évocation Du Souvenirs

strophe : Introduction générale du thème de la fuite du temps lié au thème de l'amour. 2. Deuxième strophe : Particularisation du thème, évocation de la beauté actuelle de la jeune fille dans la perspective de la fuite du temps. 3. Troisième strophe : 3 mouvements successifs. - Vers 27 à 30 : La fuite du temps, de la Jeunesse et de la beauté. - Vers 31 à 38 : Evocation imaginaire de l'avenir déplaisant mais inévitable ; la description caricaturale de la vieillesse s'oppose à celle, idéalisée, de la

Lecture analytique 1 : « je porte » jusqu’à « dans la ville » Problématique : Quelle traitement du souvenir ce texte propose t-il ? I. Portrait de la jeune fille 1) Un portrait original - il est centré sur les vêtements : robe, chapeau, chaussure.. -il n’est pas complet : elle ne décrit que ça tenue - s’y mêle objectivité et subjectivité : Objectivité L.1 « je porte une robe de soie naturelle » ou L.4 « elle de ce bistre que prend la soie naturelle à l’usage » ; Subjectivité fait apparaitre

personne du pluriel "nos bras", "restons" -> s'adresse ) Marie elle-même comme si elle était là ou monologue intérieur qui fait ressortir un amour perdu - "venait" -> passé, associé à des sentiments (joie, peine) - évocation mélancolique de la fuite du temps B) Evocation de la fuite du temps - passé évoqué "je me souviens" - champ lexical du temps -> rassemble les moments "jour", "nuit", "heure" qui reviennent avec le refrain - verbes "écoulement" : "vienne", "s'en aller" qui caractérise

associée à l'odeur des pommes est l'automne. b) L'automne est évoqué : « l'automne de l'école » , de même que le mois d'octobre : « octobre, terre battue » . 3.  a) Le temps dominant est le présent de l'indicatif. b) L'emploi du présent rend les souvenirs, les sensations présents, actuels et vivants. Le narrateur revit son passé grâce aux sensations présentes. 4. Le narrateur mobilise l'odorat : « odeur », terme repris six fois dans l'extrait, « parfum » , « ça sent »  ; la vue : « les pommes sont

La Chevelure de Baudelaire XXIII - La Chevelure O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure Des souvenirs dormant dans cette chevelure, Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! La langoureuse Asie et la brûlante Afrique, Tout un monde lointain, absent, presque défunt, Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique! Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour! nage sur

Baudelaire : numéro XXIII, « La chevelure ». La Chevelure A Ô toison, moutonnant jusque sur l'encolure!
A → rimes plates Ô boucles! Ô parfum chargé de nonchaloir!
B Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve obscure
A → rimes embrassées Des souvenirs dormant dans cette chevelure,
A Je la veux agiter dans l'air comme un mouchoir! B La langoureuse Asie et la brûlante Afrique,
C Tout un monde lointain, absent, presque défunt,
D Vit dans tes profondeurs, forêt aromatique!
C Comme d'autres

ce moment si particulier du jour à son réveil, qu'il affectionnait, ce moment d'espoir, de projets, il en a honte désormais, il plie la tête en signe de défaite. 2 l'expérience passée d'un dieu-oiseau  Notre poète va puiser désormais dans ses souvenirs pour chercher les raisons de son déclin, des oppositions qu'il introduit par l'adverbe "Pourtant". Il se rappelle avoir vu "les plus beaux yeux du monde", on pense à ceux de sa compagne Gala, mais cela n'explique pas le titre "leurs yeux toujours

romantisme et symbolisme ; on peut dire « post-romantique ».« Harmonie du soir » : 48e poème des FDM, dans « spleen et idéal »Entre « aube spirituelle » et « le flacon » : un passage du recueil où Baudelaire explore les moments qui font émerger un souvenir, une émotion (aube, crépuscule). Il s’intéresse à ce « glissement

Evocation sensuelle. 2) Une tonalité très ironique • Ton un peu précieux en décalage avec cette réalité macabre et atroce. Ou alors vocabulaire décalé : « comme afin de la cuire à point », terme trivial et de cuisine, associe presque la charogne à un plat

PHILEMON et BAUCIS Plan : 1er partie : Présentation des personnages et de leur histoire 2ème partie : Évocation artistique/Évocation littéraire 1er partie : Présentation des personnages et de leur histoire Dans une région montagneuse de la Phrygie, il y avait jadis deux arbres que les paysans montraient du doigt, de près ou de loin, et pour cause, car l'un était un chêne, l'autre un tilleul mais ils n'avaient qu'un seul tronc. L'histoire