Dame Kirkwood 30 Mai 1952

- 28 - §2. Autorité respective de la loi et des règlements - 29 - A. Autorité de la loi - 29 - B. Autorité des règlements - 29 - §2 : Le pouvoir règlementaire - 30 - A) L’examen des autorités investies du pouvoir règlementaire - 30 - 1. Le pouvoir règlementaire du Président de la République et du Premier Ministre - 30 - b. Conséquence de la répartition des compétences - 31 - B. Les différents types de règlements - 31 - 1. Règlement d’exécution ou d’application de la loi - 31 - 2.

jugée des décisions de justice...............................................29 a – La décision rendue dans un litige où l'administration est partie..................29 b - La décision rendue dans un litige où l'administration n'est pas partie.........30 2 – La force exécutoire des décisions de justice.......................................................31 a – Les effets découlants de la force exécutoire des décisions de justice..........31 b – Les difficultés engendrées par la situation privilégiée

fait que le chef de l’exécutif va se contenter de signe la décision préparer par le conseil d'état, il ne faisait que confirmer la décision du conseil. Par conséquent, troisième étape ; faire coïncider le droit avec les faits. Objet de la loi du 24 mai 1872 qui va instituer la justice déléguée au profit du conseil d'état. La construction de la juridiction administrative actuelle est progressive. LA loi de 1872 crée le tribunal des conflits (arbitre) composé en nombre égal de membre du conseil d'état

période va voir se développer la procédure juridictionnelle devant le Conseil d’Etat. On va alors développer des mécanismes proches de ceux du système judiciaire. La juridiction administrative naît et grandit dans l’administration. D- La loi du 24 mai 1872 Elle consacre l’existence du Conseil d’Etat. On maintient le Conseil d’Etat et abandonne la justice retenue. On passe alors au système de la justice déléguée : le Conseil d’Etat dispose d’un pouvoir souverain de juridiction, qu’il détient par

transformations qui s'expliquent par des causes politiques et constitutionnelles (développement du régime démocratique et libéral) et des causes techniques et économiques (extension du domaine du droit administratif. 30 Trois traits caractérisent cette période : d'abord l'atténuation du caractère autoritaire de l'Etat aussi bien dans l'organisation des pouvoirs publics que dans les rapports avec les fonctionnaires et avec les particuliers (développement

son aval, c’est ce qu’on appelle le système de la justice retenue. -Dans les faits, le conseil d’état va progressivement affirmer son indépendance croissante du pouvoir exécutif, et cette évolution vers l’indépendance sera consacré par la loi du 28 mai 1872 qui hôte au chef de l’état le pouvoir de s’opposer aux décisions du conseil d’état, elle opère le passage à un nouveau système qui est celui de la justice déléguée. Jusqu’à la fin du XIX siècles, la juridiction administrative n’était compétente

population française) mais en 1852, on revient au système de la justice retenue. Une loi du 24 Mai 1872, ramène la justice à la justice déléguée : le juge administratif rendra alors la justice au nom de la population française. En 1953, en même temps, on a créé des tribunaux administratifs. En 1889, on va créer un niveau d’appel pour les juridictions administratives : les cours administratives d’appel. Loi du 24 Mai 1872 : création du tribunal des conflits : ce qui montre que dès lors on a une organisation

va utiliser des personnes morales de droit privé pour prendre en charge certaines activités. Elle va créer des personnes morales privées ou va encadrer une activité prise en charge par une personne morale de droit privé. Dans l’arrêt CE Ass. du 13 mai 1938, Caisse primaire « Aide et Protection » concl. Latournerie, le CE reconnaît pour la première fois qu’une activité gérée par une personne privée est d’intérêt général. Le gouvernement ayant interdit le cumul des retraites, il s’agissait de déterminer

pouvoir règlementaire le soin de poser certaines règles sans contenir elle-même la moindre règle de fond, dans ce cas là s’il y a un vice d’inconstitutionnalité il ne peut pas être imputé à la loi mais uniquement au pouvoir règlementaire. Arrêt du 17 mai 1991 « quintin ». - L’hypothèse dans laquelle la loi qui s’interpose entre acte administratif et Constitution la loi est considérée comme ayant été implicitement abrogée par un texte ultérieur. Si le juge administratif constate que la loi en question

§ 1 - Le droit international et les textes constitutionnels 28 § 2 - Le droit international et les lois 29 § 3 - Le droit international et les actes administratifs 29 § 4 - Le droit international et les décisions judiciaires internes 30 Section 2. - Le Droit international dans l’ordre juridique interne : une suprématie inégalement admise 31 § 1 - Les doctrines 31 § 2 - Les solutions pratiques 32 § 3 - Les traités, la coutume et leur application dans l’ordre interne