Surveiller et punir

siècle et la réforme pénale, l’idée du supplice est devenue peu ou proue inacceptable (je vous renvoie à ma note sur l’Histoire du droit pénal et de la justice {text:soft-page-break} criminelle de Jean-Marie Carbasse, et au-delà, bien sûr, à Surveiller et punir de Michel Foucault). A l’heure où la bourgeoisie républicaine se met à rejeter toute forme de violence politique, et où le suffrage universel est envisagé comme autorisant l’expression libre de toutes les opinions, le massacre est par définition

qui concerne la monarchie. Début mars, s’est tenu le sommet de l’ASEAN. Au niveau des droits de l’Homme, l’Agence France Presse signale que le « Projet d’Organisme des Droits de l’Homme de l’ASEAN » ne dispose d’aucun pouvoir réel pour enquêter et punir les violateurs. Les pays ont tenu à réaffirmer la non-ingérence les concernant. La Birmanie n’a pas été évoquée. Conclusion : j’ai essayé de montrer des aspects négatifs et positifs à propos de la démocratie en Thaïlande. Négatifs > situation

lieu de rééducation But de la prison (surveiller, punir, réhabiliter) 1. protéger la société 2. décourager les gens de commettre des crimes 3. rééduquer le détenu de manière à le réinsérer Les principales critiques de la prison : * la prison ne diminue pas le taux de criminalité * la détention (peut) provoquer la récidive * la prison encourage les comportements déviants * « on fabrique des délinquants » Cours 27 : Punir vs. Réhabiliter Le ministère de la

pour essayer d’avoir une excuse afin d’être dispensé de faire mon problème d’arithmétique. » À tous les temps et à tous les modes. - Dans cette séquence, il y a une confrontation entre le monde des enfants et celui des adultes : le premier est surveillé par le second dont il reçoit des ordres. Pour Rufus, ce sont le regard bienveillant et la permission alors que pour Clotaire ce sont le regard soupçonneux et la punition. Aussi, dans la scène, ce dernier représente l’enfant qui ne veut pas suivre

le conduit au bûcher, convainc ses gardes de le laisser se recueillir dans une chapelle située au sommet d'une falaise surplombant la mer. Il parvient miraculeusement à s'échapper en sautant par la fenêtre. Des lépreux persuadent alors le roi de punir Iseut par une peine plus lente et plus cruelle que le bûcher : leur remettre Iseut. Le roi Marc accepte. La reine est emmenée par ce groupe de lépreux mais Tristan veille. Il parvient grâce à l'aide de son ami Gouvernal à libérer Iseut. Les deux amants

nuit ». Il faut donc créer une instance protectrice. Comme disait Alain, « l’état c’est ce qui ne dort jamais ». Dialectique qui conduit à la création du Léviathan, comme disait Nietzsche le plus froid des montres froids. Paradoxe car ce qui nous surveille est diabolique. Beccaria dans des Délits et des peines est le premier à vouloir abolir la peine de mort : si on adhère au contrat social, c’est pour que l’Etat garantisse notre sécurité. L’état auquel on appartient ne peut donc pas nous tuer. Le

navire perse. Le navire débarque à Milet, brûlée par les Perses. Kallias doit fuir cet enfer : le satrape de Sardes, qui administre cette ville, tombe à terre car un chien a mordu sa monture. Usant de ses dons d'orateur, Kallias convainc la foule de punir le cheval et gagne la sympathie du puissant administrateur. Pendant des semaines, il est son conseiller et le satrape a confiance en lui. Il lui annonce qu'il veut attaquer Athènes pour l'offrir à Darius. Ils vont partir pour Suse, pour convaincre

- adoptent les bons gestes : ne pas créer de situation à risque (chaise près d’une fenêtre, produits toxiques transvasés dans une bouteille d’eau minérale, appareils électroménagers branchés sans surveillance…). - et fassent preuve de pédagogie : punir ou gronder un enfant ne lui fait pas prendre conscience du danger. Pour qu’un enfant en prenne conscience, il faut le lui expliquer calmement. A chaque étape de son développement, il faut veiller à la sécurité de l’enfant et lui apprendre comment éviter

gens avec une perte de temps aussi minime que possible. ». Dans le roman de Flaubert, Mémoires d’un fou, il nous décrit l’éducation quasi-militaire que dispensait un collège de Rouen en 1831, c’est aussi ce que décrit Michel Foucault dans « Surveiller ou punir », un désir de «militarisation » de la société par le biais de l’école. Dans l’école de Flaubert, on apprend à répondre au signal, à réagir par des réflexes, bref à oublier sa propre pensée. Cet apprentissage de l’obéissance est le principe

souillure du meurtrier qui est en cause. Ainsi, le suspect est jugé par le tribunal du Palladion, et la peine prévue est l’exil, comme pour l’homicide involontaire. . Xénophon conseille de traiter les esclaves comme des animaux domestiques, de les punir en cas de désobéissance et de les récompenser en cas de bonne conduite (Économique, XIII, 6). Aristote pour sa part les considère comme avec des enfants, et de recourir aux ordres mais aussi aux recommandations, car l'esclave après tout est capable