évocation Du Souvenirs

Un souvenir est quelque chose dont on se remémore, un élèment de mémoire. « La vieille armoire en chêne se souvient-elle du temps où elle avait des feuilles ? » Paul Valéry Pour René Descartes, la description des mécanismes psychologiques permet de définir certaines de nos facultés. Ainsi le souvenir des choses matérielles est-il la conservation de certaines traces de mouvements provoqués dans notre cerveau. De même, l'imagination ne s'explique que par des mouvements corporels joints à une certaine

ce moment si particulier du jour à son réveil, qu'il affectionnait, ce moment d'espoir, de projets, il en a honte désormais, il plie la tête en signe de défaite. 2 l'expérience passée d'un dieu-oiseau Notre poète va puiser désormais dans ses souvenirs pour chercher les raisons de son déclin, des oppositions qu'il introduit par l'adverbe "Pourtant". Il se rappelle avoir vu "les plus beaux yeux du monde", on pense à ceux de sa compagne Gala, mais cela n'explique pas le titre "leurs yeux toujours

spatio-temporel : « ile de St-Pierre …Suisse » (l.2-3) ; champ lexical du temps « après-midi, soir, soirée » (l.10-16-27) * Progression temporelle, évocation de différents moments de la journée. Parallélisme « quand le lac...quand le soir » (l.10-16-27) – effet anaphorique pr l.10-16 + effet poétique – rythme régulier- vie paisible 2) Evocation d’un lieu idéal : l’ile et le lac * Lexiques mélioratifs+superlatifs =hyperboles « superbes, ravissant, riches » l.12-14 * + lexiques de l’exception

Verlaine vers la manière impressioniste. Par son oeuvre le poète exprime sa melancolie de la nostalgie d`un souvenir d`amour . Le paysage du 1er quatrain est présenté comme un tableau impressionniste .Les éléments de description d’automne sont rares et imprécis et les couleurs sont atténuées : « rayon », « bois jaunissant ». Le portrait de la jeune fille est limité à une simple évocation : « cheveux », « regard émouvant », « main blanche ». Cependant Verlaine décrit sa voix gràce à une accumulation

servante, morte au moment de l’écriture. Ce poème est composé de vingt-deux alexandrins en rimes plates, séparés en deux ensembles d’inégale longueur. L’évocation semble ainsi suivre le fil du souvenir, sans schéma préconstruit. Baudelaire s’abandonne au libre cheminement de sa pensée, qui mêle la précision d’un souvenir intime et la réflexion sur la mort et la nature humaine. Nous nous demanderons donc comment le poète réussit à évoquer une figure centrale de son enfance sans pour autant « prostituer les

1ère personne du pluriel "nos bras", "restons" -> s'adresse ) Marie elle-même comme si elle était là ou monologue intérieur qui fait ressortir un amour perdu - "venait" -> passé, associé à des sentiments (joie, peine) - évocation mélancolique de la fuite du temps B) Evocation de la fuite du temps - passé évoqué "je me souviens" - champ lexical du temps -> rassemble les moments "jour", "nuit", "heure" qui reviennent avec le refrain - verbes "écoulement" : "vienne", "s'en aller" qui caractérise

Achille, Agamemnon. Nous verrons l’importance notamment l’importance de la mort comme évocation de la dimension héroïque. Nous pourrions alors nous demander pourquoi peut-on dire la mort est extrêmes importante ? Nous voyons ainsi apparaitre deux axes de lectures : Tout d’abord la mort comme évocation à la dimension héroïque puis le deuxièmes axes la mort triste et donc sans les honneurs. I/ La mort comme évocation à la dimension héroïque : Dans le début de ce dernier champ de l’odyssée on voit

vagabondage * Sans domicile : évocation de la Grande Ourse (v.7), imprécision des compléments de lieux (v.9) * La pauvreté : état de ses vêtements (« crevées »v.1, « unique culotte »v.5, « large trou »v.5, «mes souliers blessés »v.14) →Malgré l’abandon de certains biens matériels, le poète semble véritablement heureux. En dépit des apparences, un personnage heureux * Le titre ma bohème : le possessif implique un choix de vie * L’évocation d’un bon souvenir : utilisation de l’imparfait

Souvenir de la nuit du quatre L'enfant avait reçu deux balles dans la tête. Le logis était propre, humble, paisible, honnête; On voyait un rameau bénit sur un portrait. Une vieille grand-mère était là qui pleurait. Nous le déshabillions en silence. Sa bouche, Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son œil farouche ; Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mûre

région.Présentation du texte :   Problématique : Annonce des mouvements : · Mouvement 1 (strophes 1 à 2) : évocation d’une enfance douloureuse · Mouvement 2 (strophes 3 à 5) : le regard nouveau du poète Annonce des axes :· Axe 1 : La souffrance de l’enfance· Axe 2 : Le retour aux racinesExplication linéaire :Premier mouvement :(Strophe 1) :  · Evocation du passé douloureux à travers l’allégorie de l’enfance· Captivité représentée par une succession de compléments circonstanciels