Cas Pratique Delebecque

............. p. 15 2. Exemption du règlement communautaire du 22 décembre 1999..........................................................................................................................................................p. 15 B. Pratiques restrictives..............................................................................................................................................................................................p. 16 C. Abus de dépendance économique.....

obéissent à deux régimes juridiques différents. Le contrat d’affrètement est un contrat guidé par la volonté des parties, les règles propres à l’affrètement étant supplétives. Le contrat de transport, au contraire, n’échappe pas à son statut légal, sauf cas particuliers. En l’espèce, ce mémoire traitera principalement du connaissement comme contrat de transport maritime, sans exclure complètement la référence aux chartes-parties d’affrètement. Lorsqu’un litige apparaît suite à l’exécution d’un

agir contre les propriétaires avec lesquels elle n’avait aucun lien de droit et a dit n’y avoir lieu à référé sur la demande de la société Myr’Ho en raison, d’une part, d’une contestation sérieuse sur les obligations des propriétaires en présence du cas de force majeure tenant à l’occupation des locaux par les "squatters" et, d’autre part, de la nécessité d’interpréter les clauses du bail relatives à l’entretien d’un monte-charge qui relevait de la compétence des juges du fond. La société Myr’Ho ayant

développement des MARC répond à un nouveau besoin de régulation sociale (ou à un besoin de nouvelle régulation sociale) qui dépasse très largement le champ ordinaire de l’activité juridictionnelle. La multiplication et la diversification de ces pratiques alternatives, depuis le début des années 1970, en attestent assurément (…) »1. Les MARC2 sont donc dans l’air du temps, et c’est dans cette mouvance que la Commission GUINCHARD, chargée par le ministère de la justice de réfléchir entre autres sur

certification Nombre total d’épreuves 05 Nombre total d’épreuves de connaissance générale 03 Nombre total d’épreuves de connaissances spécifiques 00 (technologiques) Nombre total d’épreuves pratiques 01 Note éliminatoire des épreuves de connaissances < 05/20 générales Note éliminatoire des épreuves pratiques < 12/20 Note éliminatoire de l’épreuve orale < 12/20 Nom de la formation Secteur Filière Spécialité Branche d’activité de référence Nature de la formation Age d’accès Expérience professionnelle

lesquels l’une des parties, appelée distributeur, s’engage à fournir au client final un couple produit-service ou un service. Cependant compte tenu d’une assez grande variété de difficultés juridiques soulevées par les contrats de distribution pratiqués en Côte d’Ivoire, notre propos ne s’attachera qu’aux problèmes essentiellement posés par la distribution exclusive. Notre attention a été attirée par l’importance, disons la fréquence que ce contrat précédemment qualifié de « vente à monopole »

l'article 214. Plus précisément, la question est la suivante : les charges du mariage visent-elles seulement | |des dépenses de consommation (au sens de choses consomptibles) ou peuvent-elles inclure aussi des dépenses d'investissement, auquel | |cas l'association patrimoniale des époux séparés de biens pourrait alors, au gré des circonstances, s'apparenter à une mini | |participation à certains acquêts ?

selon un modèle contractuel type, que ces contrats reproduisent, comme c’est le cas des contrats de franchise ou des contrats de concession commerciale. Illustre cette formule l’organisation des réseaux de distribution automobile. Un fabricant concédant conclut 9 9 LES CONTRATS DE DISTRIBUTION LE CAS PARTICULIER DES CONTRATS CADRES DE DISTRIBUTION cette indépendance, et notamment celle

responsabilité des dirigeants sociaux. B : La responsabilité pénale des dirigeants sociaux. 1) Les infractions imputables aux dirigeants. 2) La sanction des infractions. II : La responsabilité des dirigeants sociaux en cas d’ouverture de procédures collectives. A : Conditions de la responsabilité des dirigeants sociaux. 1) L’existence d’une faute de gestion. 2) L’existence d’un dommage et d’un lien de causalité. B: Sanctions des dirigeants

soumise la société faisant l'objet de l'action demandant l'extension (18) . En cas de confusion des patrimoines, il n'est pas nécessaire de constater l'état de cessation des paiements de la personne à laquelle la procédure est étendue (19) . La conséquence de l'extension est de placer les deux sociétés dans une situation identique : la liquidation judiciaire d'une société doit ainsi être étendue à toutes les autres, même en cas de perspectives de redressement de l'une d'entre elles (20) . Mais le jugement