Complicité Lecteur Narrateur

Langues et littérature française TDPhillipe Soupault est un auteur ayant été exclu du surréalisme en 1926. Le roman Les dernières nuits de Paris est publié en 1928. Officiellement, il ne fait plus partie du mouvement lorsqu’il écrit le roman mais considère qu’il possède une liberté, une autonomie.Soupault est une personnalité très libre ; le roman fait à la fois partie du surréalisme, il s’en revendique mais prend en même temps ses distances avec le mouvement. Déjà le fait d’écrire un roman est

Seigneur d’Albert Cohen publié en 1968. Chacun de ces textes parle du couple en question ainsi que la relation amoureuse qu’ils ont. Une relation amoureuse dans un couple est censée être heureuse et harmonieuse mêlée à beaucoup de complicité entre deux personnes mais le lecteur va découvrir dans ces trois textes que ce n’est pas le cas. Ainsi, nous pouvons nous interroger sur quelle vision de la relation amoureuse ces trois textes propose-t-il ? * Dans le texte A, il y a deux personnages qui sont

Le client avait | | |maintenant besoin du commerçant pour vivre. La loi de l’offre et de la demande, qui était la charpente, la maîtresse poutre de la pensée de | | |Charles-Hubert, lui inspira un raisonnement que le lecteur jugera simpliste, mais qui lui paraissait, à lui, une merveille de complication. Cette | |20 |analyse hardie, ce plan d’attaque infaillible, se résume de la sorte : la demande est supérieure à l’offre ; par conséquent, le commerçant est dans

finals. la justification de la guerre: Le massacre est ici moralement et aussi socialement justifié: « infectaient », « coquins » présentent les victimes comme des coupables. La guerre serait donc une mesure d'assainissement. la comptabilité: Le narrateur tient une véritable comptabilité des tués, et énumère les chiffres et le total final sans manifester aucune émotion, avec de la froideur: comme si l'importance des chiffres traduit à elle seule l'opinion de l'auteur et valoriser la guerre (cf. les

l13, le jugement d’un sévère maréchal des logis, insultes : « blanc bec » - l1, « peu héros », « litote » pas du tout, B) Par le narrateur. - l23, jugement d’un soldat « béta » - l29, « héros » ironie de Stendhal. C) Par le lecteur. - l9, « le héros » ironie de Stendhal. - Stendhal juge son héros « nous », « notre » = complicité entre Stendhal et le lecteur.

Moderato Cantabile de Marguerite Duras Sommaire 1. Biographie de Marguerite Duras 2. Analyse stylistique du livre "Moderato Cantabile" 3. Situation du lecteur dans "Moderato Cantabile" 4. Analyse thématique de "Moderato Cantabile" 5. Conclusion de l'analyse de "Moderato Cantabile" Biographie de Marguerite Duras Marguerite Duras est née en 1914 en Indochine, qui à l’époque est un des nombreuses colonies de la France. Le fait qu’elle ait vécu en Indochine va considérablement marquer son

COMMENTAIRE COMPOSE – Madame Bovary Plan : II] Un couple qui s’ignore a) Le lecteur ne sait pas qu’ils sont mariés b) Une épouse démonstrative II] Différences entre Charles et Emma c) Charles, personnage solitaire d) Emma une femme active, Charles un homme lasse II] Des liens qui se créent a) Différences entres les conversations b) Charles et Léon, deux contrastes. Introduction : Madame Bovary, écrit par Gustave Flaubert fut publié en 1857. Flaubert est un écrivain

s’instaure, dans laquelle se rejoignent la voix du personnage, celle de la communauté et celle du narrateur. 2. Mise à distance de la voix du narrateur : La voix de Kyo : les marques du monologue intérieur sont nombreuses, à savoir le style indirect libre (« Qu’eût valu... »), les verbes de perception intérieure (« il s'était souvent demandé », « il savait »), les phrases infinitives. Insertions du narrateur : description de l’état d’esprit des gens de l’exté-rieur du préau (l.3+, « partout où les

sont transmises par l’intermédiaire du narrateur. L’emploi du point de vue interne délivre les pensées intimes d’Emma, la façon dont elle perçoit les éléments de sa vie s’introduit par des tournures telles que « elle songeait » (l.1), « les mots lui manquaient »… Le narrateur externe transmet les pensées d’Emma du début de l’extrait jusqu’à la ligne 49, c’est pourquoi le narrateur a recours au discours indirect libre. Cela lui permet de laisser un accès au lecteur aux pensées intérieures de l’héroïne

j’ai logé six balles dans la tête de mon meilleur ami et pourtant, j’espère montrer par le présent récit que je ne suis pas son meurtrier (…) Tout d’abord, on dira que je suis fou, plus fou que l’homme que j’ai tué (…) Plus tard, certains de mes lecteurs pèseront chacune de mes assertions, les rattacheront aux faits connus et se demanderont comment j’aurais pu avoir une opinion différente après m’être trouvé en présence de cette preuve abominable : le monstre sur le seuil de ma porte (…). ______