Les Obligataires

Exemple : La société Oca émet en janvier N un emprunt obligataire convertible en actions dans les conditions suivantes : * Emprunt de 100 000 obligations de valeur nominales 10 € , émises 10 € ; * Taux d’intérêt : 3% ; * Remboursement dan s 5 ans à 10 € ; * Obligations convertibles à tout moment en actions Oca , selon la parité suivante : 1obligation=1action Lors de l’émission de cet emprunt , le taux moyen des emprunts obligataires émis est de 4 %. Au bilan de Oca , l’emprunt sera

économique dégradée, à des taux plus importants. C'est ce qui se passe aujourd'hui dans les pays européens les plus endettés comme la Grèce, l'Irlande ou le Portugal. Pour financer leur déficit, les Etats vont chercher les fonds manquants sur le marché obligataire. Ils diffusent des coupons ou bons du trésor (Bunds), dont le taux varie suivant le risque encouru par l'établissement financier prêteur qui peuvent être des établissements financiers (banques, assurances) ou bien des Etats. III. Notation Moody’s

valeur La valeur et le temps Cas : 2 Cas : 3 Cas : 4 ACCOR : Les obligations : duration, sensibilité, valeur, intérêts courus (année incomplète), Valeur coupon attaché et valeur au pied du coupon, Notation CASO : Emprunt obligataire, TRAB et TRI d’un emprunt MAZARS : Emprunt obligataire : prix d’émission, prime de remboursement, taux de rendement pour le souscripteur, TRI le plus faible pour la société emprunteuse. La valeur et le risque Cas : 5 Cas : 6 MEDAF : Medaf, Les modèles à plusieurs facteurs

La différence est que la banque provisionne pour un risque accidentel (intermédiation) alors que l’assureur provisionne pour un risque qu’elle acquière « naturellement ». Les assureurs concentrent l’essentiel de leurs emplois sur les marchés obligataires et actions, c’est pourquoi en France, les sociétés d’assurances représentent plus d’un tiers du patrimoine financier des ménages. Les assureurs sont donc le premier investisseur du pays. Pour optimiser leur rentabilité, les assureurs séparent la

ne représente que 10 à 15% de la valeur totale de l’obligation. Ainsi, l’investisseur pourra participer à la hausse des cours de l’action tout en conservant la composante obligataire intacte. L’investissement dans ce type de produit peut permettre sur le long terme, un rendement meilleur que sur un placement action ou obligataire dans le cadre d’une gestion alternative. L’emprunteur : La dette mezzanine est paradoxalement reconnue également comme fonds de tiers dont les intérêts peuvent être déduits

correspondent à la contrepartie des augmentations d’actifs immobilisés ou circulant Les quasi capitaux propres : correspondent a des catégories hybrides qui ont a la fois les caractéristiques des capitaux propres et des dettes financières Emprunts obligataires convertit en actions : l’investisseur choisit a la date du remboursement s’il préfère être remboursé en actions ou en numéraire Avances conditionnées : aides pour le financement de projet dont le remboursement est conditionné a sa réussite ou

émettre un emprunt obligataire, les entreprises s’adressent aux banques lesquelles leurs permettent de mieux diffuser les titres émis. Une fois émise (sur le marché primaire), les obligations sont négociables sur le marché des obligations (marché secondaire). Le marché des obligations est principalement composé d’emprunts d’état (obligation émise par le trésor à des dates différentes), et celles émises par les sociétés. Les principales caractéristiques d’un emprunt obligataire qui figure dans la

t des d taux t d marché du hé au momentt du d calcul l l puisqu’il i ’il ne dépend que du taux actuariel à l’achat et de la différence entre la valeur d’achat du titre et de sa valeur de remboursement. La valeur nette comptable (VNC) d’un titre obligataire s’entend nette de surcote/décote, soit : VNC = valeur d’achat +/- surcote/décote -7- Introduction aux normes IFRS et à Solvabilité 2 1. Comptabilisation des actifs R.332-19 Réserve de capitalisation (1/3) L’article R.333-1 prévoit qu’en cas

immobilisé 21 Section III : Quasi-fonds propres 23 I- Prêts participatifs23 II- Titres participatifs23 III- Titres subordonnés 24 Chapitre II : Financement par endettement25 Section I : Financement par emprunt obligataire et indivis25 I- Financement par emprunt obligataire 25 II- Financement par emprunt indivis27 Section II : Financement par crédit-bail28 Section III : Financement à court terme 31

un emprunt non obligataire pour un nominal initial de 1 050 millions de couronnes norvégiennes présenté dans la Note 14. B. EVOLUTION DE LA SITUATION AU LIBAN La poursuite et la dégradation de la situation politique et économique du Liban a conduit le Groupe a réévaluer la valorisation de ces actifs dans le pays. Les conséquences sont indiquées en Notes 6 et 14. C. REMBOURSEMENT ANTICIPE DU PRET GARANTI PAR L’ÉTAT DE 280 MILLIONS EUROS (“PGE”) ET DE L’EMISSION OBLIGATAIRE A TAUX FIXE A