Surveiller et punir

puisque son père est rustre (son langage est familier) et qu’il désapprouve l’instruction de son fils. Nous pouvons considérer Julien comme un personnage autodidacte et on citera les passages suivants Chapitre 4 Livre I PAGES 27 ET 28: « Au lieu de surveiller attentivement l’action de tout le mécanisme, Julien lisait »« Eh bien, paresseux ! tu liras donc toujours tes maudits livres, pendant que tu es de garde à la scie ? Lis-les le soir, quand tu vas perdre ton temps chez le curé, à la bonne heure. »« Il

des nouveaux codes pénal et de procédure pénale. Cette prolifération des lois, essentiellement répressives, rejoint la vision anticipatrice de Michel Foucault sur l’avènement d’une société disciplinaire et sécuritaire dégagée en 1975 dans “Surveiller et punir ”.   En effet, en 2001, la loi Vaillant introduit la pénalisation du « rassemblement dans les halls d’immeuble » ou le délit de fraude dans les transports, comme la facilitation des fouilles des véhicules et des contrôles d’identité. La loi

personnalisée. Par contre, on y choisit les relations qu’on veut plus personnelles. Le caractère impersonnel des relations sociales en milieu urbain rend les relations partielles moins susceptibles de forcer l’individu au conformisme, car il s’y sent mois surveillé que dans un milieu rural. La vie urbaine donnait plus de liberté de choix à l’individu quant à son style de vie et à ses fréquentations. La ville permettait mieux à l’individu d’être lui-même, de suivre une voie qu’il s’était tracé. F- Conclusion

Londres. Il y a prêté d'importants services, en arrachant des exemptions pour les commerçants portugais à Londres, à l'image de celles données aux commerçants anglais à Lisbonne, et la reconnaissance du droit qu'avaient les autorités portugaises de punir les excès pratiqués par les capitaines des navires anglais sur les terres et côtes portugaises. Et c'est en Angleterre que sa femme est décédée. En Après la mort de sa première femme, la reine du Portugal, l'archiduchesse Marie Anne d'Autriche s'est

évolution explicite de l'EPS par l'image récente du citoyen, ne cache t'il pas une permanence implicite de contrôle et de formation d'un élève docile, au sein d'une école, considérée comme une "entreprise d'orthopédie sociale" (M. FOUCAULT, Surveiller et punir, 1975)? Au regard de ces interrogations, notre propos sera de montrer que, depuis 1958, l'EPS a oscillé entre d'un côté une évolution officielle dans son rapport à l'objet d'enseignement, sa méthode et son type de sujet à former et de l'autre

st divisé en 2 parties : les républicains qui étaient contre César et les partisans de César. A cet époque, Cléopâtre était enceinte de Césarion. Antoine rassembla le Sénat et fit un discours disant que César était un grand homme et qu'il fallait punir ses assassins. Suite à ce discours, Antoine évita la guerre civile et fut vu comme l'homme ayant rétablie la paix publique. Il demanda à ce qu'on lise le testament de César. Étant son bras droit, il pense avoir une très bonne place dans le testament

poststructuralisme Michel Foucault Dits et Ecrits tome IV texte 330 Des supplices aux cellules Michel Foucault «Des supplices aux cellules» (entretien avec R.-P. Droit), Le Monde, no 9363, 21 février 1975, p. 16. (À l'occasion de la parution de Surveiller et punir). Dits Ecrits tome II texte 151 Des supplices aux cellules Michel Foucault Dits Ecrits tome II texte 151 Sur la sellette Michel Foucault «Sur la sellette» (entretien avec J.-L. Ezine), Les Nouvelles littéraires, no 2477, 17-23 mars

attention et une rêverie que la passion seule peut donner » ; « choses qui avaient du rapport à lui et à la passion qu’elle lui cachait ». L’aveu de la princesse est ici bien plus sincère que lors de la scène avec son mari, où elle devait encore surveiller son langage, dissimuler certains faits, et d’une certaine façon influer sur son destinataire. Cette transparence entre le « cœur » et le « visage » est interdite pour la princesse devant quiconque, alors qu’elle a un fort désir de sincérité et de

de mesure, de calcul très strict. Dans tout code pénal existe une échelle des délits et des peines. Une telle règle de proportionnalité a toujours constitué la règle de base de toute législation pénale, comme l’a bien montré Foucault dans Surveiller et punir. « L’ère des supplices », qui a précédé l’institution carcérale, participe déjà – même si aujourd’hui des pratiques comme la pendaison, le bûcher ou l’écartèlement nous semblent des manifestations d’une cruauté insoutenable – de l’ordre de

des malades ? La loi punit de peines de prison non seulement le trafic de drogues illicites, mais le simple fait d'en consommer. Ne vaudrait-il pas mieux considérer les consommateurs de drogues comme des personnes malades qu'il faut soigner et non punir ? Il est régulièrement question de dépénaliser (ne plus sanctionner) la consommation de drogues dites « douces » (à faibles effets de dépendance) comme le cannabis. Ceux qui s'opposent à ce projet font valoir que la consommation de ces drogues peut