Toyotisme Et Flexibilité

États (Royaume-Uni, États-Unis) adoptent dans les années 1980 des politiques libérales (inspirées par l’École de Chicago) : baisse des dépenses publiques, baisse des impôts sur les plus riches et les entreprises, démantèlement du Welfare State, flexibilité du travail, privatisation des entreprises publiques, dérégulation du secteur financier. . . La croissance revient, mais elle est émaillée de crises financières. 3 Des économies-monde au monde multipolaire 3.1 L’économie-monde britannique Au XVIIIe

avec l'OST, les NTIC vont de pair avec une nouvelle organisation du travail, adaptabilité à la demande, réactivité, juste à temps, plus grande polyvalence des salariés et délégations de de responsabilités aux niveaux hiérarchiques inférieurs.--->toyotisme radicalisé et développé. Les posssibilités de carrières pour les ouvriers ne sont plus ce qu'elles étaient, on a réduit au maximum la hiérarchie, on essaie au maximum de tuer le temps mort, les ouvriers(salariés) se retrouvent à faire plusieurs taches

une augmentation de la demande. La période 1950-1973 est marquée par un accroissement très fort de la productivité, que ce soit aux États-Unis, en France ou au Japon. On peut y voir en particulier les conséquences du taylorisme ou les débuts du toyotisme qui sont tous deux des innovations qualifiées d’organisationnelles. B. Quelles raisons poussent les entreprises à innover ? Les pouvoirs publics propose des politiques d’innovation pour bénéficier des allègements fiscaux pour la recherche-développement

moindres détails. Après il s’élargit et apparait le fordisme, système qui va être appliqué pendant les 30 glorieuses  NIVEAU de vie qui est bien, société de consommation. Fin des années 70, le fordisme va être remis en cause et le toyotisme apparait  plus de flexibilité et de responsabilisation des travailleurs II. Les frontières de l’économie du travail : Il y a une histoire du travail, il y a le droit de travail, il y a des tribunaux spéciaux, les prudhommes ; il y a aussi la sociologie du travail

industrielle. La stratégie de rationalisation de la production a été adoptée par les multinationales dont les opérations de production sont segmentables, se prêtant à une décomposition internationale du processus productif. Une autre conséquence est la flexibilité accrue de localisation des multinationales, d’où des délocalisations et des relocalisations de filiales, redoutées par les pays qui les subissent. Les technologies multinationales
 Dans les années quatre-vingt, nombre de multinationales

C’est à la fois une science de la gestion et celle des choix. Aujourd’hui on rend des choix dans un environnement de plus en plus incertain. On assiste à la multiplication des facteurs d’instabilité. Les risques : * la technologie * flexibilité et stabilité de l’Entreprise * Nano technologie * Risque politique (éco) * On vit dans une économie ouverte, conséquence de la mondialisation (effet papillon). Aujourd’hui une crise n’est plus localisée, elle s’étend dans le monde entier

fordisme sont mises particulièrement en lumière lorsque se développe la crise économique et sociale de l'organisation scientifique du travail (en particulier en raison de la concurrence des entreprises asiatiques, fonctionnant selon le modèle du toyotisme). Aujourd'hui, les modèles primitifs du taylorisme et le fordisme ont dû changer pour s'adapter : Ils ne sont plus ce qu'ils étaient, en raison de la concurrence et notamment de leur incapacité à faire face à une production plus diversifiée. D'où

Humaines 2.2 A. Maslow (1908-1970) : La pyramide des besoins 2.3 F. Herzberg (né en 1923) : L'enrichissement des tâches et la théorie des deux facteurs 2.4 Mac Gregor (1906-1964) : Les théories X et Y 3 L'évolution des courants (1960-1970) 3.1 Le Toyotisme 3.2 Blake et Mouton 3.3 Les tendances actuelles : la théorie Z [modifier ([pic] modifier-219-section-1.cours)]L'école classique (Taylor, Fayol, Weber) Le but de l'école classique du management est la division du travail de façon à augmenter la

l’innovation . L’organisation de la production et du travail dans une entreprise industrielle ou de services, . L’analyse d’une décision d’externalisation ou de sous-traitance, . Les enjeux de la flexibilité dans une entreprise de production ou de services, . Les nouvelles formes d’organisation du travail dans une entreprise du secteur tertiaire, .Le changement technologique dans une entreprise donnée. . Identifier les facteurs de production :

techniques. La complexité croissante des taches dans l’entreprise qui insiste de plus en plus sur la notion de qualité totale en réorganisant du travail. et l’élargissement du champ d’action du salarié (toyotisme) La recherche d’une plus grande flexibilité en basant sur l’aspect quantitatif ; la flexibilité des horaires et des effectifs et l’aspect qualitatif ; plus grande implication des salariés. L’évolution du cadre réglementaire (contrat, code de travail) La prise en compte croissante des besoins