Egalitarisme

d’autant plus que les moyens accordés ne sont pas également répartis entre les différents établissements. Il faut cependant remarquer que c’est un choix politique, prôné par Christine Albanel, qui défend l’idée qu’ « il faut en finir avec le pseudo égalitarisme». Les relations avec l’Etat seront réglées dans le cadre de contrats pluriannuels comportant un contrôle de légalité renforcé. Les diplômes devront conserver leur caractère national et les droits d’inscription resteront fixés par un arrêté

(aspect bio-social) • • • • Migration Choix d’un partenaire sexuel (compétition des males etc.) Changement des modes d’alimentation Changement des comportements sociaux de des structures : solidarité, agressivité, intégration-exclusion, domination-égalitarisme (harems etc.) • Sociale: – Changement de l’organisation des relations écologiques (transformation du écosystème) Elevage • Chasse • Cueillette Agriculture – Dominante sociale en biologie: • Immunité artificielle • Choix d’un partenaire

auxquels la nécessité les a contraints ». 4. Le coût psychologique de la course à la performance est désormais patent 5. Enfin, une société authentiquement méritocratique serait probablement invivable Anthony Giddens, Patrick Diamond, The New Egalitarism, 2005 : « Un modèle purement méritocratique serait non seulement irréaliste, mais également incohérent. Irréaliste, parce que, pour l’essentiel, la mobilité sociale est, et demeurera sans doute, liée à des évolutions dans la structure de l’emploi

la socialisation intellectuelle chez l'enfant un peu plus âgé. T. Parsons a montré que la classe scolaire est, sans même qu'on l'ait jamais exactement voulu, un modèle socialisateur : dissymétrie de la situation du maître et de celle des élèves, égalitarisme théorique des élèves, mais classement selon le mérite qui fonde peu à peu une hiérarchie sur les statuts acquis, rémunération des efforts sous forme de notes. Une classe organisée selon un système de concurrence libérale prépare en effet très directement

de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits ». La loi n’est juste que si ce qu’elle ordonne ou interdit peut valoir pour tous Cependant cette égalité juridique des sujets ne signifie pas égalitarisme car elle « est parfaitement compatible avec la plus grande inégalité en quantité ou en degrés de leurs propriétés, qu’il s’agisse de supériorité physique ou intellectuelle sur les autres ou de biens extérieurs ou de droits en général dans leurs

loi si elle est juste , générale et qui s'applique à tous . Sentiment de justice = équité , connaissance des règles du jeu = sécurité Principe de non rétroactivité : on ne peut remonter et changer la règle du jeu en pleine partie « jus » pas égalitarisme , on peut avoir un traitement diffèrent . Recherche d'équilibre , de balance , de proportionnalité. Beaucoup de règles sont protectrices : restreindre la liberté d'autres individus ( protection du travailleur , du consommateur … ) . En France

social démocrate, a forgé l’usage du mot en 1973 dans Dissent , un magazine sur les politiques de protection sociale. Selon E.J. Dionne, le néo-conservatisme est né sur le principe que le social-libéralisme a échoué. En effet, ils rejettent l’ « égalitarisme culturel » dont l’affirmative action est l’archétype. Pour Hubert Vedrine « Il n'y a pas de définition précise du néo-conservatisme. Le Néo-conservatisme désigne selon son acceptation la plus connue en France

justice en tant que principe fondationnel et la justice en tant que pratique judiciaire. Il dit que notre sentiment d'injustice vient du fait que nous revendiquons l'égalité, comme un désir de rétablissement de l'équilibre absent. Or pour lui, un égalitarisme généralisé caractériserait une société violente et non libre. En effet, pour que la conception de justice émerge, les acteurs doivent définir librement leurs attentes, les espérances en matière d’avantages sociaux. Ceux-ci étant limités, la répartition

universaliste car celle-ci s’est construite sur la base de l’égalité entre les hommes. Mais la démocratie peut aussi se construire à partir de l’inégalité : en définissant des populations extérieures, inférieures ou opprimées, la société peut construire un égalitarisme interne. La démocratie naît dans ce cas d’un principe d’exclusion d’un groupe (par exemple aux Etats-Unis les Noirs ou les Indiens) considéré comme inférieur, et ainsi les hommes composant le reste de la société (les Blancs ou non Noirs) sont égaux

aiguillonner les pauvres en leur proposant de faire une révolution. La démocratie sera d’abord définie comme le gouvernement des pauvres. La passion démocratique par excellence, c’est la liberté comprise comme le rejet de toute hiérarchie, c’est donc un égalitarisme forcené. C’est l’inversion totale de la cité idéale, puisque les fonctions ne sont plus déterminées par des capacités, mais par la ruse ou le hasard. La démocratie, c’est l’égalité des inégaux, le nivellement des capacités et des fonctions. Pour