Connaissance Sans Expérience Sensible

t-ils pas à une certaine façon de vivre et de penser ? N’y a-t-il pas une rupture entre la connaissance sensible et la connaissance rationnelle ? Ne connait-on pas contre une connaissance antérieure ? Accéder à la vie philosophique est un déchirement, cette rupture marque le commencement de toute pensée. Ne faut-il pas s’arracher aux fausses certitudes de l’opinion, à une conception du vrai et de la connaissance qui laisse tomber dans l’oubli ce qui est vraiment essentiel. La vérité est le lieu de la

réflexion sur la connaissance. Partie 1 : Le management en questions A. Les différentes formes de connaissances 1) Société de connaissance Particularité de l’homme : il est doué de connaissance (= ensemble d’informations organisées). C’est ce qui le distingue de l’animal. L’organisation des informations donne le statut de connaissance. La finalité de la connaissance est d’améliorer notre rapport au réel, notre existence. 2 principales caractéristiques de la connaissance : elle se cumule

mais c'est une forme de phase de violence qui vient du fait qu'on est pas assez préparé. Ce qui est saisissable pour l'homme de la caverne sont les ombres car elles se font passer pour la réalité. Il faut évoluer à partir ces ombres vers une connaissance supérieure. On regarde en premier les reflets dans l'eau après les hommes et les choses elles mêmes, on lève les yeux vers le ciel mais en commencant par la lune et les étoiles et après on pourra regarder le soleil. On a le domaine des apparences

La raison et le réel : la démonstration, l’interprétation, matière et esprit, le vivant, la vérité Il s’agit d’aborder le problème de la connaissance, la raison étant la faculté de notre esprit par laquelle nous procédons à l’établissement de cette connaissance et le réel ce qui est l’objet de cette connaissance. Quelques précisions terminologiques - la conscience / la raison par ma conscience, je me représente le réel, par la raison, j’essaie de la comprendre. La raison est cette faculté

de vue philosophique nous allons centrer notre étude, c'est à dire déterminer quelle approche nous semble la plus intéressante sur le plan philosophique, puis en considérant ce point de vue la se demander alors si l'apparence sensible est une source fiable de connaissance puis finalement que ce rapport à la réalité par les sens doit être doit être complété par d'autres fonctions. Les apparences sont souvent trompeuses : elles nous masqueraient la réalité, donc nous éloignerait de la vérité

.............................................................. |33 | | 2.2.3 La Salutogenèse………………………………………………………... |34 | | 2.2.4 Expérience interne, transformation et santé……………………………. |35 | | 2.2.5 Authenticité…………………………………………………………….. |26

culturel et intellectuel. En effet, la conception empiriste place la perception à l'origine de nos idées. Aristote donne à l'expérience sensible la place de la base de la connaissance. Puis Locke dit « Rien n'est dans l'esprit qui n'ait d'abord été dans les sens ». Il estime donc que les idées viennent de nos sens et par extension que tout commence par l'impression sensible. Il faut donc d'abord sentir les choses et les accompagner ensuite de jugements (=interprétations). Hume approuvera cette réflexion

froid, dur, solide, odorant, sonore quand on le frappe, et possède une forme déterminée. Mais si on l'approche d'une flamme, ces qualités sensibles disparaissent toutes sans exception ; et pourtant, « la même cire demeure ». L'expérience révèle donc que la cire était autre chose que ce que je croyais. Elle n'est pas uniquement un assemblage de qualités sensibles, mais un morceau d'espace « flexible et muable ». Percevoir un objet, ce ne serait donc pas le sentir mais le concevoir. 2. Ce que nous

par les sens nous renseigne sur le monde extérieur visible et donc observable et nous introduit à la connaissance. Or, dans ce dernier terme, l’étymologie est intéressante con + naissance. Cette étymologie nous laisse clairement entendre que celui qui apprend à connaître sait déjà depuis la naissance. Peut-on affirmer que les sens sont suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ? Les sens sont les moyens de perception du monde de ’homme communs aux animaux

Le bébé les entend mais il est davantage sensible aux fréquences plus hautes. L'audition du bébé est en partie protéger par les tissus maternelles. Le bébé est sensible à la voix maternelle. La voix de la mère est portée par la prosodie, le bébé est sensible au jeu d'intonations. Caractéristiques acoustiques des berceuses très très proches dans toutes les cultures. Avant les 1ers mots du bébé, il y a des formes de langage (babillages … ex: expérience avec des babillages de bébés tunisiens