Dialogue Comique

ut d’abord, nous remarquons que durant l’extrait Mr et Mme Martin ne semble pas se connaître. En effet, Eugène Ionesco décide de mettre en scène une parodie de rencontre amoureuse qui se caractérise par la présence d’un comique de caractère et de mot. Dès le début de la scène, Mr et Mme Martin procèdent comme s’ils ne s’étaient jamais vus alors qu’ils sont décrient comme étant des époux. Mais encore, Mr Martin s’entretient avec sa « supposé » femme en la nommant « chère madame » tout comme Mme Martin

infantilisante ) et « Comment vont tes moignons? » ( réduction de Naag à l'état de vieillard mutilé, impuissant) 2. La parole pervertie Dans quelle mesure la parole ne remplit-elle pas ses fonctions expressives et affectives? a. Modalités du dialogue dénaturé entre Nagg et Nell: - un niveau de langue familier: p. 27 « Qu'est- ce que c'est mon gros? » Et métaphore familière de 'la bagatelle' p. 29 « L'accident de tandem où nous laissâmes nos guibolles » => la relation entre Nagg et Nell apparaît

Le dialogue est organisé autour d’un verbe pivot. L’annonce du fratricide au vers 1314 renforcé au vers 1322 par la certitude de ce caractère imminent. Ce coup de théâtre s’oppose a la sérénité confiance de burrhus , dans la 1ere réplique et suscite chez lui 2 types de réactions. Puis l’expression de l’incrédulité Neron dirige le dialogue jusqu’au vers 1326 Mais c’est un cri de « Burrhus ». « Ne fut jamais seigneur conçu dans votre sein  » Percé a jour (C’est Narcisse qui lui a inspiré l’idée

tendance à transformer les notions comiques en évènements graves, qui touchent la fatalité et la mort. Dans quelle mesure cette pièce de théâtre dépasse-t-elle la classification générique de « comédie » choisie par Musset ? Cela nous amène à réfléchir sur la dimension comique de l’œuvre. Ensuite nous analyserons la fatalité du destin tragique. Puis nous étudierons le drame romantique au sein de l’œuvre. Musset a donné comme registre pour son œuvre le comique. Les différentes associations

également au spectateur le ton de la pièce (comique, sérieux…) b) Le nœud de l’action : il précise la nature des obstacles à surmonter ou de l’objectif à atteindre. Il se compose de différentes péripéties. c) Le dénouement : c’est l’aboutissement de l’action (échec ou succès dans l’aboutissement des objectifs initiaux). Il fixe le sort de tous les personnages. II. La parole théâtrale Echange verbal entre plusieurs locuteurs, le dialogue théâtral se caractérise par des éléments spécifiques

l’argent aux nobles et Dom Juan lui en a emprunté. Celui-ci vient donc pour le lui rappeler. Dom Juan n’a aucune envie de payer M.Dimanche tout de suite, il souhaite souper et va donc éconduire M.Dimanche dans une scène comique. Pour répondre à la question en quoi cette scène est-elle comique nous étudierons dans un premier temps le fait que Dom Juan parle sur un ton de conclusion puis nous verrons que cette scène est une scène de comédie sociale et enfin nous terminerons en démontrant qu’il s’agit d’une

comme un dialogue de théâtre avec des didascalies ,des répliques au discours directe avec les noms des personnages mis en exergue en capitales . De plus, le début in medias RES  qui semble surprendre les personnage au milieu d'une conversation rappel les ouvertures des pièces de théâtre… Le texte s'inscrit dans l'héritage de la farce comme en témoigne les deux scènes de bastonnades . Effet de ridicule (lignes 43 & suivantes) comique de gestes et de répétitions avec en plus un comique de situation

tourner en dispute pour quelques futilités. Dés le début de la scène, nous remarquons que cette pièce appartient bien au registre comique. En effet, nous sommes premièrement un peu surpris des petits surnoms affectifs qu'emploie Tchouboukov avec Lomov durant toute l'histoire, et même durant les disputes un peu violentes. Ce qui rend forcément un effet purement comique : « Mon mignon » (l.1 scène 1), « Mon poussin, les Petits-Prés-aux-Boeufs sont à nous » (l.5 scène 2), « Ce n'est pas vrai, monsieur

Lecture analytique : En attendant Godot, Beckett Problématique : En quoi ce passage, à travers son oscillation entre tragique et comique, permet-il de réfléchir à la vanité de la condition humaine ? I. Eléments clownesques * Jeux sur la langue : répétition, situation mécanique. Dialogue de sourd : les réponses ne correspondent pas toujours avec les questions. Et jeux sur les sonorités proches : paronomase (Enlève, relève). * Situation : 2 personnages qui attendent sans but sur une

réactions normales -Gaby = parisien, délicas, réfléchie, avec un parler populaire, costaud mais pacifique -narrateur omniscient au début -narrateur qui nous fait aimer l'histoire, qui guide, assez discret, avec des limites -présence d'un dialogue -temps du passé -3eme personne II...La fait disparaître (=destruction du roman) -début fracassant des le premier mot avec le neo français (doukipudonktan) pensée très basse, qui déstabilise le lecteur -rupture des codes typographiques, on