Cour de philo
La liberté est sans doute la plus haute des philosophies. Certains vont même jusqu'à sacrifier leur vie ( résistants) pour la liberté. D'autant plus que faire de la philosophie ou une psychanalyse c'est essayer de devenir un tout petit peu libre, en tout cas indépendants des autres, c'est essayer de vivre avec moins de dépendance addictive. Sans doute, le toxicomane est l'homme le moins libre. L'homme désir à la fois la liberté et à la fois la redoute, préférant resté esclave ou dépendant de quelque chose plutôt que de vivre en homme libre.
Ex : En confond souvent l'amour et la dépendance, et parfois l'homme croit aimer mais a bien y réfléchir il ne fait que construire une dépendance ( cas de la passion).
Donc on est sur un paradoxe : à la fois on veut être libre et à la fois on ne le désir pas, parce que si on devenait libre, on serait tenu pour responsable de nos actes, de nos choix. C'est souvent difficile à assumer.
Le choix et la décision
Sartre dit la chose suivante : « L'homme est condamné à être libre ». Camus, lui dit que « le seul problème philosophique vraiment sérieux, c'est le suicide ».
Les deux penseurs mettent donc au cœur de leur philosophie la question de la liberté. Ce problème on le trouve dans le question du choix, car la liberté s'exerce en premier lieu dans la capacité de choisir et éventuellement de choisir la mort sur la vie. Ce choix c'est ce qu'on appel le libre arbitre. Tous nos choix sont respectables, mais les conséquences d'un choix peut être jugé. Pourtant le choix par lui même ne peut pas véritablement être jugé. La liberté est un dilemme. Quand on choisie ou décide pour quelque chose et on renonce évidemment à une autre. Le choix est toujours douloureux : c'est le moment à la fois de renoncement pour à priori gagner autre chose. La deuxième difficulté du choix c'est de ne jamais prévoir toutes les conséquences que peut avoir nos choix. Choisir c'est donc toujours un risque, et ce n'est souvent