaque seigneurs a, au dessus de lui un seigneur plus puissant (militairement et économiquement) : ce sont des vassaux. Au dessus : Ducs, Barons, etc. … Jusqu’au Roi (a partir de Clovis). Mais certains Seigneurs sont opposes au pouvoir royal qui a mis plusieurs siècles avant de se mettre en place (certains rois étaient moins puissants que le leurs vassaux) Du 10ème au 13ème siècle, les rois de France n’avaient

: • Respecter certaines garanties sur les conditions de foi et de moralité. • Moralité Puis d’autres conditions : • Il faut être libre Puis obligations : • Il faut se raser la barbe • Porter des vêtements spécifiques Pour ceux qui vont être des clercs majeurs auront des obligations supplémentaires : • Il ne pourra pas se marier : obligation de célibat • Respecter un certain idéal de pauvreté Le clerc doit s’investir pleinement au service des laïque. Mais il a des privilèges : Au 4ème

du roi est extrêmement réduit, les 1er capétiens ne sont que des seigneurs parmi d’autres, ils ont des ressources moindres que celles des seigneurs qui les entourent, des moyens d’action très limités (plus d’administration locale), le titre de roi est un titre traditionnel que récupèrent les capétiens mais qui ne correspond plus vraiment à une autorité de propre, le roi est un arbitre qui peut être utilisé par les grands seigneurs. Mais le sacre a permis à la fonction royale de survivre, elle n’a

Renaissance. Appelée aussi le Moyen-Age en histoire du droit. 1- Du Xe au XIIe, temps féodaux La société éclate en seigneuries peuple se rassemble autour de grands seigneurs, cette période ignore la notion d’État. 2- Du XIIe au XVe L'occident assiste à un fabuleux renouveau économique, intellectuel, l’État resurgit c'est le retour du roi qui reprend peu à peu son

reconnaissent astreints par des obligations réciproques. Le pouvoir du roi est lié à la façon de donner, et à ce qu’il peut donner. 02/10/15 Les Serments de fidélité : très peu de sources restant de la période. Il y en a 2 types : Le Leudesanium, qui est plus général parce qu’il est prêté en principe par tous les hommes libres au roi ou à son représentant (on suppose que seul les plus importants prêtaient serment). Par ce serment, ils étaient astreints par des obligations : ne pas nuire au roi, le

: I. « Bienfait » et fief : la tenure-salaire. — II. Le « chasement » des vassaux. CHAPITRE III. — Tour d’horizon européen : I. La diversité française — Sud-Ouest et Normandie. — II. L’Italie. — III. L’Allemagne. — IV. Hors de l’emprise carolingienne : l’Angleterre anglo -saxonne et l’Espagne des royaumes asturo -léonais. — V. Les féodalités d’im portation. CHAPITRE IV. — Comment le fief passa dans le patrimoine du vassal : I. Le problème de l’hérédité : « honneurs » et simples fiefs. — II. L’évolution