Geert Hofstede

diversité. Il faudrait tout d’abord que l’entreprise se débarasse de sa perception sélective qui lui empêche de s’intéresser au technique de travail de ses employés Il s’assurerait que ce suivi soit bien fait en se fiant à la grille culturelle de Geert Hofstede. Au cœur de cette politique de gestion de la diversité il faut revoir l’éthique puisque cette dernière fut mise de coté, ils ont d’ailleurs fait preuve d’une éthique individualiste Cette solution seraient couteuse puisqu’elle nécéssiterait une

information about Japan and its market before entering the country. The report will first establish the macro environmental examination of the country, thanks to the SLEPT analysis, the 12C framework will describe every aspect of the market and the Hofstede analysis will develop the awareness of the Japanese culture. The second part will expose the main challenges that the company will have to face. The third part will determine which entry mode is the best suited for the Swedish company. Finally, the

nation. C’est pour cette raison que l’on parle chez les comportementalistes de postulats silencieux, d’automatismes mentaux, car c’est manifestement une programmation collective de l’esprit. n n L’anthropologie et l’ethnologie parlent avec Geert Hofstède de la culture en tant que programme mental. Il faut bien entendu se méfier des stéréotypes, ce n’est pas parce qu’ un individu est Allemand qu’il répondra toujours aux critères culturels de cette nation, il pourra en particulier avoir une proxémie

niveau des différences entre pays. A l’intérieur d’un même pays, les personnes sont différentes de par leur région, leur ethnicité, leur religion, leur langue, mais aussi de par le sexe, la génération et l’éducation ou la profession. Hofstede (1991), Bollinger et Hofstede (1987) définit la culture comme « la programmation collective de l’esprit humain qui permet de distinguer les membres d’une catégorie d’hommes par rapport à une autre ». Cependant, les différences entre pays semblent être dominantes

Finalement, on peut dire que la culture est un élément clé qui peut déterminer si une organisation réussira ou non, si le personnel se mettra d’accord ou non. Elle est déterminante car elle agit en tant que « programmateur mental », comme le définit Geert Hofstede. Donc, il apparaît vital pour toute entreprise développant ses activités à l’étranger de prendre en compte les cultures nationales et leurs spécificités afin d’éviter ou au moins réduire les dysfonctionnements.

gestion, créativité ; Kaplan, Robert (1940-) et David Norton (1941-): tableau de bord prospectif.  4- Le courant de la mondialisation, représenté par Ghoshal, Sumantra (1948- ) et Christopher Bartlett (1943-): l'entreprise sans frontières et Hofstede, Geert (1928-2001): management interculturel  5- Le courant de la qualité et du management à la japonaise, représenté par Omae, Ken'ichi (1943-): gestion à la japonaise ; Ouchi, William: Théorie Z, gestion à la japonaise et Deming, William Edwards (1900-1993):

knowledge sharing. Cross cultural coordination Barriers for efficient communication and cooperation "Culture is more often a source of conflict than of synergy. Cultural differences are a nuisance at best and often a disaster." - Dr. Geert Hofstede This could reflect what happened in the case of GENSURE development, where cultural differences seem to be overlooked, and it was a principal cause of the failure. The analysis Barrett & Oborn paper reveals the growing importance of

pas tenus, les écarts de sécurité signifiés en direct par mes soins (Clara Responsable des Travaux Neufs) aux intervenants (en tête à tête), ne sont pas écoutés => un sourire un hochement de tête et une fuite. Analyse objective étayée par : Geert Hofstede « Individualism vs Collectivism » Individualism 1 2 3 4 5 6 Collectivism Take personal goal first F NL A prime orientation to common goals Individual identity is very important F NL Identity is base on membership

leurs sous-traitants, et ainsi de suite dans toute la chaîne de valeur.   Cinq valeurs universelles Depuis des décennies, la recherche tente de définir la culture. C'est le pari qu'a relevé il y a environ vingt ans un chercheur néerlandais, Geert Hofstede, qui a élaboré une grille culturelle fréquemment utilisée dans la sphère du management. L'identité culturelle s'y trouve définie selon cinq dimensions universelles : l'orientation temporelle, le contrôle de l'incertitude, l'acceptation de l'inégalité

prend sens Les gens d’une même culture partagent donc des références qui font sens pour eux. Ensuite, chacun mobilise ces références différemment. Une conception dominante en management La culture vue comme une « programmation mentale »  Geert Hofstede (plus connu, étude très quantitative, très bien débroussaillé les questions culturelles, mais très limitée, Il parle de software d’ailleurs en anglais. Toujours vivant. Né en 28 aux Pays-Bas s’intéresse à la culture par le biais de la technologie