Baruch Spinoza Superstition

La maîtrise de soi est liée à la conscience de soi, mais surtout dans le sens de nécessité. Dépendance comme "indisponible à", "découlant de" et pas vraiment dans le sens négatif "néfaste et difficile à enlever". On pourra voir éventuellement comment cette dépendance peut etre inversée et si il en existe d'autres. Le terme de maîtrise de soi réfère à la capacité de gérer sa personne physiquement et émotionnellement sans se laisser influencer par des événements. La connaissance de soi serait ce long

contrainte, pourtant cette définition ne suffis pas pour définir la liberté. Je puis en effet volontairement me précipiter dans la servitude, me laisser enfermer comme un animal. Je peux parce que je suis sans réflexion m'enfermer dans un piège. Spinoza dit la chose suivante : « l'esclave agit par commandement, l'homme libre agit selon son bon plaisir. Cependant ce n'est pas absolument vrai, car être captif de son plaisir est le pire esclavage. » donc agir librement c'est agir de tel manière que

théorie qui dit que l'ensemble de nos actes, de nos comportements obéissent toujours à des raisons que l'on ne connaît pas toujours nécessairement, qui nous échappe. Trois philosophes on développés cette doctrine du déterminisme : Marx, Freud, Spinoza.

libre agirait donc selon ses propres convictions . Transition :Toutefois liberté = privilège : H en général n’est pas libre prisonniers de ses désirs : Spinoza . 2) Peut-on être étranger à soi-même ? A) Oui, à travers nos désirs . -Thèse : H sont dirigés par des pulsions qu’ils ne contrôlent pas : désirs - Argument : Spinoza : H poussés par leurs désirs . - Exemple : B) Oui, inconscience . - Thèse : Insc : se comporter comme si on ne savait pas, savoir qui

de notre liberté effective, en effet il se peux que le sentiment qu'on a d'être libre ne soit qu'une illusion produite par la conscience, par exemple quand rien de l'extérieur ne nous contraint de faire un choix, on se croit libre. Un auteur comme Spinoza affirme cette hypothèse en disant que la liberté n'est qu'une illusion produite par la conscience : il y a toujours une cause qui nous pousse à vouloir ce que l'on veux, on sait ce qu'on veux mais on ne sait pas pourquoi. Cependant, la philosophie

en particulier lui plait, ou il le désir aussi pour son utilité ou pour l’image que cet objet lui donnera face aux autres. Comme le cite Spinoza dans Lettre à Schuller « Telle est cette liberté humaine que tous se vantent de posséder et qui consiste en cela seul que les hommes sont conscients de leurs désirs et ignorants des causes qui les déterminent. » Spinoza explique que l’homme se vantent de posséder des choses que d’autres n’ont pas et qui pour eux est une satisfaction intense. Donc au final

monde ou si elle est fondée uniquement sur notre capacité d’agir ou l’exercice de notre volonté. Elle est donc différente selon chacun. Selon Rimbaud « on ne naît pas libre, on le devient ». Cette citation peut prendre une tournure philosophique avec Spinoza, selon lui, l’homme peut se libérer en agissant sur ses passions grâce à la compréhension de lui-même. La liberté serait donc une puissance qui doit être déployée. Ce serait donc avant tout changer la manière dont le monde nous affecte et « bien juger »

les maîtriser. Il semble difficile de vivre sans désirer puisque le désir est liée au plaisir. D’après Spinoza, « le désir est l'essence de l'homme ». Il définit l'homme comme une puissance de la nature, un être qui se produit et se reproduit selon un strict déterminisme, il emploie alors le terme conatus pour le déterminer. C'est ce conatus, qui chez l'homme devient le désir. Spinoza écrit dans Éthique : « Le désir qui naît de la joie est plus fort que le désir qui naît de la tristesse »

légitime Se contenter de peu, c’est aussi renoncer à ses désirs, et donc à un possible bonheur Mais finalement, se contenter de peu, n’est-ce pas faire preuve de sagesse en évitant le malheur qui accompagne le bonheur ? Le désir est considéré par Spinoza dans L’éthique comme une force vitale. Se contenter de peu de désirs revient à vivre moins intensément, et donc à moins être heureux. -Un homme qui n’a pas de rêves, de but dans la vie ne trouve pas de raison même à vivre. Espérer, rêver, c’est avancer

symbolise la création, non point achevée et parfaite, mais en voie de se réaliser, ce qui nous permet de penser à un futur monde meilleur. En additionnant les chiffres 1 et 7, on obtient à nouveau le chiffre 8 : la JUSTICE. La Paix a écrit Spinoza « n’est pas l’absence de guerre, c’est une vertu qui naît de la force de l’âme ». Le 23 septembre 2003 à Astana au Kazakhstan, le cardinal Jozef Tomko prononçait le discours suivant : « C’est dans la Constitution Pastorale Joie et Espérance sur