Complicité Lecteur Narrateur

LES OBSEQUES DE LA LIONNE Mouvement 1 Ligne 1 à 16 : Situation initiale Mouvement 2 Ligne 17 à 23 : Intervention du narrateur Mouvement 3 Ligne 24 à 51 : AnecdoteMouvement 4 Ligne 52 à 55 : MoraleProblématique : Comment La Fontaine fait-il ici la satire de la cour ? Le texte étudié est tiré des Fables , écrit par La Fontaine, en 1678. Il se nomme " les Obsèques de la Lionne ", et raconte les

intérêts à sa lecture nous verrons ensuite qu’il est nécessaire d’assister à sa représentation pour en apprécier véritablement toute sa valeur.]      Pour commencer, la lecture du texte théâtral apporte des avantages, car sans représentation, le lecteur peut se laisser aller à son imagination et être son propre metteur en scène. Il peut ainsi se représenter le physique et le jeu des personnages à travers sa lecture et également imaginer ses propres décors et ses mises en scène. Il parcourt la pièce

repérés, en cherchant le sens qui naît de leur rapprochement. L’association des champs lexicaux peut être conventionnelle ou surprenante. VI- Le type du texte : 1) Texte narratif : * Narrateur intérieur : le narrateur est l’un des personnages du récit, même un simple témoin * Narrateur extérieur * Structure du récit qui se base sur le schéma narratif: structure circulaire ou « en boucle » (Quand la situation de la fin a plusieurs points communs avec celle du début : on semble

Les mots de Sartre Objectif : revoir les figures de style et les interpréter. comprendre la visée explicative de l’autobiographie. Oral préliminaire : Quelle place et rôle tient la lecture dans votre vie ? Quel type de lecteur êtes-vous ? ( zapping, lire plusieurs livres à la fois, magazines, internet, lecture plaisir ou juste les lectures obligatoires de l’école) Vous souvenez-vous de vos premières lectures d’enfance ? Y a-t-il un livre qui compte particulièrement pour

métissage). 6Dans le cadre d’une interaction analytique entre plusieurs aires de la textualité, Alissa Le Blanc montre comment Laforgue s’emploie à défaire les mécanismes de l’illusion référentielle, notamment grâce aux interventions intempestives du narrateur. L’auteur des Moralités légendaires souligne à outrance les emprunts à des œuvres connues ou la reprise de topoi littéraires. Les nouvelles étoilent vers d’autres textes dans une danse étourdissante de références ayant pour conséquence le parasitage

localités. Ils doivent établir une carte plus simple où ne figurent que les lieux du roman  Y a t-il une volonté d’ancrage de l’histoire dans les lieux de la réalité ? 2. Mise en place d’une situation de communication, le locuteur 1 s’adressant à un lecteur interlocuteur. Son relais sera Sazerat, mais le locuteur 1 garde une distance critique. 3. Mise en place de l’alternance entre 2 temporalités : 1946 (date repérée à la fin de l’ouvrage), et 1843 (p. 10). Difficulté de remonter l’histoire. 4. Mise

l’éthique religieuse Epique : Le registre épique (ou héroïque), repose sur la réaction d'admiration du lecteur devant les exploits de héros surhumains. Lyrique : le narrateur dévoile ses émotions intimes et personnelles sur des thèmes généraux comme l'amour, la nostalgie, la solitude, la fuite du temps, le rapport à la nature ou la mort. Oratoire : propre au discours qui vise a créer une complicité.

part cette métamorphose permet aussi la transformation du lecteur, il s'agit dorénavant d'un lecteur critique et éclairé capable de prendre ses distance par rapport à ce qu'il lit, car si le roman d'aventure permettait une immersion au cœur de la fiction, le roman réaliste lui invite au regard critique, à la remise en question. Par exemple dans Jacques le Fataliste et son maître de Diderot, le lecteur et invité à douter de la parole du narrateur. Dans un deuxième temps, on assiste à une évolution

Deum »finals. 2. la justification de la guerre Le massacre est ici moralement et socialement justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. 3. la comptabilité Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les communiqués militaires)

« placer » aux vers 9 et 10 ôtent aux obsèques tout caractère émotionnel pour n’en laisser paraître que le cadre conventionnel.Au vers 11, nous assistons à une pause dans le récit puisque le fabuliste s’adresse directement au présent de l’impératif, à son lecteur, pour le prendre à témoin de l’obséquiosité des courtisans. Ce vers 11 constitue un pivot, un temps d’arrêt dans la fable. Il marque une interruption forte.V 12 à 16 :La Fontaine accentue la violence avec laquelle le prince se livre à sa douleur,