Baruch Spinoza Superstition

Celui-ci crée une oeuvre qui est une représentation de la vérité mais sous une forme sensible et l’oeuvre permet aussi à l’être humain d’accéder à la conscience de soi. Le beau artistique ne peut être ressenti que par la vue et l’ouïe. Le bon selon Spinoza, existe pour toute personne humaine raisonnable dans ce qu’il approuve et estime, et à quoi il accorde une valeur objective. Donc le moralement bon est l’action qui se cache derrière l’oeuvre qui doit être morale c’est à dire respecter un certain

lesquels il est plus délicat de rire. L’humour ne doit pas se transformer en injures blessantes et humiliantes. Dans son Ethique Spinoza disait « Entre la moquerie et le rire, je fais une grande différence. Car le rire, comme aussi la plaisanterie est une pure joie ; et par conséquent, pourvu qu’il ne soit pas excessif, il est bon par lui-même » Le philosophe Spinoza fixe une première limite au rire, celle d’outrepasser la dignité de la personne et de se complaire dans la bassesse et la bêtise.

croyance et la raison ne sont pas opposées, alors peuvent-elles coexister ? La possibilité d'une coexistence de la raison et de la croyance La raison exige de réfuter toute dérive de ces croyances, comme le fanatisme, le sectarisme ou les superstitions. Ces déviations et excès dans la croyance sont des obstacles à la science et donc au progrès, et plus fondamentalement à la vie sage et raisonnable, mise en lumière par la philosophie épicurienne, qui a pour but de démystifier le monde pour accéder

de désir, elle est en position, bien supérieure, d'objet de désir. » Jean Baudrillard « Nous ne désirons aucune chose parce que nous la trouvons bonne mais, au contraire, nous jugeons qu'une chose est bonne parce que nous la désirons. » Baruch Spinoza « On n'échappe au désir que pour être repris par le désir. » Jacques Brault « La vie, ce n'est pas la prise, c'est le désir. » Henry de Montherlant « Le désir est désir de l'Autre. » Jacques Lacan « Tout se réduit en somme au

il ne peut s’empêcher de désirer ou d’avoir des envies. Il est au service de la Nature, lui obéit, doit s’y adapter pour parfois subir ce qu’elle peut lui apporter : L’homme est soumis à ses désirs, ses envies et ses passions. Dans l’Éthique de Spinoza, il définit le désir comme « l’essence même de l’homme ». Pour lui, le désir repose sur le « conatus », qui vient étymologiquement de « l’effort ». Cet effort est celui que l’homme peut apporter pour réaliser ces désirs et ainsi le rendre plus fort

biographie Gottfried Wilhem Leibniz est né en 1646. Il étudie la philosophie ancienne, les mathématiques et le droit. Il fréquente Arnauld et étudie les travaux scientifiques de Pascal. Il rencontre également les membres de la Royal Society à Londres et Spinoza en Hollande. Ses activités sont très diverses, scientifiques, philosophiques et diplomatiques. En 1676, Leibniz invente indépendamment de Newton le calcul différentiel. La querelle avec les newtoniens sur la priorité de cette découverte assombrira

LE DESIR Le désir vise toujours un objet. Il suggère toujours un manque car on ne peut pas atteindre l’objet dans l’immédiat ou dans l’absolu. Est-ce qu’on désire une chose parce qu’elle a des qualités ? Pour Spinoza : «  Ce n’est pas parce qu’une chose est bonne qu’on la désire, c’est parce qu’on la désire qu’elle nous paraît bonne. » I) Faut-il céder à nos désirs ? A) Le désir est le désir du Bonheur Pour Epicure, il y a entre tous les désirs 2 catégories : les désirs naturels qui viennent

elle a soulevé bien des débats, les avis divergent, les arguments aussi : 2- Exposition de la thèse , antithèse synthèse : Spinoza : Pense que le destin est une force naturelle et divine, c'est la cause de tout ce qui existe, le detin est inéluctable car résultant d'une force supérieure aux hommes. Le destin = fatalisme. Jean Pierre Vernnt : Réfute la thèse de Spinoza : voici un extrait de sa thèse inspire toi de ça : « C'est parce que la vie n'a aucun sens préexistant que nous pouvons, nous

souligne Bergson, cette contingence ne peut être qu’apparente: il se peut donc que le libre arbitre soit une illusion, cela n’empêchera pas que nous nous sentions libres et pensions libres (on peut ici penser à l’illusion du libre-arbitre critiquée par Spinoza, même si la liberté peut être comme compréhension et acceptation de la nécessité – d’ailleurs c’est plutôt en ce sens que Bergson pense la liberté comme opposé à l’hétéronomie et comme coïncidence avec ce que nous sommes) c) Le remord et le regret

condamner absolument le désir. Il relève de la condition humaine et semble être notre dignité par rapport à l'animal. 3) Le désir comme moteur de vie et comme créateur de valeurs On peut même définir l'homme par le désir. C'est ce que fait Spinoza. Pour Spinoza, l'homme est animé par ce qu'il appelle le conatus, défini comme le « désir de persévérer dans son être ». Celui-ci ne caractérise du reste pas seulement l'homme mais la Nature toute entière (c'est-à-dire Dieu). La Nature (dont nous sommes