éloge De La Sincérité

point de vue, et leur constat et leur pensée. C'est ce pour quoi à opter Jean DLB dans Caractères de l'homme,1688, il y dénonce froidement l’égoïsme et l'égocentrisme des la première ligne ' Gnathon ne vit que pour soi. ' et fait également l'ironique éloge d'un homme très mal élevé, sans bonnes manières. On y voit tout le contraire de l’honnête homme du grand siècle. Victor Hugo avec Choses Vues dénonce l’indifférence pathétique de la bourgeoise de l'époque pour les pauvres, utilise le carnet de notes

lyrisme avec la description de son amour pour les femmes comme dans le poème «  Le Flambeau vivant » où Baudelaire dresse un tableau de la femme ou encore dans «  Que diras-tu ce soir  » qui est une éloge des qualités féminines. Enfin, le poète délivre ses thèmes poétiques à travers des formes classiques telles que des sonnets en Alexandrins qui est la forme la plus utilisée dans son recueil comme dans « Les deux bonnes sœurs » ou encore « alchimie

Voltaire, les deux géants vont nous faire réfléchir sur la notion de relativité. Alexandre Jollien avec « Eloge de la Faiblesse » va inviter le lecteur à avoir un autre regard sur le handicap, à forcer le lecteur de regarder plus loin. . Grace aussi à des pièces de théâtres comme dans « le Misanthrope » de Moliere qui oppose Alceste et Philinte qui débâtent sur la question de la sincérité, ce qui va inviter le lecteur à y réfléchir ou avec « L’ile des esclaves » de Marivaux mêle par exemple à la

montrent-ils pas que Rousseau est insensible et égoïste ? Rousseau niera d’abord les accusations puis avouera, à travers Les Confessions. Il ne va pas seulement avouer les péchés dont il est accusé mais dévoiler son âme afin de montrer son bon naturel, sa sincérité, son honnêteté et va tenter tout au long de son œuvre de se défendre. De fait, ce passage est une sorte de plaidoyer puisque Rousseau se place en accusé, en suspect et se défend, usant du registre judiciaire. Il utilise la prétérition*, ce qui

dans la logique du roman d'analyse, elle s'efforce de remonter aux origines de la perfection morale de son héroïne en insistant sur l'éducation que lui a transmise sa mère afin de la préparer à la vie mondaine. II. Une éducation irréprochable A) Eloge de Mme de Chartres chargée de l'éducation de sa fille Tout d'abord le narrateur fait l’éloge de Mme de Chartres qui s'est chargée de l'éducation de sa fille et lui a transmis ses valeurs. Elle est présentée comme une femme méritante car elle était

pour exprimer la franchise. En résumant brièvement : Alceste, le pur défenseur de la sincérité ; Philinte, le défenseur de la franchise mais ne fait rien pour la changer ; Célimène, l’hypocrite pour se faire bien voir auprès de tout le monde ; Oronte, le faux défenseur de la franchise ; Arsinoé, la prôneuse de l’hypocrisie : Dès la première scène de la pièce, on voit qu’Alceste est un défenseur de la sincérité et est contre cette société du XVIIème siècle où l’hypocrisie, la lâcheté et le mensonge

héroïne en insistant sur l'éducation que lui a transmise sa mère afin de la préparer à la vie mondaine et de lui enseigner les valeurs de l'« honnête femme ». II. Une éducation irréprochable 1. Eloge de Mme de Chartres chargée de l'éducation de sa fille Tout d'abord Mme de la Fayette fait un éloge de Mme de Chartres qui s'est chargée de l'éducation de sa fille et lui a transmis ses valeurs. Elle est présentée comme une femme méritante car elle était seule à élever sa fille après le mort de son

à l'époque comme raciste et esclavagiste. En 1777, dans son commentaire sur l'esprit des lois, Voltaire loue bien en lui sa dénonciation de tous les esclavages dont l'esclavage négrier. Dans un concours présenté à Bordeaux en 1785 sur le meilleur éloge de Montesquieu, Marat admirateur de Montesquieu, souligna en lui l'efficacité dénonciatrice de sa méthode ironique. En 1791 et 1792, le fondateur de l'Ami du Peuple prendra parti contre l'esclavage des Noirs. Condorcet, célèbre anti-esclavagiste, dans

les masques, comme l'enfant du conte d'Andersen, qui seul dit la nudité du Roi. C'est bien, d'ailleurs, ce que Calliclès disait à Socrate : "Tu fais l'enfant..." Nous ferons donc l'éloge de la sincérité et dirons la laideur du mensonge... Mais il nous faudra également dire les dangers de l'excessive sincérité, d'une exhibition impudique de la vérité. Nous terminerons enfin par une analyse de la fiction, c'est-à-dire des rapports entre le songe et le mensonge. * * * Il ne faut pas mentir. Voilà

« cultiver son esprit et sa beauté » sans rien lui apprendre des réalités du cœur ou plus prosaïquement des « malheurs domestiques ». - Aussi veut-elle la mettre en garde de manière très didactique, par un discours narrativisé, contre « le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité », ce qui est dire trois fois la même chose ! On sait d’ailleurs, par une lettre adressée à Ménage, que, selon Madame de Lafayette, «  l’amour est un sentiment très incommode » ! - Pour prévenir tous