Baruch Spinoza Superstition

contrainte du « surmoi ». La conscience morale fonctionne indépendamment de notre volonté.  Trop de répression entraîne la névrose, mais l’insuffisance de répression engendre la perversion. 2) inconscient liberté et responsabilité. Freud rejoint Spinoza pour qui l’illusion de la liberté consiste en ce que les hommes ont conscience de leurs désirs mais ignorent les causes qui les déterminent. Freud « le moi doit déloger le ça. »

vivants, alors rectitude=déploiement normal de force, opposée à monstruosité; mais alors ce droit est inscrit dans le déterminisme de loi bio, et n'en est ps un. Une norme ne sert ici à rien puisqu'on le fera comme ça, ou bien on le fera pas. (cf. Spinoza, TTP, 16). Rousseau dit que ce serait là confondre le droit et le fait, le droit et le droit du plus fort, qui ne peut faire norme (car droit au contraire met ordre dans désordre, limite les forces nat) et est une absurdité. Cf.CS I, 3

une énergie vitale qui nous met en appétit nous donnant envie de lutter, de nous affirmer, de prendre possession du monde. -> comme quoi le désir n'est pas seulement la cause du malheur. Voilà pourquoi SPINOZA (pays bas 17°) voit dans le désir "l'essence mm' de l'H" (L'éthique) -> Spinoza ne dit pas que le désir est l'essence mm' de tout être vivant mais de l'H. en effet, à quel détail près l'animal ne connait pas le désir, il ne connait que le besoin, il est aussi règlé, dirigé par l'instinct

car elle établit les critères d'une action responsable pour soi, autrui et la société. On ne suit pas l'étique comme on pourrait suivre la morale, comme une tradition : elle est partie prenante de la construction de soie. Pour définir ce processus Spinoza dit que l'étique est la manière par laquelle un individu peut augmenter d'être, d'agir et de penser. En revanche chez Levinas, éthique et morale se confondent en une philosophie première par laquelle sa conception du sujet et du rapport au monde

causes inconscientes de notre conduite. Selon Freud, le sens de conduites, apparemment dépourvus de sens (rêves, lapsus, actes manqués…), s’éclaire à l’idée d’une action de l’inconscient. L’inconscient désigne alors non seulement l’ensemble de ce que Spinoza appelait nos appétits, mais l’ensemble de nos pulsions et désirs qui s’enracinent dans notre sexualité- ainsi que dans notre désir caché de mort-, en tant qu’ils sont écartés de la conscience et demeurent refoulés. La tension entre ces désirs et la

de scolies de l’Ethique, a une dimension polémique – est de dénoncer l’idée de substance créée et plus généralement la confusion d’une certaine attitude naturelle de l’esprit devant le monde (caractéristique de « l’imagination » telle que l’entend Spinoza) : ce qui est « créé » ne peut être tenu pour substance, et aucune substance ne peut être ni être conçue comme créée. Etre créé ou produit = n’être pas cause de soi, tenir son existence d’autre chose que de son essence, être conditionné. Je ne

par la prudence et le calcul rationnel des plaisirs (Epicurisme) 2. Produite par une acception de la nécessité et négation de ses désirs (Stoïcisme) B. Soit il est affirmation de la JOIE (définition par l’affirmative et la création). Bergson, Spinoza C. Soit il est une activité accompagnée de plaisir. Il est harmonie du soi et de la nature. Aristote B. Rapport de soi à l’absolu « Quand on a Dieu, on est heureux » (St Augustin). 1. Soit c’est sentir sa présence et le sens qui

L'amour : Introduction : Tout d'abord, nous savons que l'amour est un sentiment d'affection et d'attachement envers un être. L'amour renvois la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. Chez Spinoza, «L'amour n'est autre chose que la joie, accompagné de l'idée d'une cause extérieure.» Cette définition frappe par sa simplicité, comparée à la complexité de l'amour, qui mêle jouissance et souffrance, puis plénitude et manque. Schopenhauer lui, avance que l'amour

affaire de philosophie » et s’adresse à tous. Ensuite, en une quarantaine de courts chapitres divisés en cinq parties, l’auteur nous présente sa vision du bonheur, tout en s’appropriant nombre d’auteurs de tous temps. Que ce soit Proust, Rousseau, Spinoza, Kant, Nietzsche ou Platon, Vergely présente et approfondit les citations des grands auteurs dans une argumentation forte et bien bâtie. Il traite d’abord des corrélations entre bonheur, morale et politique; il explore le rôle du désir relié au plaisir

violence aveugle mais elle retourne cette violence en droit en s’en servant. d) La régulation des institutions. Ce que veut montrer Pascal = Plutôt que de vouloir freiner les désirs, plutôt les orienter rationnellement le désir, sa force ? Cf. : Spinoza, Traité politique, III, 7 : « La cité fondée sur la raison et dirigée par elle est celle qui est la plus puissante et relève le plus d’elle-même. » Pas se fier à la rationalité d’un seul (le prince, le roi qui d’ailleurs est le plus soumis aux