Complicité Lecteur Narrateur

Stendhal se sont attachés à la poésie du quotidien. Si l'imaginaire est décrié, la recherche du Beau n'est pas oubliée. Le roman réaliste a une vertu pédagogique : le narrateur utilise la troisième personne, il adopte le point de vue omniscient et se permet des interventions dans son récit pour créer une certaine complicité avec le lecteur. De fait la description n'est jamais gratuite, elle est symbolique et le personnage a une fiche d'identité très précise. Chez Balzac il faut étudier les lieux en

» finals. 2.la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. 3.la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

plan : Certes, l'analyse des sentiments tient un rôle prépondérant dans le roman par l'écrivain, pour le lecteur A) Un personnage est un être de papier dessinant un être humain gorgé de sentiments par la plume de l'écrivain. B) L'accès des sentiments face au lecteur lui permet de s'identifier à travers un personnage ou d'avoir un rapport privilégié entre le narrateur et le lecteur. Il est vrai que la description, les décors, les lieux, etc, ont aussi un rôle important dans l'analyse

l'intermédiaire d'un narrateur. Il développe une intrigue en présentant au lecteur une succession d'événements. Il crée une suite temporelle plus ou moins claire en jouant sur l'alternance entre l'enchainement des actions et la description des lieux et des personnages. A. Le narrateur Le narrateur raconte l'histoire en l'organisant le plus souvent selon une chronologie plus ou moins précise. La narration pouvant s'effectuer de deux façons différentes permet aux lecteurs de prendre connaissance

la pauvreté de la troupe. Ce portrait pourrait être le symbole du comédien qui amène avec lui ses rôles et sa vie. Le narrateur semble vouloir partager avec le public , un regard amusé comme on l'a vu en opposant un univers épique et burlesque. Il y a de nombreuses oppositions , ces oppositions produisent un effet comique. Le narrateur interpelle le lecteur pour gagner sa complicité mais en montrant tout de même sa liberté de ton. III) L'univers théâtrale. Avec le titre du roman, on sait qu'il

celui des enfants que celui des salons mondains cultivés et souvent féminin, apte a saisir les allusions, les clins d’œil et le double sens du récit. Autre originalité, l’intervention du narrateur qui commente, ironise maniant l’antiphrase, l’exagération ou le sous entendu, installant une complicité avec son lecteur. La visée deveint plus ambigüe, revêtant une portée plus satirique que proprement morale. La Fontaine s’attaque, sous le voile aimable de la fable, a la société de son temps: la justice

dispensaire de Clichy pour y soigner les pauvres. Son premier roman Voyage au bout de la nuit est publié en 1932 et obtient le prix Renaudot. Le livre fait scandale par la violence du récit comme autant que par son style étonnant. Bardamu, le narrateur personnage est un double de l’auteur. Comme lui, il est médecin et connait des aventures dans différents pays. Le roman commence en France au début de la 1ère GM alors qu’il s’engage dans l’armée sur un coup de tête il est rapidement rapatrié à cause

nôtre transporte le lecteur dans un ailleurs séduisant 1. Elle dépayse totalement le lecteur La littérature est peuplée de mondes très éloignés du nôtre. Cet éloignement conduit à un dépaysement, qui peut être géographique ou temporel. Dans Candide, conte philosophique de Voltaire, le pays d'Eldorado est situé en Amérique du Sud, une région qui, au xviiie siècle, est associée à la mystérieuse civilisation inca, mais aussi au Pérou et ses mines d'or. Dans l'imaginaire du lecteur, ce voyage est de

l'origine douteuse de la fortune des Valenod. Maintenant,étudions de quelle manière le narrateur indique sa présence. le narrateur a un regard omniscient par la description du double conflit qui habite le jeune homme et intervient dans cet extrait d'une manière ironique à la ligne 7 « ce luxe de mauvais goût » ainsi qu'a la ligne 10 par la présence du « on entendait » qui indique la présence d'un narrateur-témoin,d'où la question:l'auteur dévoilerai t' il un passage autobiographique? Il dépasse

du désespoir, vient précipitamment « se jeter aux pieds du monarque » ; ces détails donnent parfois un aspect grotesque aux situations évoquées. Par ailleurs, l’auteur-narrateur intervient dans le récit pour donner des explications sur ce qui arrive à son personnage naïf, qui n’est assurément pas un héros : il précise au lecteur que la jeune Ninivienne évoque un faux oncle « qu’elle n’avait point », qui l’aurait dépouillée d’un bien « qu’elle n’avait jamais possédé », et qui survient au moment crucial