Dialogue Comique

conflits familiaux et va bouleverser la vie en apparence tranquille de la famille d’Adrien. L’intrigue est ancrée dans une période historique définie qui est la Guerre d’Algérie. (Lecture de texte) Notre extrait vient clôturer l’acte III, il est un dialogue entre Adrien et Le Grand parachutiste noir. J’ai choisit cet extrait plutôt qu’un autre parce qu’il m’est apparue en première lecture l’un des plus énigmatique et donc un des plus représentatif de la pièce entière. Il me semble que l’intérêt pour

spectateur par les personnages et provoque le rire ou l'émotion du spectateur. => Grand pouvoir de persuasion. 2- Théâtre: lieu de débat libre : - Le dialogue suppose un échange d'idée : c'est par le dialogue que la philosophie va naître. Le théâtre est une excellente tribune pour défendre ses idées car il crée un lien naturel entre le dialogue et le débat. - Le théâtre se fonde en grande partie sur la notion de conflit. C'est un désaccord. - Lorsqu'on débat par le biais de la fiction => argumentation

parties. La première est purement narrative (avec ses passés simples «proposa», «excusa», etc.). Cette partie présente les personnages et l’intrigue. La seconde est un dialogue entre les deux pots (les guillemets, l’alternance des répliques, les tirets, les verbes de parole comme «dit» ou «repartit», le présent en témoignent). Ce dialogue est essentiellement argumentatif puisque le pot de terre donne les raisons de son refus de partir, et le pot de fer tente de le convaincre de venir avec lui. La troisième

idéaux communistes. Dans ce texte il imagine un dialogue avec Sully le ministre d’Henri IV auquel il explique l’évolution du monde Problématique : Nous verrons comment Bazin se révèle lucide sur notre société avancée, et même visionnaire alors qu’il vit dans une époque encore prospère. Quel rôle il assigne à l’intellectuel dans ce débat ? Plan : Une argumentation dialectique I-Une argumentation dialectique : A) Un dialogue fictif à tonalité comique : Le locuteur s’exprime à la 1ère personne du

de commenter est le dialogue relativement pathétique entre le garde et Antigone, juste avant la mort de cette dernière. On pourra alors ce demandé en quoi ce passage fait ressortir le caractère tragique d'Antigone? Dans un premier temps nous analyserons le contraste entre les deux personnages, dans un second temps nous verrons le sentiment de solitude éprouvé par Antigone. I- Le contraste entre les 2 personnages 1- Un faux dialogue * ce passage à la forme d’un dialogue avec le système de question

bien qu’il y ait dans toutes ces œuvres (…) malgré leur diversité des éléments communs qui assurent à leur style son efficacité. Ce sont ces éléments que l’on peut essayer de définir. » Tout se passe comme si le spectateur surprenait une série de dialogues mais ce langage n’a rien de spontané. C’est un « langage en représentation » même si apparemment les propos échangés ne se distinguent en rien des propos quotidiens. « Si tout au théâtre est langage, une œuvre dramatique est avant tout parole » :

l’interdiction de sa pièce précédente, Le Tartuffe. - Scène d’exposition de la comédie, dialogue entre Sganarelle et Gusman qui est rédigé en prose. Deux tirades du premier, au début et à la fin de la scène. - A travers le dialogue, portrait indirect de Sganarelle : un personnage comique qui veut défendre la foi et la morale chrétienne, mais au fond, c’est un personnage appartenant au peuple I. Personnage comique Bien qu’il soit un valet, prétention verbale : « Ne voyez-vous pas bien », « mais

syllogisme : Si tout B est A , Et si tout C est B, alors tout C est A. Le syllogisme ne marche plus lorsque l’on inverse les ordres. Le logicien est donc totalement illogique => cela en devient comique Encore une fois il y a faillite du langage => tout ce que l’on dit n’a plus de sens. Logique apparente : Dialogue entre Jean et Bérenger : au début, les paroles de Jean semblent plus logiques que celles de Bérenger… Mais au fond, les paroles de Bérenger sont vraies et logiques. « Les morts sont plus

pittoresque, observation comique: "Mais il est devenu comme un homme hébété/depuis que de Tartuffe on le voit entêté". 3. (transition) Elmire, Mariane, Damis, Cléante, Dorine:Informations sur les mariages projetés des enfants. "Il entre" (Orgon). 4. Orgon, Cléante, Dorine: Orgon se présente avec une fixité imperturbable, exprimée par la répétition mécanique des mêmes termes. La scène est construite autour de la répétition des répliques. ("Et Tartuffe?"…Le pauvre homme!"). Mécanisme comique: le jeu des symétries

réduit à presque rien dans certaines pièces ultérieurs : « BOUCHE » in Pas moi. Les relations entre les personnages Dans ces œuvres sans véritable intrigue, les personnages dévident des paroles inconsistantes qui donnent lieu à un semblant de dialogue. Le rapport à autrui[12], nécessaire, svt cruel, légitime des conversations apparemment décousues et absurdes. Ainsi les personnages fonctionnent-ils par couple. Cf. évidemment les deux couples de Fin, mais aussi Vladimir/ Estragon et Pozzo/Lucky