Complicité Lecteur Narrateur

se proposent, montrent tout de même qu'il y a des choix esthétiques propres au naturalisme, dans ce roman. 2) Le narrateur n’est pas neutre Ensuite le narrateur reste rarement neutre, la subjectivité du narrateur peut se manifester par les modalités de l’énonciation : l’interrogation, l’exclamation ou bien la négation polémique. Mais aussi la présence du narrateur se traduit à travers la focalisation, c'est-à-dire le point de vue qu’il adopte pour développer son récit. Le texte peut

de la prétérition, puisqu’il s’agit d’une stratégie de mettre en saillie des éléments du récit prétendument omis. D’ailleurs, le narrateur ne tardera pas à exprimer la même stratégie – une prétérition- en parlant du père « je ne vous cèle pas les défauts du géniteur». Tout l’intérêt de cette stratégie réside dans cette tension entre le dit et le non-dit. Le narrateur combine avec pénétration la mise en valeur des passages clés de sa narration et l’art de les taire. En multipliant les interrogations

Les œuvres de fiction sont-elles efficaces pour argumenter ? Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Cette volonté didactique s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, époque à laquelle la diffusion du savoir apparaît comme primordiale, la publication de L'Encyclopédie en est peut-être l'exemple le plus représentatif. Pour transmettre leurs idées, certains écrivains préfèrent utiliser des personnages et des situations

portrait en mouvement, — le début d’une histoire, — la mise en place de réseaux thématiques majeurs. I - UN PORTRAIT EN MOUVEMENT En romancier réaliste attentif à l’entrée en scène de son héros, Maupassant, à travers le regard du narrateur omniscient du récit, nous offre un portrait très informatif de Georges Duroy: Le portrait physique : s’il faudra attendre quelques lignes encore au-delà de cette première page du roman pour connaître la couleur des yeux et des cheveux de ce «joli

dissimulation de l’identité véritable de l’auteur. a) Faux locuteur, Faux destinataire b) Auteur = ancien sage chaldéen c) Lieu lointain. Problème de langue III) Fonction argumentative implicite de ce prologue : convaincre le lecteur de lire ces comptes. a) Utilisation des personnages qui préfèrent les comptes philosophiques b) Critique les comptes comme les mil et une nuit qui ne signifient rien. Comptes philo.> Comptes ordinaires (comptes philosophiques : Divertir

philosophique. Type de texte : texte narratif Registre littéraire : tragique : la fatalité, la mort. Vocabulaire difficile : l.14 « cette hâte » : rapidité avec laquelle on fait quelque chose. Qui parle et à qui ? : Emploi de la 1ère personne du singulier, narrateur interne, concerné par les événements. Problématique étudiée en classe + plan choisi : Dans quelle mesure a-t-on à faire à un incipit original ? Introduction : Le texte présenté est extrait de L'Etranger d’Albert Camus, paru en 1942. L'œuvre de Camus

et mort, il m’assassine » Pierre Corneille. Verbe, adjectif, adjectif verbe. Même mort, le personnage continue à semer le trouble. 3- Les figures d’opposition Elles rapprochent de manière saisissante des termes opposés de façon à marquer le lecteur. 3-1-L’antithèse L’antithèse oppose deux mots de sens contraires à l’intérieur d’une phrase ou d’un paragraphe pour produire un effet de contraste : « J’aimerais mieux une laide bien sotte Qu’une femme fort belle avec beaucoup d’esprit », Molière

« crurent » (l. 11), « faire croire » (l. 30), « parus » (l. 39), « d'un air si naturel » (l. 40)... Gil Blas, un roman picaresque. a. Des rapports narrateur-lecteur qui permettent au lecteur d'intégrer l'action. Utilisation de la 1ère personne du singulier : caractéristique propre au roman picaresque : complicité instaurée entre le lecteur et le picaro (Gil Blas). Utilisation du présent de narration : « Les voleurs se réveillent et sont bientôt auprès de moi. Ils me demandent ce qui

à fait anodin en épopée incroyable, Rousseau parvient à nous transmettre ses émotions et ses peurs. Cette communication des sentiments rend l’épisode plus incroyable encore du fait de cette connotation affective qui déborde le récit héroïque du narrateur héros. Nous avons dès lors un paradoxe important qui met en avant le double regard à la fois humoristique et douloureux accentuant l’aspect ironique par des antiphrases. Le vocabulaire contribue à cette impression, « frémir, rire », les sentiments

les travers d'une époque , d'une institution , groupe social/politique. La parodie: Elle consiste à imiter une oeuvre,une forme textuelle,une forme d'expression pour faire rire et parfois critiquer. L'ironie: Elle supose une cible et une compliciter entre l'ironiste et son public afin de montrer le décalge entre ce qui est di et ce qui est pensé soit perçu.Il est utiliser pour faire sourir ou rire aux dépens de quelqu'un. Emouvoir Le registre lyrique: Par analogie ,il désigne