égalité équité

place : les allocations familiales, le RSA ( Revenu de solidarité active) qui est versé à des personnes qui travaillent déjà et dont les revenus sont limités. Pour conclure, toutes ces valeurs sont inscrites dans la devise de la France : Liberté, Egalité, Fraternité.

soumettre peut amener à la liberté mais il est sûr que l'absence d'une quelconque soumission amène au désordre. En effet, toute société refusant les règles sera à un moment ou à un autre sous l'emprise de ce mode de vie. La devise de la France « Liberté, Égalité, Fraternité » parle d'elle-même. Ces trois termes vont ensemble sont ce qui fait que nous ne sommes pas des animaux. Dans un monde où chacun refuserait de se soumettre à quoique ce soit, même de simples lois, les seuls rapports qu'il y aurait seraient

l’égalité, fondent les écoles, collèges et lycées que nous connaissons aujourd’hui. En effet, les missions et les fonctions de ces établissements permettent de former des citoyens libres, éclairés et égaux en droit. L’école se soucie alors d’assurer une égalité entre tous, notamment entre les filles et les garçons. Cette volonté d’assurer l’égalité n’est donc pas une préoccupation récente et les actions menées pour y parvenir se sont centrées essentiellement sur la mixité des sexes. Les photographies du

celebrée. Sources : http://www.elysee.fr/la-presidence/la-fete-nationale-du-14-juillet/ IV) Liberté egalité fraternité. Liberté, égalité, fraternité sont les trois mots de la devise de la République française. Ils datent comme un grand nombre des symboles, de la révolution. À l’origine la devise est nettement plus longue : « unité, indivisibilité de la République; liberté égalité ou la mort" » Sous l’Empire cette devise disparait mais réapparait après celui-ci. Les citoyens

idées et principes des philosophes ont été concluants puisqu'ils ont entraînés l'abolition de la torture et de l'esclavage et l'aide à la Révolution Française. Ainsi les lumières sont donc en partie, à l'origine de la devise française « liberté, égalité, fraternité ».

première conditions. La deuxième conséquence est que si la force ne fait pas le droit, c'est que le droit institue une égalité de droit entre tous les individus. Si bien que le droit devient la "force des faibles" comme l'a dit Alain. Nous sommes tous égaux devant la loi, si bien que le droit pourra être appliqué sans discrimination de personne. C'est à partir de cette égalité de droit que la justice pourra introduire des inégalités sans qu'on puisse parler d'injustice.« où est la justice », ce

possibilité de faire ses propres choix. Bien des gens la prône, et bien des gens ne supportent pas qu’on impose une conduite. On érige des statues en son honneur telle la statue de la liberté. On crée des devises telle la devise de la France : « liberté, égalité, fraternité » ou encore celle du Ghana : « liberté et justice », pour ne pas citer celle du Liberia, donc le nom est évocateur, ou encore celle de l’Argentine.   Mais sommes-nous vraiment libre de nos choix ? La liberté prônée par tout le monde nous laisse

 Des passages télévisés remarqués, de nombreux procès, la discrimination à l’embauche se fait de plus en plus remarquer en France. Beaucoup de personnes prennent conscience de l’ampleur du phénomène et le Dans la présente loi, il y a lieu d’entendre par « discrimination » toute distinction, exclusion, restriction ou préférence ayant ou pouvant avoir pour but ou pour effet de détruire, de compromettre ou de limiter la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice, dans des conditions d’égalité

Les erreurs de la République I. Les symboles de la République 1. « Liberté, égalité, fraternité » La devise de notre République est basée sur trois principes. Premièrement, la liberté et l’égalité sont incompatibles : la liberté, c’est s’affranchir des lois et se démarquer pas ses différences des individus alentours. L’égalité, c’est niveler les différences pour faire de chacun une réplique du citoyen modèle voulu par la République. Si l’on veut la liberté, il faut alors tuer l’égalité

devant la loi et ont droit, sans distinction, à une égale protection de la loi...». Le pacte international relatif aux droits civils et politiques du 16 décembre 1966 dispose dans son article 26 que «toutes les personnes bénéficient d'une totale égalité devant la loi...,à cet égard, la loi doit interdire toute discrimination et garantir à toutes les personnes une protection égale, efficace et effective contre toute discrimination de race ou de situation sociale...» b) le principe de gratuité L'un