évocation Du Souvenirs

I- Coté sensuel du poème centré sur le perso féminin A- évocation sensuelle + troublante du corps féminin (Jeanne Duval) partie du corps : le sein → séduction/érotisme/sexualité. S'y nicher. Odeur mystique cohabitation femme/mère attitude trompeuse II- Promesse d'une île paradisiaque IntroCe poème évoque voyage olfactif inspiré par le corps d’une femme (Jeanne Duval > Muse) et met en évidence le pouvoir magique de son parfum, lui permet de créer un paysage paradisiaque et exotique. Se

sensations et des sentiments - Vocabulaire des sensations "caresses" (vers 3) : le toucher "parfum" (vers 14): l'odorat "yeux" (vers 17) : la vue - Champs lexicaux de l'amour - hyperboles (vers 1 : " Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses") 3) L'accord avec l'univers - "balcon" : lieu intérieur / extérieur --> lien sentiment / sensations ? "soleils" (vers 11, 15, 28) : vision cosmique. Assonance en "au" "mers" : idée d'un monde vaste --> à l'époque

P. ELUARD - Premièrement - Lecture cursive des poèmes XIII à XVII Souvenir des premières amours de Gala et Eluard, alors que le couple connaît quelques tensions (Gala/Dali ? et Eluard/ Nusch ? + voyage mystérieux d’Eluard pendant 7 mois autour du monde, après la liaison de Gala avec Max ERNST entre 1922 et 24) Réseaux lexicaux de la sensualité – synesthésie (mélange de tous les sens, mais surtout le toucher et la vue), – célébration du corps féminin par les métonymies (variante moderne du blason)

puisque c’est un « air » de musique qui éveille l’évocation décrite dans le poème et que Nerval met ici en œuvre une écriture poétique extrêmement musicale. Il faut d’ailleurs remarquer que, dans l’ensemble de l’œuvre de Nerval, la musique et le souvenir sont étroitement liés : ce sont souvent des airs anciens qui éveillent les rêveries nostalgiques (penser par exemple à la chanson ancienne entonnée par Adrienne dans Sylvie). Ce double sens du mot « fantaisie » offre des clés de lecture pour

l’idéal, et les périodes de désespoir et de stérilité créatrice. […] Ce poème illustre les diverses formes du malaise de vivre. Dans ce poème, écrit à la première personne, Charles Baudelaire fait un bilan désespérant de son existence.
 J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans, De vers, de billets doux, de procès, de romances, Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances, Cache moins de secrets que mon triste cerveau. C’est une pyramide, un immense

personne du pluriel "nos bras", "restons" -> s'adresse ) Marie elle-même comme si elle était là ou monologue intérieur qui fait ressortir un amour perdu - "venait" -> passé, associé à des sentiments (joie, peine) - évocation mélancolique de la fuite du temps B) Evocation de la fuite du temps - passé évoqué "je me souviens" - champ lexical du temps -> rassemble les moments "jour", "nuit", "heure" qui reviennent avec le refrain - verbes "écoulement" : "vienne", "s'en aller" qui caractérise

autobiographique épanche sa souffrance et projette le souvenir de son amante. Plan : I) Une élégie qui exprime le souvenir nostalgique de l’amour a)L’évocation d’un souvenir amoureux dans le cadre de la nature qui a vue naître cet amour Le poème rapporte la souvenir d’une promenade. Temps du passé. Nature omniprésente, manifié. Il se dégage une harmonie, une beauté (vers 6.16.9). Espace de contemplation. Epithètes valorisantes « belle nature » (v.51). Evocation d’une femme aimée. Champs lexical de l’amour

LES REECRITURES Un emisphere dans une chevelure Introduction Caractère Prosaïques / un poème en prose • Schéma circulaire, construction syntaxique:       Impératif + verbes + adverbes + lexique de la chevelure       Evocation de souvenirs, structure qui se clôt sur elle-même • Point de départ : la chevelure, métonymie de la femme • Musicalité, effet rythmique : répétition de verbes, rythme ternaire • émotion : échos sonores: Allitération en :  - « m » > douceur     - « f » > mélanges 

La Chevelure O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour! nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre

La princesse de ClèvesCommentaire linéaire n° 3 (IV, 754-779) Introduction 1. L’œuvre (celle dont le texte à étudier est extrait) · Présentation générale (intrigue)· Présentation de l’extrait : · Situation dans l’ensemble du récit  : Dernière partie du roman, après la mort de M. de Clèves. Après plusieurs mois de « violente affliction » (641), sans avoir revu M. de Nemours, Mme de Clèves est