Complicité Lecteur Narrateur

description).On relève la présence de nombreux adjectifs qualificatifs qui permettent de donner des détails sur les éléments décrits. On peut repérer de nombreux termes indicateurs de lieu (devant, derrière, sur la gauche, plus bas...) qui permettent au lecteur de s'orienter dans la description. Narratif : Il raconte une histoire ou l'étape d'une histoire, c'est-à-dire qu'il présente une succession d'événements. (Roman, conte, nouvelle, biographie, livre d'histoire, fait divers) - Les verbes d'action

------------------------------------------------- Séance … : Etude de l’incipit (début du chap. I) Pierre et Jean, Guy de Maupassant, 1888 Introduction : Le début de roman doit accrocher le lecteur, retenir son attention, mais aussi présenter la situation, les personnages, le cadre spatio-temporel et annoncer une intrigue. Maupassant a choisi une ouverture dans le vif du sujet, « in medias res », dans une scène (récit en temps réel avec du dialogue qui ressemble au théâtre) : une partie de pêche

Livre VII, Fable 3 : Le rat qui s’est retiré du monde I Le plaisir de conter : 1)Un lecteur transporté dans un espace de fantaisie. L’espace est imaginaireextrêmement vague, mais il fait rêvé, les Levantinsl’Orient, suscite l’imagination. Le rêvesuscité par le mot « légende » l’imaginaireunivers de conte mis en relief par l’enjambement au début du vers 2. Un mélange d’Orient et d’Occident, « Hollande », cependant, cette allusion attire l’attention par le changement du maitre

l`extrait on voit que la parole est prise par Marie-Claire Blais, ou elle décrit minutieusement le milieu et les personnages, le premier mouvement s`enchaîne avec l`ouverture du cahier de Jean Le Maigre, le fil de l`intrigue se forme autour de la complicité entre les deux frères : « …que contemplait le Septième, penché sur son épaule… » et qui partage tout au long du roman quelque traits communs comme l`alcool, la sexualité, le vole… Cet extrait peigne une réalité social très douloureuse où traversent

commencer un apprentissage douloureux. 2) Candide tombe dans le panneau du recrutement insidieux : a. Une courtoisie de façade : • Le lecteur apprend que les recruteurs complotent sur Candide (avant ce dernier qui lui ne les entend pas). Critères: 'jeune homme bien fait, taille requise' • Paroles amplifiées, trop polies pour être honnête. Le lecteur sent que Candide va tomber dans piège - 'le prièrent, civilement, monsieur (plusieurs fois) : fausse amabilité - Champ lexical de la bienveillance

plus probante que la réalité même. On note une progression dans les différents points de vue utilisés. Le début de l'extrait appartient au récit, le narrateur, omniscient, concentre l'attention du lecteur sur le héros "Il allait maintenant, frôlant les groupes, tournant autour". Puis, en utilisant le point de vue interne, celui de Pierre, le narrateur réussit à nous faire pénétrer graduellement dans son monologue intérieur. Au début, dans la seconde phrase de l'extrait, apparaît son point de vue :

une règle). ▪ La parabole : récit allégorique d’un livre saint sous lequel se cache un enseignement. Qu’entend-on par « récit » ? Il s’agit d’un texte complexe, c’est-à-dire qui contient plusieurs éléments différents. En effet, le narrateur raconte une action (selon un certain point de vue) et celle-ci va entraîner d’autres actions déterminées. II. Distinction entre histoire et narration Pour envisager les textes narratifs, il faut distinguer histoire et narration.

Les obsèques de la lionne de Jean de Lafontaine. Lafontaine écrit en biométrie 55vers et 4 pour la morale. Octosyllabe jusqu’au vers 15 qui caractérise la situation initiale. Les alexandrins sont réservés au narrateur. 1) L’art du récit. A) Evocation solennelle. Le titre obsèques est utilisé lors de cérémonie d’enterrement donc d’emblée nous sommes dans une ambiance solennelle. V.1 « la femme du lion mourut ». v.6-7 « obsèques » annoncée solennellement en alexandrinv.6,7,8,9,,10 enjambement

trouver du lyrisme dans tous les autres genres. * Le registre pathétique Il caractérise un texte qui cherche à émouvoir le lecteur et à lui faire ressentir le sentiment de la pitié et de la compassion. On le reconnaît à l’expression de la souffrance physique ou morale, à des images violentes, à des invocations. Il joue sur la capacité d’identification du lecteur. * Le registre comique La visée est le rire. Il joue sur le décalage entre ce qui est attendu et ce qui est produit. On le

premières strophes : circonstances de la rencontre, les deux jeunes gens sont ensemble mais ne communiquent pas (présence de « Je » et de Rose)  5e strophe : présence de Rose seulement, ses tentatives de séduction mais l’absence de réaction du narrateur  Rencontre dans les bois  Changement du temps employé : interprétation  Description physique de Rose  Dernière strophe : séparation à la sortie du bois représentant l’échec I. Récit poétique 1. Scene campagnarde Le lieu : le bois (v2), on