Dogmatisme Relativisme

société lui donnant son identité. Rousseau : l’H n’a pas d’instinct naturel contrairement à l’animal, tt ce qui est humain est culturel : enfant sauvage n’a selon celle définition rien d’humain. Levi-Strauss : il n’y a pas une mais des cultures, relativisme culturel admet cette variété, mais tt H est un peu ethnocentriste : réflex primitif qui pousse à établir une hiérarchie entre les cultures qui se se vaudraient pas. Arendt : nouvelle forme de société : la société de consommation : loisir de masse

virulence, du « myth of the framework » : la « thesis that the framework cannot be critically discussed ». « Kuhn suggests (…) that rational discussion, and rational criticism, is only possible if we agreed on fundamentals ». « This is (…) the thesis of relativism », « the central bulwark of irrationalism ». « It is just a dogma – a dangerous dogma – that the different frameworks are like mutually untranslatable languages. The fact is that even totally different languages (like English and Hopi, or Chinese)

jugement de beauté ne pourrait prétendre à aucune objectivité, aucune universalité, et serait toujours objet d’un débat sans fin ne pouvant se conclure que par l’affirmation d’un relativisme insignifiant, tel que « à chacun selon ses goûts », « les goûts et les couleurs ne se discutent pas ». Cependant, un tel relativisme se heurte à un fait culturel, celui de l’existence des institutions culturelles, tels que l’école, les académies, les universités, les musées, qui œuvrent comme des instances de

dogmatique qui ne saurait tenir compte de notre individualité et de notre situation d’unicité. De même, il n’est pas souhaitable que nous nous retranchions derrière un relativisme par la banalisation de nos choix en affirmant qu’ils se valent tous, car cela risque de réduire notre vie et la rendre insignifiante. Dogmatisme et relativisme sont deux voix qui étouffent une réelle prise en main de la liberté. Montaigne, penseur du 16ième siècle, nous dira dans ses essais que : « La plus grande chose

aléatoire et même involontaire : «quelque fois même qui est vrai». Comme si il disait la vérité mais à temps partiel ou selon ses envies, étant tantôt dans le vrai tantôt dans le faux sans pouvoir distinguer réellement les deux. Après le dogmatisme voici donc le relativisme. Au fond on pourrait dire que le lieu commun ne peut atteindre le vrai qu'en lui portant gravement atteinte. A ce stade l'énumération des faux semblants peut être rappelée : simulacre d'admiration, de respect, de volonté, de pensée

forme du raisonnement est valide. La vérité matérielle (vérité de fait) porte sur des faits empiriques : le contenu du jugement correspond bien à la réalité. Quelles sont les caractéristiques de la vérité ? - Elle est unique (ce qui exclut le relativisme qui dit "à chacun sa vérité"), tandis que l’erreur est multiple. - Elle est universelle (elle est la même pour tous, et elle n'appartient à personne). - Elle est objective (elle ne dépend pas de la subjectivité de chacun). - Elle est éternelle

ce monde sans passions" René Girard : mimétisme du désir. Un objet est d'autant plus attrayant si quelqu'un le désir également. LA CULTURE : Lévi Strauss : le barbare c'est d'abord celui qui croit en la barbarie -  Critique de l'ethnocentrisme, relativisme culturel. "toutes les cultures se valent"  Politique d'acceptation et tolérance. Leo Strauss : universalisme : au delà de toutes les différences il y a qu'une espèce humaine. BONHEUR : Kant : "le concept de bonheur est un concept si indéterminé

ce monde sans passions" René Girard : mimétisme du désir. Un objet est d'autant plus attrayant si quelqu'un le désir également. LA CULTURE : Lévi Strauss : le barbare c'est d'abord celui qui croit en la barbarie -  Critique de l'ethnocentrisme, relativisme culturel. "toutes les cultures se valent"  Politique d'acceptation et tolérance. Leo Strauss : universalisme : au delà de toutes les différences il y a qu'une espèce humaine. BONHEUR : Kant : "le concept de bonheur est un concept si indéterminé

donc ne pas être le sensible. Ce qui est perçu par le moyen du corps est subjectif, particulier. Or le réel n’est-il pas commun à tous les hommes ? Ne peut-il pas faire l’objet d’un discours communicable ? Dire le contraire, c’est basculer dans le relativisme. Renoncer à l’universel. Une mise en question de la perception est ici nécessaire. Elle conduit Platon à écarter le monde de l’expérience, qui est soumis au changement, et qui ne peut, par conséquent, être l’objet d’une pensée universelle. Pour

parmi d'autres genres. C'est qu'il n'y a peut-être qu'une philosophie par provision. Elle est un viatique. Elle consiste à interroger les partis pris ou les préconceptions des disciplines positives, des pratiques sociales pour les arracher au dogmatisme. En ce sens la philosophie est réflexion critique, rationalité conquise sur le mythe ; elle analyse des conditions, délimite la part d'irrationnel de toute activité. Notre monde change et notre société nous cache le visage prochain de l'homme. La