Cartographie Processus Bancaire

banquiers aident plus volontiers ceux qui possèdent de l’argent. Pourtant, dans le cas de résultats frauduleusement augmentés, il existe toujours une anomalie : l’absence de trésorerie. Le fraudeur tentera de la dissimuler en produisant des faux relevés bancaires, documents facilement imitables. « Un programme standard pour prévenir et détecter les fraudes en entreprise » - O. Gallet - C. Roulet/veille-rédaction Grenoble Ecobiz Jeunes Entreprises- PME-PMI – 06 octobre 2010 – Page 3 sur 13 La répartition

L’équipe de rédaction composée de :  - Nicholas Vantreese, Responsable du Développement Durable à la Banque Postale - Sophie Bayle, Responsable Développement Durable et Diversité à La Banque Postale - Stéphane Audrand, Chargé de mission Gouvernance & Processus au sein de la Délégation à la RSE, BNP Paribas - Jérôme Courcier, Responsable RSE au Crédit Agricole SA - Michel Laviale, Président du Club Finance - Patricia Lavaud, Responsable du Club Finance  L’équipe de l’ORSE et en particulier Catherine Delettang

GESTION des RISQUES de CONTREPARTIES BANCAIRES Le présent exposé s’attache aux risques de contreparties bancaires à l’exclusion des autres risques de contreparties attachés aux divers partenaires de l’entreprise (fournisseurs, compagnies d’assurances par exemple). • Définition du risque de contrepartie bancaire Le risque de contrepartie représente la perte potentielle réalisée par l’entreprise dans l’hypothèse d’une défaillance future de sa contrepartie bancaire. Ce risque regroupe deux risques

INTRODUCTION : Le middle office (appelé également « suivi de marché ») est un service créé par une institution financière ou bancaire, c’est un service qui a un rôle aussi distinct que complémentaire que ceux du back office et front office. Ce service est généralement situé en salle des marchés pour ce qui est des fonctions middle office avancé (ou ticket processing), les middle contrôle et middle résultat seront physiquement plus indépendants de la salle des marchés (et notamment pour des raisons

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS CENTRE REGIONAL DES PAYS DE LA LOIRE CENTRE D'ENSEIGNEMENT DE NANTES MEMOIRE présenté en vue d’obtenir le DIPLÔME D’INGENIEUR C.N.A.M. en INFORMATIQUE par Laurent GARNIER Stratégie de test au sein du processus d’évolution d’architecture de Sodifrance Soutenu le 16 décembre 2011 JURY Mme METAIS, professeur Cnam Paris M. BRIAND, professeur Ecole Polytechnique Nantes M. BELLEIL, tuteur Cnam, professeur Université de Nantes M. BRETON, tuteur entreprise

-------------------------------------------------------------------------- 19 PARTIE II : DEFINITION : PROCESSUS INDICATEUR ENTREPOT ET APPROCHE PROCESSUS --------------------------------------------------------------- 20 A. DEFINITION : PROCESSUS INDICATEURET ENTREPOT ------------------------- 21 1. Qu’est qu’un processus ? ------------------------------------------------------------ 21 2. Ce que n’est pas un processus ----------------------------------------------------- 23 3. Qu’est ce qu’un indicateur 

17 1-3 Responsabilité disciplinaire ……………………………………18 Troisième partie : ETUDE DE CAS………………………………………………19 Section 1 : Présentation de l’agence nationale de la conservation foncière du cadastre et de la cartographie………………………………………………………..20 Section 2 : Procédure de l’immatriculation……………………………….22 1.1 Présentation et définition………………………………………..22 1.2 Objectif……………………………………………………….…23 Section 3 : Analyse relatif à la procédure…………………………………24

développement de l’économie nationale. Avec un réseau de 215 agences, la Société Générale Marocaine de Banques opère en tant que banque de détail et banque d’investissement. La SOCIETE GENERALE Marocaine de Banques occupe une place de choix dans le paysage bancaire marocain : * 4ème banque marocaine et 1ère banque avec un actionnaire de référence international * 4ème réseau d’agences * 11% de parts de marché (total emplois 2005) Le Groupe SOCIETE GENERALE Marocaine de Banques, premier groupe financier

. . . . . . 28 Application d’un calendrier de règlement commun . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 Elargissement d’application des prélèvements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 Simplification des processus de paiement mixte. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 Meilleur choix de services de paiement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 Opportunités résultant des évolutions technologiques .

notamment en ce qui concerne la couverture géographique, la qualité de service, l'ouverture et la régulation du secteur postal. Cet état des lieux a été possible grâce notamment à la réalisation en 2015 par BAM, pour la première fois, d’une cartographie détaillée de la distribution du courrier au Maroc. 2.2. Conditions préalables au SPU non encore remplies Comme le montre l’étude sur le SPU précitée, l’instauration du SPU nécessite des préalables et des engagements mutuels de l'Etat et de