évocation Du Souvenirs

est « Assise auprès du feu, dévidant et filant » et « chantant [ses] vers ». Les participes présents amènent la lenteur du rythme du vers, et donc la lenteur des gestes de cette femme…Cependant, Ronsard ne peut s’empêcher de rappeler la mort au bon souvenir du lecteur : « Sous le labeur à demi-sommeillant », dit-il au vers 6. Prétend-t-il que c’est ce travail monotone qui la fatigue et la mène vers la mort ? Le nouveau participe présent, « sommeillant », s’il renouvelle cette idée de lenteur, confère

malheur antérieur à la rencontre qui est exprimé dans la double évocation d’éléments obscurs « la nuit du tombeau » et « mon cœur désolé ».] L’appel exprimé par un impératif au v.6 « rends-moi » s’adresse peut-être à une mère consolatrice qui est dans la tombe et qui pourrait le consoler une seconde fois. On peut imaginer aussi une femme providentielle qu’aurait rencontrée Nerval. Mais sans doute faut-il comprendre dans cette évocation féminine la référence à une femme mythique, à un idéal abstrait

autobiographique comme La naissance du jour ou Sido. Elle était une auteure reconnue et a été la deuxième femme à être élue membre de l’Académie Goncourt, dont elle devient la présidente.En 1908, alors qu’elle n’est pas encore connue, elle publie un recueil de souvenirs d’enfance intitulé" Les vrilles de la vigne ", qui datent de l’âge adulte de l’autrice, née en 1873 et morte en 1954.Partie texte:Ce texte, issu des vrilles de la vigne, date de l’époque à laquelle Colette n’était pas connue. En effet, l’autrice

impression de lenteur. Evocation du vent et de l’eau qui entraînent tout, montrant le cours de la vie. => Fuite du temps. -> Idée de permanence Place du souvenir : « Figé en arrière » => il y a des traces malgré l’éloignement Ambiguïté avec « ruines » (tout est détruit, a disparu) cachées, parées par le « mai » mais les souvenirs sont toujours là. Résistance des osiers : « secoue sur le bord les osiers » => les plantes plient mais ne cassent pas, comme le souvenir qui reste éternel. Impuissance

mur de casiers, des centaines de boites à biscuits piquetées de rouille et numérotées qu'ils doivent contourner. Que contiennent les boîtes ? On ne le saura pas... Notre imagination est, dés le début, sollicitée. Référence au passé Archives de souvenirs Urnes funéraires anonymes La multitude évoque les morts anonymes de la 2nde GM. Le titre de l'installation est « Personnes ». Les personnes ont été remplacées par une succession de chiffres sans signification. Déjà le rapprochement avec l'Holocauste

l'exclamation du vers 8 dans lequel on retrouve l'allitération en "q". c. Une évocation nostalgique. Cette évocation des deux premiers quatrains porte cependant en elle la marque d'une tristesse et d'un regret: dès le premier vers, l'alliance des deux adjectifs contradictoires exprime un sentiment complexe; "amer et doux" traduit le plaisir mêlé de douleur; impression reprise au vers 3 par "les souvenirs lointains": évocation de la réminiscence de moments perdus. Le choix de l'hiver et de la brume est

de la structure On observe deux parties inégales :  les cinq premiers vers : présentation symbolique du moment de l'exécution, et le « ciel » (vers 1).  le reste du poème, le développement d'une évocation en trois parties :  Individuelle : « l'un … un autre » (vers 8 et 10) + le souvenir, introduit à l'imparfait.  L'évocation des bourreaux : « ces hommes » (vers 13), « ceux » (vers 17) et « n'entendent pas » (vers 18).  Une réflexion sur le martyre. B – Les otages Récurrence

vivants et celui des morts. Analyse : Premier mouvement (Strophe 1&2) : Un paysage crépusculaire qui s’éveille· V1. Mise en place du paysage : insistance sur la dimension mystérieuse avec la diérèse : Mys/té/ri/eux.· V2 : rejet sur « frissonne (évocation du froid, de la mort), puis mis en place d’une profondeur et un mouvement qui n’est dévoilé qu’au vers suivant.· V3 : mise en place d’une première opposition (« les branches sont noires » qui s’opposent aux « blanches moires » du V1).· Vers 4 : interrogation

L’expression des sentiments : Le souvenir Conserver ou perdre le souvenir ➢ Garder en mémoire : garde, se souvient, présent, gravé, se rappelle, éléphant, conserve - Antoine .. ……………… de tout, il … ………………………. bien la scène. - Il en ……………….. , il en …………………………. le souvenir. - Un souvenir …………………. dans son esprit, net, parfait, clair, distinct, précis, ………………………. dans sa mémoire. - Avoir une mémoire d’ ………………………., infaillible, fidèle, précise. ➢ Vouloir garder

Tout ce qui n'est pas oublié n'est pas nécessairement l'objet d'un souvenir. Je peux avoir gardé en mémoire la définition du triangle sans que celle-ci ne constitue un souvenir, car la définition du triangle n'est pas une réalité temporelle, susceptible d'être passée, présente où future . Le souvenir comprend en fait plusieurs moments. Il faut qu'il y ait eu une expérience passée, par exemple prendre le thé avec sa tante,ou boire un café en riant avec une bonne amie. Il faut ensuite que nous gardions