Geert Hofstede

entreprise, en renforçant sa légitimité externe et une identité fédératrice et positive en interne ( sentiment d appartenance) synergies. De même, peut aider une entreprise à adapter ses méthodes de management aux spécificités culturelles locales (Seryex Hofstede et le management interculturel- D Iribarne 182 facteur de performance économique : motive, fédère et donc à l origine de 6. Les limites de la culture d entreprise facteur d acculturation : enseignement d une norme de pensée et d action transformant

. . . . . . . . . . . . . . . . .  336 2.2 Communication et gestion de l’espace . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  337 3. Geert Hofstede et la classification des cultures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .  3.1 Individualisme/collectivisme . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

des entreprises les rend spécifiques. La mesure de la performance et le jugement sur l’état atteint, constituent le centre du processus de contrôle de gestion. Mais la faiblesse de l’une des phases peut compromettre en partie les autres. G. Hofstede a proposé en 1981, un classement par ordre d’importance quatre aspects de la finalisation et de la post évaluation : ▪ Caractère non ambigu des objectifs afin d’éviter les conflits d’objectifs. Bonne connaissance des relations

account cultural differences. Indeed, cultural factors play a crucial role in the quality of the company performance (Rugman and Collinson, 2006) So to explore the culture's determinants into the business area, we will use the Hofstede's framework. (Hofstede, G. (2010), (Task1,3 group B) Individualism  Japan’s individualism is around 40 which is higher than Asian Countries and as Uncertainty Avoidance Index  The number(90) is higher than Asian counties (60)and also higher than World average(60)

Les théories du management interculturel Selon Geert Hofstede (12), les dimensions culturelles influent sur la manière de percevoir l’espace, le temps et les relations interpersonnelles. Il établit des liens entre les modèles de gestion et les cultures organisationnelles. Il identifie trois niveaux de réalité: la réalité individuelle, le collectif et l’universel. Cinq dimensions relatives aux cultures nationales sont distinguées. Hofstede (12) établit une liste des différences entre les deux

respectives, on parlera alors de dépendance fonctionnelle. Lorsqu'une entreprise diversifie ses activités, cette structure, très rigide, n'est plus adaptée. 21) Théorie de la contingence : STINCHCOMBE, WOODWARD, LAWRENCE et LORSCH, CHANDLER, HOFSTEDE et BOLINGER. Dans l’histoire de la pensée managériale, un intérêt continu a été porté au thème de la structure organisationnelle. Comment une organisation doit être structurée pour être efficace ? La théorie classique mettait en avant l’existence

Les théories du management interculturel Selon Geert Hofstede (12), les dimensions culturelles influent sur la manière de percevoir l’espace, le temps et les relations interpersonnelles. Il établit des liens entre les modèles de gestion et les cultures organisationnelles. Il identifie trois niveaux de réalité: la réalité individuelle, le collectif et l’universel. Cinq dimensions relatives aux cultures nationales sont distinguées. Hofstede (12) établit une liste des différences entre les deux

dans sa culture. Cependant, ce concept touche l’intérieur même de l’entreprise. Ce terme de culture doit être entendu de façon large. Au niveau national il s’agira du système des valeurs des idéaux partagés par les habitants d’un pays donné. G. Hofstede au terme d’une recherche menée dans une multinationale implantée dans plus de cinquante pays a tenté de mettre à jours les particularités structurelles et plus largement organisationnelles propres à des types de cultures. Quatre traits caractérisent

relations France-Mexique…………………………………...9 1.2 Définition du management interculturel………………………………...11 1.3 Les approches du management à la Française…………………………..15 1.3.1 L’histoire du management et ses évolutions……………………15 1.3.2 Le modèle fondateur de G. Hofstede…………………………....17 1.3.3 L’analyse des styles de management selon F. Trompenaars……21 1.3.4 Le modèle de management français……………………………..25 1.4 Les approches du management à la Mexicaine………………………….27 1.4.1 Passé historique et auteurs mexicains…………………………

Indeed, the difference between the Japanese and American culture is more different than that between the American and the European and more especially the French one; a lot of American share the same values as the European like the individualism. Hofstede (2009) made a classification of the cultural differences; The United states have 91 on the individualism scale, France has 71 and Japan 46. Furthermore, according to his masculinity scale, the United States and France have close scores, 62 for the