éloge De La Sincérité

Lettres Portugaises (1669) Guilleragues Quand paraissent en 1669 les Lettres portugaises, personne ne doute de leur authenticité, tant leur sincérité est convaincante. Ces cinq lettres sont adressées par une religieuse portugaise à un officier français qui l’a séduite et abandonnée. On sait aujourd’hui qu’elles étaient l’œuvre d’un écrivain par ailleurs peu connu, Guilleragues, inspiré sans doute par de véritables correspondances. L’œuvre se présente comme un roman épistolaire à une seule voix,

-Rythme binaire = équilibre -Lexique mélioratif (superlatifs) -énumération -effet produit sur le narrateur : émerveillent traduit par des adverbes (« admirablement ») qui sert de commentaire. - adverbes finaux « vraiment », « visiblement » = éloge III.1) - groupe et le bien général l’emportent sur l’intérêt individuel (l.19 « il n’est rien là…») -émulat° source de plaisir (l.22 « leur zèle est stimulé par le plaisir qu’ils en retirent ») 2) -association des valeurs médiévales et de la

20) destinée à rassurer Roxane. Atténuation ® tournures négatives (vers 3 et 5) ® tournures interrogatives (vers 11) Modèle « Reine de France » Éloge (2e tirade de Cyrano) « serment » « promesse » « confirmer » « soupir » « frisson » Þ Appel aux sens Noblesse et sensualité « âme » 3) Les sentiments Sincérité de Cyrano « s’exaltant » « adore » Comparaison « comme », il parle de ses « souffrances muettes », de lui-même au travers du personnage de Christian qu’il incarne

sociale, parenté avec de nobles personnes (haute noblesse) et héritière (=richesse). II. Une éducation irréprochable et hors du commun. A) Madame de Chartres : une mère d’exception. Sa mère possède toutes les qualités d’une mère d’exception (l.5) = éloge A contre-courant des pratiques de son époque (éducation au couvent ou par un précepteur), elle s’est retirée de la Cour pour éduquer sa fille afin de lui cultiver son esprit et de lui enseigner les valeurs de l'«honnête femme». B) Une éducation

21. L’évasion dans Manon Lescaut 22. La femme dans Manon Lescaut 23. La morale dans Manon Lescaut 24. La jalousie dans Manon Lescaut 25. Les regrets dans Manon Lescaut 26. La destinée dans Manon Lescaut 27. Manon est-elle une amoureuse ? 28. La sincérité dans Manon Lescaut 29. Pères et fils dans Manon Lescaut 30. Qui triche dans Manon Lescaut ? 31. Les caprices dans Manon Lescaut 32. La constance dans Manon Lescaut 33. Qui est fort dans Manon Lescaut ? 34. Qui change dans Manon Lescaut ? 35. L’inconstance

étudié ici peut ainsi apparaître comme un intermède, une réaction plaisante de Ménon, surpris de la méthode de réflexion socratique. Il propose un éloge paradoxal du maître, et révèle le pouvoir de sa parole. Mais loin de n’être qu’une plaisanterie, ce passage est également ambigu, car s’y lit déjà le sort réservé à ceux qui déjouent les apparences. I Un éloge paradoxal de Socrate Les dialogues de Platon nous présentent Socrate, non comme un maître tenant un discours didactique face à des disciples

Alceste s’en prend aux conventions très chargées du XVIIème siècle car l’hypocrisie est un jeu pour les courtisans qui est « indigne, lâche, [et] infâme » (v.26), que n’utilise pas Alceste. Pour lui, « homme d’honneur » (v.17), l’amitié touche à la sincérité. On assiste donc bien à travers cette exposition à une dénonciation de l'hypocrisie et à une critique virulente d'Alceste à l'égard de son époque Une spécificité du théâtre passe par le langage. En effet, toute parole au théâtre est intentionnelle

jusqu’à l’éloge, puisqu’il est poussé à l’extrême Ex : -« Je ne sais rien de gai comme un enterrement » V1 L’emploi de la négation « ne…rien » donne un caractère absolu à la gaieté de la cérémonie. -« allègrement » V4 l’allégresse renvoie au ciel : éloge * Enfin, le poète s’investit lui-même dans cette vision positive : Ex : -« Tout cela me parait charmant, en vérité ! » « me » renvoie au «je» poétique. B. Un scène qui touche d’autant plus qu’elle est réaliste * Les personnages présents sont

de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des peintures de l'amour ; elle lui montrait ce qu'il a d'agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu'elle lui en apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques où plongent les engagements ; et elle lui faisait voir, d'un autre côté, quelle tranquillité suivait la vie d'une honnête femme, et combien la vertu donnait d'éclat et d'élévation

2- Le découpage du récit 2 parties distinctes - De 1 à 14 convocation - De 15 à 32 Réception - Entre les 2 une ellipse narrative Interprétation - Découpage à rapprocher de 2 actes séparés par 1 entracte 3- Comique d’opposition Entre une sincérité extrêmement maladroite, celle de l’ours = manque de maîtrise ds son comportement physique v16 18 Puis le singe une flatterie excessive = manque de naturel caractéristique du théâtre. V20 à 24. Comique de répétition lié au sort identique réservé